Radioactivité japonaise et radiothérapie française

Radio-activité japonaise et radiothérapie française.

Par le Docteur Bruno Darmon

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Radioactivité japonaise: Une bonne occasion de s’interroger sur la radiothérapie en particulier et la cancérologie en général.

 

A lire après avoir vu cette vidéo:

http://www.youtube.com/watch?v=pN7yFxwxktI&feature-player_embedded

(Note de La Santé Naturelle: Malheureusement, la vidéo semble, maintenant, désactivée. Voici un autre lien.)

 

Préambule

 

Si je me permets dans ce texte de donner mon avis sur la cancérologie, bien que je ne sois pas cancérologue, mais naturopathe et docteur en chirurgie dentaire, c’est que je me suis aperçu que dans ce domaine aussi, tout comme pour la dent dévitalisée dans la dentisterie, tout n’était pas très clair.

Je ne suis pas non plus complètement étranger au monde de la cancérologie, puisque j’ai exercé une dentisterie holistique pendant des années au sein d’une équipe médicale holistique, qui était parfois amenée à rencontrer des cancers. Juste par une certaine dentisterie holistique, ont été guéris des centaines de cas médicaux complexes que la médecine conventionnelle n’arrivait pas à guérir. J’en ai d’ailleurs mis une centaine en témoignage vidéo sur le site sante-dents.com. En visionnant ces témoignages, on pourrait tout d’abord comprendre qu’il n’y a quasiment aucun mal de dos chronique qui résiste à une bonne dentisterie holistique et que nombre de pathologies même graves peuvent parfois guérir seulement en faisant enlever les dents dévitalisées. Et pourtant quasiment personne en France, dans le monde médical, ne tient compte du problème des dents dévitalisées. Une ancienne ministre de l’environnement l’a pourtant qualifié de «grave question de santé publique» voir http://michel.raynaud.pagesperso-orange.fr/mem_clpg.htm. Cela prouve bien que même dans le domaine médical, il existe des vérités dérangeantes qui restent bien cachées et depuis longtemps.

Je me permets donc aujourd’hui de partager avec vous une réflexion sur un sujet extrêmement délicat, la cancérologie moderne, en le traitant d’une manière dont quasiment personne non plus ne parle dans le monde médical. Le cancer est un sujet qui est extrêmement préoccupant et d’actualité. Presque toutes les familles françaises ont eu un rapport avec le cancer, tellement il est fréquent aujourd’hui dans notre pays. La mortalité du cancer sur ces dernières années, n’est pas si éloignée de celle d’une de nos guerres mondiales. C’est aussi une pathologie dont les traitements ruinent plus que tout notre système d’assurance maladie. Le nombre de personnes atteintes de cancer ne cesse d’augmenter, même si on prétend mieux les guérir qu’avant. Même une fois guéri, les récidives sont, toutefois, extrêmement fréquentes. Malgré toutes les recherches effectuées, on avoue ne pas vraiment connaître les principales causes du cancer.

Des personnes nous répètent sans cesse que tout vient de la pollution, de l’alimentation et de la psychologie, mais ces explications ont aussi leurs limites. Quand on voit aussi l’état dans lequel se trouvent les personnes qui ont subi un traitement conventionnel du cancer, on ne peut pas en être pleinement satisfait, même si elles sont considérées comme guéries. Il y a donc à l’évidence un problème quelque part et celui-ci ne sera pas résolu en s’interdisant de penser différemment de la pensée académique. Ce texte va remettre un peu en question les traitements conventionnels. Agir de la sorte est si délicat que les plus grands spécialistes du sujet, les cancérologues et plus généralement les médecins en exercice qui s’y risqueraient seraient assurés d’être rapidement interdits d’exercer par le Conseil de l’Ordre. Ceux qui l’ont fait ont, d’ailleurs, généralement été interdits d’exercer. Il faudrait pourtant maintenir le débat pour espérer obtenir, un jour, ce que tout le monde voudrait bien obtenir sur le sujet, c’est à dire la vérité sur la meilleure façon de soigner le cancer et sur les principales causes de cette maladie. Ce texte n’a pas la prétention de révéler totalement cela certes, mais un peu quand même, en introduisant notamment une certaine dose de doute sur nos traitements actuels.

 

Introduction

 

Le danger de la radio-activité est remis au devant de la scène avec l’accident de la centrale nucléaire japonaise de Fukushima. Un danger que notre civilisation semblait avoir un peu oublié depuis l’accident de celle de Tchernobyl, il y a 25 ans, qui n’est d’ailleurs toujours pas définitivement résolu. On a préféré s’intéresser à des sujets environnementaux largement moins préoccupants comme le réchauffement planétaire et les autres pollutions en général. Le public apprend aujourd’hui que les centrales nucléaires peuvent rejeter des déchets qui resteront radioactifs des centaines voire des milliers d’années, que la radioactivité tue si elle est trop forte, et sinon donne des cancers et des enfants qui naissent terriblement malformés.

