Consommer du poisson avec de la chlorella

Manger du poisson sans trop de risques

La Chlorella est une algue verte d’eau douce monocellulaire. Elle contient la plus forte concentration connue de chlorophylle rencontrée chez des plantes, 60 % de protéines incluant tous les acides aminés essentiels. La Yaeyama, une sous-espèce de Chlorella vulgaris, contient le chlorella growth factor riche en acides nucléiques (ADN et ARN) et en peptides.

La Chlorella est l’un des aliments sur lequel le plus grand nombre de recherches scientifiques ont été effectuées. Elle est notamment utilisée:

  • Pour détoxifier l’organisme en éliminant les métaux lourds et les substances chimiques toxiques;
  • Pour améliorer le fonctionnement de l’intestin grâce à sa forte concentration en chlorophylle;
  • Pour stimuler l’activité des macrophages et des lymphocytes T, augmentant les niveaux de l’interféron et renforçant la capacité du système immunitaire à combattre virus, bactéries, protéines étrangères ou produits chimiques;
  • L’interféron est l’une des premières défenses naturelles de l’organisme contre le cancer. En augmentant les niveaux d’interféron, elle renforce les défenses de l’organisme contre le cancer;
  • Etant – comme toutes les algues – très alcaline, pour équilibrer le pH de l’organisme;
  • Pour normaliser les niveaux de sucre dans le sang et normaliser la pression sanguine.

Les poissons cela peut aussi être bon pour la santé. Ou bien les poissons c’était bon pour la santé. Ou encore les poissons cela pourrait encore être bon pour la santé.

Par exemple, certains poissons contiennent des oméga 3, des alkyglycérols, de la vitamine D, etc., c’est excellent! Par contre, beaucoup – comme, par exemple, le thon (situé en haut de la chaîne alimentaire, alors, de préférence, à éviter) – contiennent  aussi des métaux lourds, dont du mercure, et ça c’est beaucoup moins bien! Le mercure est un dangereux toxique, et notamment neurotoxique.

Les métaux sont parmi les substances les plus rares, les plus précieuses, les plus chères, mais aussi les plus toxiques et les plus lourdes de notre planète Terre. Utilisés, sous forme infinitésimales (exemle: les Catalyons), en thérapeutique, ou en éléments traces (oligo-éléments), certains sont vitaux. Mais, sous forme pondérale dans notre environnement, ce sont de dangereux toxiques. Les métaux ne peuvent ni être crées, ni éliminés, et l’organisme humain, pour la plupart d’entre eux, ne sait pas les métaboliser. Ils se déposent à long terme dans nos tissus corporels, avec des conséquences pathologiques certaines, dont les cancers.

Les métaux actuellement officiellement reconnus toxiques sont: l’arsenic, le béryllium, le chrome, le nickel, le radium (radio-actif), l’uranium (radio-actif), le cadmium, l’aluminium, le baryum (ce qui est inquiétant c’est que les deux derniers, aluminium (aussi présent dans les vaccins) et baryum sont notamment présents dans les épandages chimiques régulièrement effectués dans l’atmosphère (chemtrails). Sur la toxicité des métaux (dont parle aussi beaucoup Hulda Clark) voir, par exemple, aussi cette vidéo.

Alors, faut-il, rien que pour cela, renoncer à manger du poisson et autres produits de la mer? Bonne nouvelle: Il existe un moyen naturel de quand même pouvoir manger du poisson à moindres risques.

Et ce moyen naturel, simple et bon marché, s’appelle “chlorelle” ou “chlorella”. C’est une algue qui a la capacité de se lier au mercure (et aux autres métaux lourds comme le plomb, le cuivre, le nickel, le cadmium, etc.)

La chlorella se trouve à prix raisonnable soit en poudre soit en gélules. Comme elle doit évidemment être pure (si elle est déjà polluée, elle n’a plus de pouvoir d’absorption des métaux lourds!) il convient, bien sûr, autant que faire se peut, de consommer de la chlorella biologique.

Lors d’un repas de poissons ou de fruits de mer, le but est d’éliminer tout de suite les métaux lourds pouvant être contenus dans le poisson ou le crabe. Pour ce faire il suffit d’ajouter au repas (par exemple, dans la salade pu dans un potage, ou un plat de légumes) une petite cuillerée à thé de poudre de chlorella.

De cette manière, immédiatement dans l’estomac, avant même que les molécules de mercure et/ou d’autres métaux lourds ne soient ensuite  absorbées par l’intestin, elles vont se lier à la chlorella et seront ensuite naturellement éliminées, par la sortie habituelle, lors de l’évacuation intestinale quotidienne.

C’est un moyen simple, naturel, pratique et pas cher, d’éviter que
trop de métaux lourds ne s’accumulent dans le corps. Et cela évite de devoir ensuite effectuer une “chélation” alors devenue nécessaire, une chélation pouvant, si elle est chimique, présenter différents inconvénients pour la santé et dont le coût peut s’avérer élevé. Heureusement ils existe aussi d’excellents chélateurs naturels, comme le MSM.

Les métaux lourds jouent un rôle dans toutes les pathologies. Ils sont aussi fréquemment associés à la maladie de Lyme (borréliose), aux candidoses, et responsables de nombreux cas d’hyper-électro-sensibilité.

Pour se procurer de la chlorella en gélules (de cinq à dix gélules par jour) cliquer ici (puis, en haut de la page, taper “chlorella“, dans la case du moteur de recherches interne du site, là où il y a écrit “rechercher”).

Pour se procurer de la chlorella biologique en poudre (pratique pour accompagner un repas), cliquer ici.

Et si vous avez déjà consommé trop de poissons sans les accompagner de chlorella, pour découvrir le programme complet d’élimination des métaux lourds Dr Clark, cliquer ici.