La lactoferrine, l’autre remède contre le covid19

 

Soigner le covid19 avec la lactoferrine

La vidéo visible sur cette page a été censurée chez youtube et compagnie… Pourquoi? Manifestement, certains ne veulent pas que des malades du covid19 puissent se soigner – ou être soignés – et guérir, de façon simple, naturelle et économique.
Déjà, sur cette page Wikipédia l’on apprend que: 
“La lactoferrine (parfois dite «LF») est une glycoprotéine de la famille des transferrines, qui se lie au fer et a des effets bactériostatiques, bactéricides, antiviraux, immunomodulateurs, anti-inflammatoires et protecteurs de la muqueuse intestinale. Une partie de ces effets biologiques serait liée à sa très forte affinité pour le fer.
Son gène est LTF situé sur le chromosome 3 humain.
Elle est présente dans le lait cru. Ses concentrations dans le lait humain sont 5 à 10 fois plus élevées que dans le lait de vache laitière (150 mg/l).”
La concentration en lactoferrine du lait maternel décroit au cours du premier mois. Cette concentration reste supérieure à celle dans le lait de vache ou dans les laits maternisés.
La lactoferrine agit en régulant la réponse immunitaire cellulaire à différents niveaux.
Chez des individus en bonne santé, elle serait en première ligne dans le système de défense immunitaire et protège des invasions infectieuses les ouvertures et orifices du corps, ce grâce à sa capacité unique à se lier au fer, utilisé par un vaste éventail d’organismes pathogènes et de tumeurs pour croître et se reproduire.
Elle joue un rôle dans les premières lignes de défense contre les organismes pathogènes invasifs, probablement en les privant du fer nécessaire à leur croissance. Délivrée dans les zones d’inflammation par les granulocytes, elle limite la disponibilité du fer pour les envahisseurs pathogènes, les empêchant ainsi de l’utiliser pour se multiplier.
Elle pourrait également «lyser» directement la membrane cellulaire de certains organismes pathogènes.
La lactoferrine bovine, en tant que complément alimentaire, est autorisée aux États-UnisSon efficacité a été démontrée par de nombreuses études.
  • Elle réduit les problèmes infectieux chez les grands prématurés, dont le risque d’entérocolite nécrosante, mais cette efficacité n’est pas retrouvée dans toutes les études. On notera néanmoins qu’elle est très utilisée en Asie et en particulier au Japon, où les poudres de lait infantile sont toutes enrichies en lactoferrine.
  • la lactoferrine est parfois prescrite en complément des traitements de l’anémie liée à la grossesse.
  • elle présente une efficacité contre la mucoviscidose, maladie dans laquelle le poumon manquait à la fois de lactoferrine et d’hypothiocyanite. Ces travaux faisaient suite aux travaux signifiant que les poumons de malades atteints de mucoviscidose étaient infectés par des bactéries (pseudomonas aeruginosa, burkholderia cepacia) agglutinées en biofilm, lequel biofilm pouvait être inhibé par de la lactoferrine.
  • la lactoferrine a aussi montré une activité antivirale contre plusieurs virus à ARN et contre des virus à ADN, dont le VIH, le virus Zika, le virus du Chikungunya, le virus de l’hépatite C, le virus Sindbis, le cytomégalovirus, l’herpes simplex, et le papillomavirus humain ou encore contre le rotavirus.
La lactoferrine est reconnue comme un principe actif pharmaceutique par les agences Européennes EMEA [archive] et Américaines FDA [archivedans le cadre d’une préparation pharmaceutique.
En raison de ses propriétés antiviralesimmunomodulatrices et anti-inflammatoiresla lactoferrine a été proposée et testée dans le cadre du développement et recherche de médicaments contre la Covid-19, contre l’accrochage du SARS-CoV-2 sur sa cible.”
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