La radioactivité est un produit de l’industrie nucléaire, même si elle existe aussi à l’état naturel dans le sol avec l’Uranium, mais à bien moindre dose. Il faut concentrer l’Uranium et lui faire subir divers traitements pour obtenir ces produits hautement radioactifs tel le Plutonium, par exemple. Aucun poison chimique ne semble être aussi toxique que la radioactivité. Il existe bien des poisons chimiques qui tuent aussi, certes, mais rien n’est comparable aux déchets radioactifs, dans le temps. Leur toxicité persiste pendant des millénaires. Ils contaminent tout ce qui entre en contact avec eux et même s’en approche. Les fruits et légumes issus de terres radioactives seront radioactifs et la radioactivité persistera pendant des milliers d’années. La radioactivité est bien le poison suprême inventé par notre science. Si le diable existe, il n’aurait pas pu trouver une meilleure expression de son désir d’apporter durablement à l’humanité de la souffrance et de la mort, qu’en incitant les humains à diviser les atomes pour produire de la radioactivité. Diviser se dit d’ailleurs diabolein en grec. On peut donc dire d’une certaine façon que l’énergie nucléaire est diabolique.

 

Les centrales nucléaires représentent donc un danger considérable pour la vie sur Terre, surtout si elles venaient à se fissurer. Mais les plus grands ingénieurs japonnais avaient assuré à la population que leurs centrales nucléaires étaient à l’abri de tout accident et que l’industrie nucléaire ferait plus de bien que de mal. Les plus grands scientifiques russes avaient aussi assuré jadis la même chose pour la centrale nucléaire de Tchernobyl. Les Japonais se rendent compte aujourd’hui que cette grande science du nucléaire se retourne en fin de compte contre eux maintenant.

 

Malgré tout cela, certains sont, encore aujourd’hui, favorables à la production d’énergie nucléaire, car elle présente aussi certains avantages économiques. Ils nous entraînent ainsi vers des risques inconsidérés. Ils me font penser à de dangereux inconscients qui emmèneraient des enfants se promener au bord de la falaise, tout en leur donnant des bonbons. Et cela risque fort de continuer tant que la majorité de la population n’aura pas vraiment conscience de ce qu’elle risque, ce que l’accident nucléaire japonais pourrait bien l’aider à comprendre. Cet accident amène aussi logiquement à formuler la question suivante. Si dans la production énergétique, on comprend aujourd’hui qu’il existe une certaine forme de folie, pourquoi ne pas imaginer qu’il puisse en être de même dans un autre domaine qui utilise de la radioactivité comme la cancérologie.

 

Aussi paradoxal que cela puisse être, la radioactivité est en effet aussi un médicament de la cancérologie moderne. C’est même la base de la radiothérapie, une branche de la médecine nucléaire, qui soit introduit des éléments radioactifs dans les tumeurs soit bombarde les tissus cancéreux de rayons ionisants, qui sont tout à fait dans la catégorie des émissions radioactives. Aujourd’hui, quand on prend conscience des dangers de la radioactivité, avec l’accident nucléaire japonais, une question vient alors légitimement. La médecine nucléaire qui soigne le cancer avec de la radioactivité ne risquerait-elle pas de faire plus de mal que de bien, elle aussi?

 

On ne peut nier, tout d’abord, un paradoxe. Puisque la radioactivité est cancérigène, la radiothérapie qui soigne le cancer est aussi cancérigène. Elle peut donc être la cause de récidives des cancers qu’elle traite ainsi que de nouveaux cancers. En effet en touchant des cellules saines, les rayons pourraient les rendre cancéreuses. Certes, les nouveaux traitements de radiothérapie sont beaucoup plus précis qu’ils ne l’étaient jadis, mais on ne peut nier, toutefois, cet aspect problématique du traitement radiothérapique. On peut être étonné de ce paradoxe et en rester là en se disant que nos médecins savent ce qu’ils font en leur faisant aveuglément confiance. C’est d’ailleurs ce qu’ont fait majoritairement les Japonais vis à vis de leurs grands ingénieurs du nucléaire, qui appartiennent au pays le plus avancé, technologiquement et scientifiquement, du monde.

 

Mais il peut sembler aussi intéressant de comprendre pourquoi notre médecine moderne utilise la radioactivité pour soigner les cancers, sait-on jamais, au cas où elle aussi aurait sa part d’inconscience, comme les grands ingénieurs japonais du nucléaire. Et cela, d’autant plus que, dans ce domaine de la médecine non plus, il n’y a pas unanimité. Certains biologistes et médecins pensent, en effet, que la cancérologie moderne, avec l’utilisation de la radioactivité notamment, est une grave erreur.

