Les Mycrozymas – Découverts par Antoine Béchamp

MICROZYMAS / BACTÉRIES / VIRUS

En ces temps où l’on veut faire régner la terreur – une fois de plus – face à un prétendu «colibacille» tueur, nous arrivons peut-être au virage indispensable pour retrouver une saine vision de la vie et de la santé.

Que sont les bactéries?

Que dire de la contagion?

Que sont les virus?

Quel est leur rôle?

Y-a-t-il un «secret de famille» derrière tout cela?

Un des tout premiers à parler de contagion est sans aucun doute Semmelweis (1818-1865).

Mais Béchamp étudia la question avec une rigueur exceptionnelle et put démontrer:

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1 – qu’il peut exister des maladies parasitaires provoquées par l’invasion d’un organisme complexe par d’autres organismes complexes venant vivre en symbiose ! La psychosomatique permet aujourd’hui d’observer et de comprendre que ces phénomènes sont là pour manifester une problématique psychologique ou affective particulière. Ainsi, les oxyures si redoutés des enfants (et trop méconnus par les médecins modernes) manifestent une problématique identitaire (l’anus étant la carte d’identité biologique des mammifères avec ses glandes odoriférantes et son odeur absolument unique et spécifique pour chaque individu).

2 – que les microbes ou bactéries peuvent véhiculer une information d’un individu à un autre … mais ne se développent jamais chez un individu étranger. Et cela se comprend : ils n’ont pas d’individualité propre. Ils sont des agglomérats de microzymas qui s’unissent pour effectuer un travail (chantier) plus important qu’en temps normal. Et les microzymas ne se multiplient JAMAIS dans un organisme qui n’est pas le leur, ce qui explique entre autres choses la difficulté de faire perdurer une greffe ou une transfusion chez un individu.

Les photos de bactéries que l’on peut trouver très facilement sur Internet démontrent de manière évidente que les bactéries sont des agglomérats de microzymas … sauf pour les aveugles volontaires bien sûr. Ainsi, ces colibacilles sont constitués de granulations plus ou moins nombreuses juxtaposées et alignées – avec donc des tailles variables – et ces cyanobactéries sont constituées de granulations agglutinées en «mûres»!


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3 – que les microbes ou bactéries peuvent à n’importe quel moment redevenir microzymas et ces derniers vont alors pouvoir se consacrer à d’autres activités, comme par exemple construire d’autres bactéries ou des cellules. C’est à partir de ce fait qu’a été élaborée la théorie du polymorphisme microbien, théorie violemment combattue par les biologistes pasteuriens comme par Béchamp. En fait, une bactérie ne se transforme pas en une autre bactérie mais redevient microzymas!

Un peu de bon sens permet par ailleurs de comprendre facilement qu’un tas de fumier n’est pas fabriqué par les mouches qui tournent autour mais bien par le paysan qui a rassemblé les déjections de ses animaux d’élevage. Le rôle biologique des mouches est de disperser la matière azotée et de permettre son recyclage. Il en est de même des bactéries et des microbes. Ils sont là pour remettre en ordre une problématique pathologique, ce que la psychosomatique va confirmer.



Faute de pouvoir plagier les découvertes de Béchamp sur les microzymas, Pasteur décida d’en nier l’existence et recommanda à ses collaborateurs et élèves de pratiquer l’aveuglement volontaire[1]. Ainsi, sachant qu’ils étaient visibles au microscope à un grossissement d’au moins 750, il recommandait de ne jamais dépasser un grossissement de 400. À l’époque, la technique de la microscopie sur fond noir[2] n’existait pas et Pasteur aurait été sans doute bien contrarié de constater qu’ils étaient visibles dès 4 ou 500 de grossissement ! Ses successeurs usent d’un procédé très particulier avant tout examen microscopique de manière à s’assurer qu’aucun microzyma ne puisse survivre. En effet, les tissus sont préalablement:

– fixés (= tués) par un bain[3] de formol et d’acide, afin de dissoudre les microzymas que Pasteur a décidé d’occulter faute de pouvoir ici s’attribuer les découvertes de Béchamp,

– déshydratés totalement (l’eau = 70% en moyenne de la matière vivante),

– dégraissés (toluène ou trichloréthylène),

– inclus dans de la paraffine brûlante que l’on laisse refroidir[4], du plastique liquide que l’on solidifie à l’aide d’une poudre «siccative»[5], ou congelés,

– coupés en tranches ultrafines[6] et de ce fait obligatoirement dilacérés, fripés +++.

Les coupes tombent dans un bac rempli d’eau pour leur permettre de se défriper lentement… Ensuite, le protocole varie selon qu’il s’agit d’un examen au microscope optique ou au microscope électronique.

Pour la microscopie optique, les coupes sont:

– repêchés sur une lame de verre (microscopie optique, inclusions dans la paraffine),

– chauffés (600°) sur la flamme d’un bec Bunsen pour souder la coupe dans le verre (microscopie optique),

– baignés à nouveau dans le toluène ou trichloréthylène (microscopie optique),

– réhydratés artificiellement (microscopie optique),

– mordancés par un bain dans de l’acide pur (microscopie optique),

– colorés (microscopie optique), etc..

Pour la microscopie électronique, les coupes sont récupérées avec une cupule métallique perforée de micro-trous qui permettront le passage du bombardement d’électrons. Elles sont ensuite recouvertes d’une couche de peinture métallique!

Et c’est l’examen au microscope de « ça » qui permet aux pseudo-biologistes officiels de tuer avant toute chose les microzymas et de continuer à en nier la réalité! Il leur sera facile également d’interpréter les débris cellulaires inévitablement présents pour en faire de magnifiques «virus» … que personne n’a jamais vus en réalité … bien sûr puisqu’ils n’existent pas et sont des inventions gratuites ! Les virus relèvent d’un conte de sorcier à dormir debout. Et ce ne sont pas les superbes photographies parfois en 3D et en couleur[7] d’objets réalisés au crochet ou de dessins fait par des infographistes qui peuvent en démontrer la réalité!

Source: Néo-Santé n°2.

D’après le livre du Dr Alain Scohy: Les mycrozymas: Une révolution en biologie

Lire la suite dans le Néosanté n° 2

 

Les mycrozymas: Une révolution en biologie