Les dangers des transfusions tous azimuths

Gardez votre sang!

“Le sang, c’est l’âme.”

(La Bible)

Le “don du sang”, c’est comme le “don d’organes” c’est censé être un magnifique acte altruiste. Et, tout comme Yves Rasir de Néosanté (voir son témoignage ci-dessous), nombreux sont ceux qui, avant d’avoir compris tous les tenants et aboutissants, par amour du prochain, l’ont pratiqué dans leur jeunesse, avant de – avec la prise de conscience – se tenir à distance de cette institution telle que pratiquée de nos jours…

Le grand écrivain allemand Johann Wolfgang von Gœthe l’écrivait déjà: “Le sang est un suc tout particulier”. C’est que, selon la Bible et de nombreuses religions, le sang est le support de l’âme dans le corps.

“4 Seulement, vous ne mangerez point de chair avec son âme, avec son sang. 5 Sachez-le aussi, Je redemanderai le sang de vos âmes, Je le redemanderai à tout animal; et Je redemanderai l’âme de l’homme à l’homme, à l’homme qui est son frère. 6 Si quelqu’un verse le sang de l’homme, par l’homme son sang sera versé; car Dieu a fait l’homme à Son image.” (Genèse, IX, – 4-5-6)

“10 Si un homme de la maison d’Israël ou des étrangers qui séjournent au milieu d’eux mange du sang d’une espèce quelconque, Je tournerai Ma Face contre celui qui mange le sang, et Je le retrancherai du milieu de son Peuple. 11 Car l’âme de la chair est dans le sang. (…) 14 Car l’âme de toute chair, c’est son sang, qui est en elle. “ (Lévitique XVII, 10-11)

“23 Seulement, garde-Toi de manger le sang, car le sang, c’est l’âme; et Tu ne mangeras pas l’âme avec la chair.” (Deutéronome XII, 23)

Pourquoi je ne donne plus mon sang – Par Yves Rasir (Extraits)

“Personnellement, ça fait belle lurette que je ne participe plus à ce rituel vampirique faussement philanthropique. Je ne tiens plus à cautionner un système qui engendre plus de problèmes qu’il n’en résout.

 

Attention: je ne suis pas Témoin de Jéhova et je n’ai aucune hostilité de principe envers la transfusion sanguine. Si j’ai, un jour, un accident  grave et que je me vide de mon sang, je serai bien content de survivre en recevant une partie des décalitres de liquide organique qu’on m’a prélevés lorsque j’étais étudiant et que j’ignorais le dessous des cartes. Il est heureux que la médecine d’urgence dispose d’un tel outil pour parer aux hémorragies accidentelles et aux anémies sévères. Mais pourquoi (…) les hôpitaux manquent-ils si souvent de sang alors que la sécurité routière s’améliore? Pourquoi les autorités sanitaires doivent-elle sans cesse faire appel aux volontaires pour répondre à une demande croissante? Si les besoins augmentent chaque année de plusieurs pourcents, c’est pour deux raisons principales: l’inflation des opérations chirurgicales et la multiplication des cancers. Il faut en effet savoir que la médecine du cancer est très «gourmande» en sang. C’est seulement parce qu’ils sont transfusés que les malades peuvent subir des mutilations et endurer les traitements lourds de radio et  chimiothérapie. Je n’ai pas trouvé la part exacte du plasma, des globules rouges et des plaquettes qui est dévolue à la cancérologie, mais il tombe sous le sens que cette information soigneusement cachée permettrait de réaliser à quel point le matériel sanguin est employé à réparer les dégâts oncologiques. À leurs effets secondaires ravageurs et à leur efficacité contestable, les soins conventionnels du cancer ajoutent une «soif de sang» de moins en moins tenable.

 

Si ce n’était que ça (…), je soutiendrais encore les efforts de collecte. Le problème, c’est qu’on nous ment aussi sur  le rapport bénéfice/risques des transfusions sanguines. Certes, on nous parle parfois des dangers que le sang contienne certains virus, comme le HIV et ceux des hépatites B et C. (…) Mais ce qu’on ne nous dit plus jamais, c’est que l’acte médical de transfuser comporte en lui-même de sérieux dangers. Bien sûr, nous n’en sommes plus à cette époque folle où on transfusait sans connaître l’importance des groupes sanguins et celle du facteur Rhésus. Depuis un bon demi-siècle, le risque mortel d’«allo-immunisation», c’est-à-dire de rejet brutal du sang reçu, est beaucoup plus réduit. Mais c’est encore un événement fréquent, et donc la preuve que tout n’a pas encore été compris  dans le domaine des incompatibilités. La transfusion sanguine n’a rien d’un geste banal et anodin. Ce transfert de cellules d’un organisme à un autre équivaut quasiment à une greffe d’organe. Elle provoque donc une stimulation allogénique chez le receveur et  elle suscite des modifications immunitaires pouvant aller jusqu’à une  totale intolérance, celle-ci mettant parfois en jeu le pronostic vital.

 

Ce qui est encore beaucoup moins rare,  c’est la réaction d’immunodépression induite par la transfusion. Depuis quelques années, de nombreuses études ont mis en évidence cette action dépressive sur l’immunité.  Plusieurs travaux ont notamment montré que la transfusion lors d’une opération va de pair avec une augmentation des infections et des récidives de cancer. Le mécanisme immunodépresseur n’est pas encore  clair, mais les différentes  hypothèses scientifiques s’accordent pour donner un rôle clé aux lymphocytes T. Si ceux-ci réagissent mal à l’arrivée du «sang neuf», il peut s’ensuivre un effondrement complet des défenses immunitaires. Et plus un patient reçoit de sang «étranger», plus il risque d’entrer en immunodéficience. Vous voyez où je veux en venir? Oui, c’est ça: dans l’affaire du «sang contaminé», on nous a vendu le scénario selon lequel le HIV aurait décimé les rangs des hémophiles. Mais, outre le fait qu’aucun chiffre n’a jamais confirmé cette version officielle, on peut aujourd’hui subodorer une  toute autre explication: le traitement classique de l’hémophilie consistant en transfusions multiples, il n’est que trop normal de compter davantage de «sidéens» dans cette population. Avec ou sans rétrovirus.