 

La radiothérapie nécessite à l’évidence l’application d’une haute technologie associée à une grande science, celle du nucléaire. Mais cette grande science est-elle aussi associée à une grande conscience, telle est la question? Car alors comme le disait Rabelais, «Science sans conscience n’est que ruine de l’âme». C’est une question que l’on peut d’autant plus se poser que le facteur argent intervient beaucoup dans ce domaine. La cancérologie moderne brasse en effet beaucoup d’argent. Les grosses machines à irradier sont très chères et donc les traitements remboursés par la sécurité sociale, très coûteux. Et quand il y a beaucoup d’argent en jeu, on observe souvent que la conscience de certains a une fâcheuse tendance à s’obscurcir. C’est ce que j’ai eu l’occasion d’observer chez les dentistes – fussent-ils grands professeurs ou éminents membres du Conseil de l’Ordre -, quand il s’agit de parler de toxicité de la dent dévitalisée, qui est, à travers la couronne sur dent dévitalisée, la plus grande source de leurs revenus. C’est, ma foi, très humain et on peut les comprendre. Inutile par conséquent de les juger, il est juste instructif d’en prendre conscience. Mais si l’argent est, bien sûr, un facteur déterminant dans certains choix de société donc aussi des choix médicaux et dentaires, ces choix sont toujours aussi dépendants de demandes particulières du public. La médecine et la dentisterie font d’une certaine façon ce que veut le public majoritairement. Si les médecins ont souvent prescrit beaucoup de médicaments c’est que la majorité des patients pensaient que le bon médecin devait prescrire beaucoup de médicaments. Le public a donc toujours sa part de responsabilité.

Pour la dent dévitalisée, les dentistes répondent à une demande principalement esthétique et pratique du public. Les patients veulent conserver les apparences de ne pas être édentés et de ne pas porter de dentier, même si, pour cela, ils sont empoisonnés par des dents mortes ou dévitalisées, à un niveau dont il n’ont nullement conscience. Les dents dévitalisées pourraient bien représenter, aujourd’hui, la première cause de maladies graves et de cancers, car elles représentent des usines à fabriquer des toxines de putréfaction en contact direct avec le sang. Dans la dent dévitalisée, on divise le nerf, en fait plus précisément le paquet vasculo-nerveux, du reste de la dent et, là aussi, comme dans le nucléaire, on pourrait dire que c’est diabolique en se référant à l’étymologie du mot. Mais comme la population n’est pas très enthousiaste à l’idée de faire enlever des dents et ne s’y intéresse pas vraiment, les dentistes ne s’y intéressent pas non plus. La population s’intéresserait plutôt à la pilule miracle qui va la protéger de toutes les maladies graves et prolonger la vie tout en conservant les causes de ses empoisonnements. L’idée est certes plus agréable que d’imaginer enlever des dents, ce qui, en plus, demande un certain courage. Mais le problème est que cette idée pourrait bien ne rester qu’une idée à jamais, même si certains travaillent sur des produits qui le prétendent comme des hormones soit disant anti-vieillissement ou des produits susceptibles de stimuler la fabrication des cellules souches.

Pour la radiothérapie, c’est un peu différent que juste des considérations esthétiques, pratiques et de courage comme dans le cas des dents dévitalisées. L’utilisation de la radiothérapie en cancérologie est la conséquence logique d’une croyance particulière. On croit que la meilleure façon de soigner les patients cancéreux est de tuer les cellules cancéreuses. La radiothérapie est alors l’arme absolue dans la guerre contre le cancer puisqu’elle tue mieux que tout les cellules cancéreuses, fait régresser les tumeurs, voire même les fait disparaitre. Mais cette croyance est-elle pour autant une vérité, that is the question?

 

Le principe de la radiothérapie est d’irradier les organes cancéreux. Comme les cellules cancéreuses sont plus fragiles que les cellules saines, ce sont elles qui meurent les premières. C’est un principe qu’on retrouve avec la chimiothérapie et avec l’antibiothérapie aussi, d’ailleurs. Mais en tuant des cellules cancéreuses, ce n’est pas comme si on tuait des bactéries, des parasites ou des virus, même si cette philosophie de soin peut, elle aussi, être contestée d’ailleurs. En tuant des cellules cancéreuses, c’est un peu comme si on se retournait contre notre propre biologie et plus précisément comme si on tuait une partie de nous. Les cellules cancéreuses ne sont certes pas des cellules normales, au sens où on entend le terme «normal», c’est à dire qui sont normalement présentes dans les organismes sains. Néanmoins, les cellules cancéreuses n’en sont pas moins pour autant des cellules humaines dont l’existence est tout à fait prévue par le génome humain. Notre science a en effet identifié des gènes qui prévoient la cancérisation des cellules. L’apparition des cellules cancéreuses est donc un mécanisme biologique.

 

Certains justifient l’approche agressive vis à vis des cellules cancéreuses en disant que notre système immunitaire agit de la même façon, qu’il détruit les cellules cancéreuses. Que si le cancer se développe, c’est parce que le système immunitaire est alors déficient. La radiothérapie suppléerait alors à ses déficiences. Il est plus probable, en fait, que notre système immunitaire, nous débarrasse plutôt des cellules mutantes mal-fichues et des cellules nécrosées, plutôt que des cellules cancéreuses. Effectivement lorsqu’il est déficient et qu’il ne peut plus se débarrasser des cellules mortes, des cancers peuvent bien plus se développer alors, pour d’une certaine façon, suppléer les déficiences du système immunitaire. Les cellules cancéreuses pourraient, en effet, avoir pour fonction de cloisonner les cellules nécrosées que le système immunitaire n’auraient pu détruire, comme un autre texte du site http://dent.devitalisee.free.fr/?p=122 le développe plus. Le fonctionnement du système immunitaire contredit donc, en fait, plus la théorie de l’évolution darwinienne et ses soi-disant mutations successives, qu’il ne justifie la radiothérapie.

 

Quand on sait que la biologie, donc la nature ,a prévu le mécanisme de la cancérisation, il est logique de penser que cela a un sens, comme tout ce que produit la nature. C’est ce que certains ont essayé de comprendre.

 

Certains, comme le Dr Hamer, qui se sont penchés sur le sens des cellules cancéreuses ont émis l’hypothèse tout à fait cohérente, que ces cellules étaient, en fait, des cellules de secours qui apparaissaient pour effectuer une tache que les cellules normales ne pouvaient plus effectuer. Mais ces cellules de secours consomment beaucoup d’énergie. Le rythme cardiaque des cancéreux s’accélère, comme en cas de fièvre. L’organisme peut rapidement s’épuiser. Si cet état perdure, le cœur peut lâcher. Même si ces cellules cancéreuses ont une raison, elles ne doivent toutefois pas rester trop longtemps, par conséquent.

 

Les raisons de la présence des cellules cancéreuses peuvent être diverses, même si le Dr Hamer s’est surtout intéressé aux causes psychologiques, et notamment aux destructions cérébrales visibles sur un scanner du cerveau, qui sont consécutives à des chocs psychologiques. Le Dr Hamer a établi de fort intéressantes relations entre les types de chocs psychologiques et les types de cancers. En dentisterie holistique, certains savent aussi qu’il existe des relations entre la localisation des dents dévitalisées et les différentes localisations des cancers. Puisque je trouve que l’on parle, en ce moment, beaucoup dans les médias du cancer du sein, le principal cancer de la femme, si quelqu’une est concernée autour de vous, vous constaterez que presque toujours, elle possède une prémolaire du haut dévitalisée.

Le Dr Hamer illustre le triste exemple d’un médecin qui fut interdit d’exercer pour avoir remis en question les traitements conventionnels. Il faut dire qu’il n’était pas très tendre dans ces ouvrages avec la cancérologie moderne en comparant les radiothérapeutes aux nazis, qui irradiaient les Juifs pour les rendre stériles et les produits de chimiothérapie au Zyklon B, qui était utilisé dans les chambres à gaz. Mais ne croyez pas que, dans cette histoire, je pense qu’il y a les méchants cancérologues qui irradient les gentils patients, tout comme je pourrais penser qu’il y a les méchants dentistes qui dévitalisent les dents aux pauvres patients, qui auront ensuite des cancers. Je sais très bien que les gentils patients auraient très certainement agi exactement de la même façon s’ils avaient été à la place des cancérologues et des dentistes. Ces derniers ne font que répondre à une demande des patients et pensent bien faire, pour la plupart. Il n’est donc pas question pour moi de juger – ou pire – de condamner qui que ce soit. Il serait toutefois intéressant qu’un peu de doute s’introduise dans le cerveau de toutes ces personnes. Des personnes qui, en général, pensent que les théories sur lesquelles s’appuie la cancérologie moderne sont des vérités incontestables sans l’ombre d’un doute. Mais le doute est important car il constitue le pont qui permet parfois de reprendre le chemin de la vérité, qui elle seule pourra nous sauver la vie, comme le disait en quelque sorte un certain Jésus qui se disait être «la Voie, la Vérité, la Vie».