 

Et si le sang lui-même, plutôt que les germes qu’il charrie, était nuisible à la santé?  Depuis l’antiquité, les médecins cherchent à soigner en transvasant du sang, animal d’abord et humain ensuite. Mais depuis plus longtemps encore, de nombreuses sociétés traditionnelles attribuent au sang une valeur psycho-spirituelle. Ce liquide rouge serait le siège de l’âme et le support des transmissions  subtiles entre générations.  D’ailleurs, dans le langage courant,  ne dit-on pas d’un membre de notre famille qu’il est de notre sang?

 

La transfusion sanguine est d’autant moins anodine qu’elle implique précisément une fusion de deux identités distinctes. Et comme l’immunité est au corps ce que l’identité est au psychisme, c’est jouer aux apprentis-sorciers que de mélanger ainsi des fluides vitaux destinés à demeurer dans leurs vaisseaux. Autant les saignées d’antan étaient absurdes (quoique…), autant les millions de transfusions contemporaines procèdent d’une témérité prométhéenne.  C’est du moins mon avis, et c’est aussi le motif majeur pour lequel je ne veux plus donner mon sang.

 

Yves Razir raconte ensuite l’histoire d’une amie astrologue, grande fumeuse, ayant subi une abondante transfusion:

 

“À son réveil, cette fumeuse invétérée n’avait plus la moindre envie de nicotine et elle  n’a plus jamais touché une clope! Ce qu’ont déjà imaginé certains romanciers et cinéastes est donc véridique: en recevant le sang d’un autre, on peut aussi voir  sa personnalité se modifier et ne plus être vraiment soi-même. Dans ce cas-ci, c’est plutôt positif, mais dans beaucoup d’autres? Personnellement, je me sens bien dans mes globules et je ne voudrais pas héberger ceux d’autrui. Ni exposer mon prochain à d’éventuelles tares sanguines. Mais au-delà de ce réflexe peureux, je pense que la médecine matérialiste fait preuve d’une énorme imprudence en banalisant ainsi le changement de sang. C’est une attitude à mon sens démiurgique dont les funestes conséquences finiront un jour éclater.

 

Il y encore deux raisons pour lesquelles je suis devenu très réticent à l’idée de donner mon sang. La première, c’est que la science médicale nous impose le dogme selon lequel les cellules cancéreuses prolifèrent anarchiquement et se métastasent via les circuits sanguins et lymphatiques. Mais si c’était vrai, pourquoi ne prend-elle pas l’élémentaire précaution de les dépister dans ses banques de sang? Elle traque bien les virus, pourquoi pas les particules émissaires de cancer? Ce manque de cohérence est difficilement compréhensible.

 

Le deuxième motif subsidiaire de ma réticence, c’est qu’il existe une alternative à la transfusion sanguine, celle de l’autotransfusion. Appelée aussi «transfusion autologue», cette technique est déjà utilisée en prévision de certaines opérations. On pourrait très bien la généraliser et imposer à tout citoyen  de mettre au frigo plusieurs poches de son propre sang. La méthode n’est pas non plus inoffensive – on peut mal réagir à l’introduction intraveineuse de son propre sang – mais elle l’est certainement moins que la  transfusion hétérologue. C’est même une pratique apparemment bénéfique puisque certains sportifs y recourent illicitement pour se doper. Bref, je pose la question: pourquoi ne met-on pas en place ce stockage personnalisé au lieu de favoriser le brassage des dons anonymes? L’ineptie du système actuel n’est pas non plus pour rien dans ma décision de ne plus participer aux collectes périodiques. Et au terme de cet argumentaire, j’espère que vous  aurez perçu que mon refus est moins égoïste qu’il n’y paraît.” (Extrait de la Newsletter d’Yves Razir de Néosanté du 22/06/2016).

Il y a encore autre chose. Le Plasma ou Sérum de Quinton peut ou pourrait aussi, bien souvent, du fait de sa grande similarité avec le sang, remplacer la transfusion sanguine, et cela, dans les grands media – l’on se demande bien pourquoi? -, l’on n’en parle jamais.

Pratiquée de façon exceptionnelle, dans des cas de grande urgence, la transfusion sanguine pourrait éventuellement avoir parfois sa raison d’être, mais sa généralisation systématique et le business qui s’est développé autour la rendent, de nos jours, plus que suspecte. Une chose est, de manière très occasionnelle et bien circonstanciée, de donner son sang pour permettre à un autre être humain – par exemple après un accident – de conserver sa vie terrestre, une chose complètement différente est de participer de façon régulière à l’énorme business – notamment associé à celui du cancer (chimiothérapie et radiothérapie) – qu’est devenue la transfusion sanguine dans le monde “moderne”.

Dans le deuxième cas, non seulement l’on cautionne mais l’on participe même à ce faux système qui maintient délibérément des millions d’êtres humains à l’écart des véritables et durables solutions naturelles de santé. Celui qui a véritablement de l’amour pour son prochain, en conscience, dans la plupart des cas, se tiendra à distance de telles pratiques largement dévoyées et cherchera plutôt à promouvoir le solutions naturelles et sans danger (il en existe de nombreuses, y compris pour le cancer, qui, elles, témoignent d’un véritable altruisme.