Évidemment, le doute a aussi parfois l’inconvénient d’affecter la discipline, l’efficacité, le respect à l’autorité, donc tout ce qui permet d’avoir la meilleure productivité. Des valeurs qui, semble-t-il, étaient plus importantes que la vérité chez les Japonnais qui ne sont pas très imprégnés des valeurs chrétiennes. Ils seraient plutôt imprégnées des valeurs du samouraï qui se fait harakiri, s’il faillit à la mission, que lui a donnée son maitre, en ne se montrant pas suffisamment fort; mission qu’il est pas pensable de remettre en question, tellement la soumission à l’autorité est une valeur importante, enseignée depuis la plus tendre enfance. C’est peut-être cette façon de penser qui à contribué à ce qu’il y ait autant de centrales nucléaires au Japon et donc à une catastrophe humaine, on le voit aujourd’hui. Mais bon, en France, on ne pense pas samouraï et il y a aussi beaucoup de centrales nucléaires.

Cette façon de penser me rappelle, toutefois, un peu, notre système médical avec ses Conseils de l’Ordre , qui assurent la discipline et un strict respect aux pratiques habituelles de la profession en interdisant d’exercer au nom de la science, tous ceux qui oseraient en douter. Une attitude qui, elle aussi, pourrait avoir sa part de responsabilité dans la catastrophe médicale que vit aujourd’hui notre société. C’est en quelque sorte ce que pensait aussi une ancienne ministre de l’environnement, au sujet d’une polémique avec le Conseil de l’Ordre des dentistes sur le problème des dents dévitalisées «Ainsi, on le voit bien le débat est en réalité un débat de spécialistes qui justifie incontestablement une recherche scientifique mais certainement pas une sanction disciplinaire destinée à éviter le débat au grand dam de la santé publique en général», texte à l’adresse suivante: http://michel.raynaud.pagesperso-orange.fr/mem_clpg.htm.

 

Les pratiques de notre médecine moderne sont peut-être puissantes à court terme mais le philosophe autrichien Yvan Illich les qualifiait aussi de contre productives à long terme dans son ouvrage “Nemesis médicale”. Yvan Illich était considéré, par certains intellectuels, comme l’un des penseurs les plus importants et les plus prophétiques de la seconde moitié du XXe siècle. Il est l’auteur de très nombreux ouvrages sur de multiples sujets de société et pas uniquement sur la médecine. Illich mourut à 76 ans, d’un cancer, qu’il refusa de soigner par la cancérologie moderne. Mais il vécut quand même une vingtaine d’années avec sa tumeur du cerveau, soit assez longtemps par rapport à beaucoup de patients soignés par la cancérologie moderne. Comme, à l’époque, il n’y avait pas trop de téléphones portables, et qu’Illich avait aussi une vraie démarche spirituelle, j’en déduis qu’il devait sûrement avoir au moins une dent dévitalisée à la mâchoire supérieure. L’Autriche, son pays natal, est, entre parenthèses, le seul pays européen qui a inscrit dans sa constitution, l’interdiction de produire sur son sol, de l’énergie nucléaire.

 

Mais même si elles ont un sens, les cellules cancéreuses peuvent, parfois, aussi tuer le patient, il faut en être conscient. Dans certains cas extrêmes, il est alors salvateur de les éliminer, même avec la chimio et la radiothérapie si on ne sait rien faire d’autre, tout comme il peut-être salvateur de faire tomber une fièvre excessive ou de supprimer une allergie excessive par des médicaments chimiques quand on ne sait rien faire d’autre. Mais en voulant tuer les cellules cancéreuses, on risque aussi de détruire l’organe déjà malade du cancer. Si l’organe n’est pas essentiel à la vie, passe encore, mais si l’organe est vital, on risque peut-être plus de mourir non pas du cancer mais du traitement du cancer. Tout n’est pas si simple et tout n’est pas tout noir ou tout blanc.

 

Même si elles ont probablement un sens, les cellules cancéreuses ont donc aussi des comportements qui semblent très problématiques. Ils sont dus à certaines de leurs caractéristiques. Les cellules cancéreuses sont, par exemple, des cellules qui ne répondent pas à une propriété des cellules normales, qui est l’inhibition de contact. Ce mécanisme permet de stopper la multiplication cellulaire lorsqu’un certain nombre de cellules s’est constitué. Les cellules entrent alors en contact les unes avec les autres et arrêtent de se multiplier, lorsqu’elles sont normales. Cela évite de provoquer des compressions qui pourraient être très problématiques. Les cellules cancéreuses n’observent pas cette règle d’inhibition de contact, ce qui les fait qualifier par notre médecine de folles ou d’anarchiques. Elles se multiplient parfois tellement qu’elles peuvent comprimer des organes avec des conséquences parfois très douloureuses, voire mortelles. Mais ces qualificatifs de folles ou d’anarchiques ne traduiraient-ils pas plutôt une incompréhension du sens des cellules cancéreuses. Ils sont aussi bien pratiques quand on n’en comprend pas le sens, pour mieux justifier leur destruction systématique. Ces cellules ont même apparemment une certaine logique bio-logique, pourrait-on dire. De nouveaux vaisseaux sanguins se constituent d’ailleurs pour les alimenter dans un mécanisme qu’on nomme la néoangiogenèse, que la cancérologie moderne, dans sa logique, aimerait bien stopper aussi, d’ailleurs.

 

La raison de la présence des cellules cancéreuses est probablement que les cellules normales soit sont trop empoisonnées soit ne peuvent recevoir l’énergie dont elles ont besoin pour bien fonctionner. D’où l’idée de certains soit de désempoisonner l’organisme, soit de lui apporter de l’énergie par divers moyens, soit – encore mieux -, de faire les deux. Les différentes cures de désintoxications qui existent en naturopathie, par exemple, et l’élimination des dents dévitalisées rentrent, bien sûr, dans la catégorie des désempoisonnements. C’est tout à fait ce que faisait Hulda Clark, une biologiste canadienne. Parfois, il suffit juste d’enlever les dents dévitalisées pour que le cancer disparaisse de l’organisme suffisamment revitalisé, j’en ai déjà eu le témoignage. Pour apporter de l’énergie, le sujet est assez vaste aussi. C’est tout le domaine des médecines naturelles, contrairement à la médecine chimique qui fatigue généralement les patients.

 

La cancérologie moderne voulant tuer à tout prix les cellules cancéreuses, est tout à fait dans la logique générale de la médecine moderne. La médecine moderne veut souvent et au plus vite, par une certaine violence biologique si besoin, éliminer tous les éléments qui participent de la maladie. Dans les infections, par exemple, on détruira donc les bactéries par les antibiotiques quitte à empoisonner un peu, au passage, le reste de l’organisme. Dans les douleurs on supprimera, avant tout, la douleur à coup d’antalgiques qui bloquent la production des enzymes de la douleur. Pour le courant naturopathique notamment, cette attitude générale est la principale cause de l’apparition des maladies graves, bien plus que toutes les pollutions dont on nous parlent généralement dans les médias comme le tabac, l’alcool, les pesticides, la sédentarité et la malbouffe. Certes, dans certains cas, cette médecine sauve aussi des vies. Mais on s’empoisonnerait aussi plus en se soignant ainsi que par tout autre moyen. J’ai observé que les personnes qui présentaient des pathologies graves avaient généralement, outre le fait de posséder plusieurs dents dévitalisées, pris dans le passé assez facilement des médicaments chimiques pour soigner leurs petits maux. Ce sont des personnes qui, en général, à la moindre douleur prenaient un antalgique par exemple, ou à la moindre allergie un anti-allergique. Des médicaments chimiques que la médecine moderne prétend de plus en plus sans danger, comme la plupart de ses médicaments.

En fait, les effets secondaires de certains médicaments deviennent de plus en plus subtils à déterminer. A court terme, ils semblent ne pas entrainer de désagréments mais cela cache, en fait, les très gros désagréments qu’ils provoqueront dans le futur, car ils bloquent toujours des réactions d’éliminations des poisons. On comprend alors qu’on pourrait qualifier, d’une certaine façon, ces médicaments chimiques de poisons. Nos spécialistes des médicaments chimiques disent généralement que tout est question de dose, que ce qui distingue un médicament d’un poison c’est que ce dernier est juste en plus grande quantité que le médicament. Mais même si cet aspect est vrai aussi pour certains médicaments issus de la nature, les effets empoisonnants de ces derniers sont généralement bien plus négligeables toutefois, sauf quelques exceptions, et ils ne sont présents que pour une minorité de produits naturels.

 

En cancérologie, et notamment avec la radiothérapie, il est encore plus évident que tout, que l’on utilise un poison, même si c’est un poison non pas chimique mais physique. Et là, il n’est pas question de dose. Même la plus infime dose de radio-activité va produire un effet toxique sur des cellules saines, même si la dose n’est pas toujours suffisante pour qu’elles se cancérisent. Lorsque les rayons traverseront les tissus, il y aura, par exemple, toujours production d’au moins un peu d’eau oxygénée H2O2, qui est un poison cellulaire, un peu comme les radicaux libres.

 

Quand on ne comprend pas le sens du cancer et qu’on ne peut en éliminer les causes, il est logique de vouloir empoisonner les cellules cancéreuses. D’autant plus que si on ne fait rien, les patients peuvent mourir dans d’atroces souffrances. La cancérologie est ici tout à fait dans la logique de tout le reste de la médecine moderne, qui n’est pas insensée non plus et qui sauve des vies, on ne peut le contester. Mais peut-être ne faudrait-il réserver cette façon de faire, de tuer les cellules cancéreuses, qu’aux cancers qui provoquent des douleurs insupportables que rien ne sait supprimer, car cette vision de la thérapeutique a aussi ses limites. Même de jeunes et vigoureuses personnes décèdent parfois des cancers traités de cette façon. On l’a vu dernièrement avec Laurent Fignon et Bernard Giraudeau. Ceux considérés comme  guéris se trainent ensuite souvent pour le reste de leur vie, si tant est qu’une récidive ne vient pas les emporter prématurément. Cette philosophie aboutit parfois à des choix thérapeutiques qu’il serait logique de trouver surprenants, comme nous allons le voir tout d’abord par un exemple. Cet exemple est tout à fait d’actualité avec l’accident de la centrale nucléaire japonaise, qui a fait rappeler aux médias qu’il y a 25 ans il y a eu celui de Tchernobyl, bien plus près de nous en France.

 

En regardant un reportage télé dernièrement, j’y ai vu une personne se disant victime du nuage de Tchernobyl, qui, selon elle, lui avait provoqué un cancer de la thyroïde à cause de l’iode radio-actif qui s’y trouvait. Aujourd’hui, elle se faisait soigner son cancer de la thyroïde dans un hôpital français où lui étaient prodigués des traitements à base – tenez vous bien! -, d’iode radio-actif!, c’est à dire exactement le même produit que celui qui lui aurait provoqué son cancer de la thyroïde. Avec un peu d’humour, je dirais que, peut-être, bientôt, pour effectuer ce genre de traitements, il n’y aura même plus besoin de se rendre dans des centres de cancérologie. Il suffira de consommer des aliments importés du Japon, ou de rouler dans des voitures japonaises, ça fera faire des économies à notre sécurité sociale… Pour ceux qui aiment voyager ils peuvent déjà aller faire un séjour à Tchernobyl ou se baigner dans les eaux du Japon

Étonnement, les enfants de Tchernobyl, qui développent des cancers à la suite de la radio-activité, ne sont pas soignés par la radiothérapie, ni la chimiothérapie, d’ailleurs. On leur donne des produits naturels revivifiants, comme de la pectine de pomme, par exemple. Les irradiés d’Hiroschima qui ont survécu consommaient, eux aussi, des produits naturels à base de soja lacto-fermenté. Des études ont montré que des levures réparent les cellules endommagées. A croire que quand une région a subi un accident nucléaire grave, la population de la région n’est pas très fan de la médecine nucléaire mais plutôt de la médecine naturelle….


Et à propos, ne vous amusez pas à prendre de l’Iode pour rien, ça peut abîmer les reins, entre autres.

 

Je trouve l’exemple de la personne soignée par de l’Iode radioactif est excellent pour s’interroger sur cette philosophie médicale qui est à ce point et de façon aussi évidente, de soigner le mal par le mal. Une philosophie qui a certes des côtés intéressants, on ne peut le nier. Quand on tue des cellules cancéreuses par la radiothérapie, celles ci arrêtent de se multiplier et donc de comprimer des organes ce qui provoquait de terribles douleurs parfois. Un mécanisme qui peut même présenter aussi un risque vital. Après une séance de radiothérapie, les tumeurs régressent et des douleurs disparaissent, par conséquent. Des brûlures apparaissent, toutefois, en général, car les rayons brûlent la peau au passage. Mais, on peut légitimement penser alors que l’on est sur le chemin de la guérison. La radiothérapie peut sauver des vies, je ne le conteste pas, tout comme le fait de faire baisser la fièvre par des drogues chimiques peut elle aussi sauver des vies quand la fièvre, qui a pourtant un rôle thérapeutique, dépasse un certain seuil. De même, supprimer certaines allergies peut aussi sauver des vies quand l’allergie se manifeste sous la forme d’un œdème de Quinck qui peut étouffer le patient rapidement. Pourtant les allergies sont aussi des solutions naturelles d’élimination des poisons, qu’il faut aussi savoir respecter plutôt que de les supprimer par des drogues chimiques.

De même, la philosophie de la radiothérapie m’interpelle. Les écrits religieux auxquels j’attache aussi une certaine valeur, comme la Bible, oriente dans une voie exactement inverse, à savoir «surmonte le mal par le bien» (Romains 12:21). Ces traitements radiothérapiques qui tuent des cellules, fussent-elles cancéreuses, me semblent être tout à fait à la médecine moderne ce que la dévitalisation dentaire qui tue la dent est à la dentisterie moderne. Ils permettent certes de supprimer des cancers, tout comme la dévitalisation dentaire permet de supprimer des douleurs dentaires, mais ils empoisonnent les organismes, sans l’ombre d’un doute. La vie y gagne-t-elle vraiment à long terme?

 

Il a existé, jadis, un peu après le milieu du vingtième siècle, une grosse machine qui soignait le cancer, sans affecter la vie en quoique ce soit. Cela aurait pu plaire à notre médecine moderne qui aime bien les grosses machines. Cela fait plus scientifique, plus sérieux, que de juste utiliser des produits naturels ou de faire extraire des dents dévitalisées. Un ingénieur français ou plutôt franco italien, Antoine Prioré avait jadis fabriqué une machine à ondes électromagnétiques qui soignait des cancers sans empoisonner les organismes. Cette machine avait même la propriété de permettre aux fruits et légumes de rester frais bien plus longtemps et cela sans que les cellules en soient affectées comme c’est le cas avec les traitements de radioactivité qui sont utilisés dans l’industrie agro-alimentaire, sauf pour les produits bio. Un grand politicien de l’époque [Note de La Santé Naturelle: Apparemment, il s’agit de Jacques Chaban-Delmas.] a même tenté de promouvoir cette machine qui a subie une franche opposition des grands cancérologues de l’époque qui n’imaginaient autre chose pour soigner le cancer que de tuer des cellules cancéreuses. Cette machine amenait à l’évidence des ondes de vie – pourrait-on dire – en opposition aux ondes de mort qu’apporte la radio-activité.


La nature, en général, est pleine des solutions naturelles pour nous fournir des ondes de vies. Nos ancêtres avaient aussi certaines connaissances sur des formes comme les pyramides qui génèrent des ondes de vie et notamment lorsqu’elles surplombent les grottes qui peuvent alors servir de salles de régénération. A côté de chez moi, au dessus de Nice, il existe une telle grotte, surplombée par une pyramide qui date du temps des Templiers. Ces derniers y emmenaient les personnes malades pour qu’elles y retrouvent la santé. Le simple fait d’y rester quelques heures régénère les malades, je l’ai constaté. Elle est très peu connue et il n’y a jamais personne contrairement aux centres de cancérologie, où l’ on se bouscule de plus en plus. Les ondes de mort ont, semble-t-il, plus de succès actuellement. C’est logique puisque les médicaments chimiques ont aussi plus de succès que les produits naturels. Notre société est donc tout à fait cohérente avec ses croyances que seule la science des scientifiques d’aujourd’hui peut guérir. Mais le résultat de cette croyance est qu’aujourd’hui le seul secteur d’activité qui embauche quasiment encore en France, avec l’industrie nucléaire, est l’aide aux personnes dépendantes. Des personnes dépendantes, qui, en général, ont fait aveuglément confiance à notre médecine scientifique et qui sont de plus en plus nombreuses. C’est logique, nous sommes aussi le pays européen qui s’est le moins intéressé aux médecines naturelles et où il y a le plus de centrales nucléaires et de dents dévitalisées.

 

Les cancérologues reconnaissent que dans les premières semaines qui suivent leurs traitements de chimiothérapie et de radiothérapie, on constate une mortalité qui est nettement supérieure à celle qui se serait produite sans leurs traitements. Les personnes fragiles ne supportant pas ces traitements sont éliminées rapidement. C’est comme une épreuve de passage, car, sans traitements, pensent-ils, ces personnes fragiles seraient mortes de toutes façons, quelque temps plus tard. Leurs traitements permettent au moins de sauver ceux qui résistent à la chimiothérapie et la radiothérapie, se disent-ils. Ce raisonnement possède sa logique, et ses chiffres, on ne peut le contester. On se doit aussi de constater que les récidives de cancers sont fréquentes et que ces traitements fragilisent les patients. Les épreuves de passage sont alors de plus en plus difficiles à passer avec le temps. Les traitements radiothérapiques permettent, certes, aux personnes robustes de vivre un peu plus que si on ne faisait rien mais peut-être pas si longtemps que cela, toutefois. On peut donc espérer une autre logique thérapeutique qui permettraient aux personnes fragiles de survivre, elles aussi, au cancer et à tous de vivre vraiment longtemps après un cancer.

 

Il semblerait que cette logique existe déjà, surtout si on élimine les causes des cancers. C’est ce que divers thérapeutes ont démontré. Des thérapeutes comme Hamer pour les cancers d’origine psychosomatique mais aussi Hulda Clark et Joseph Issels pour ceux plus d’origine somatique. Ces thérapeutes tentaient d’éliminer les causes des cancers et de les soigner par des médecines naturelles qui n’empoisonnent pas les organismes. Les cellules cancéreuses disparaissaient alors sans avoir besoin de les tuer. Ces thérapeutes ne guérissaient pas, non plus, tous leurs patients. Mais la médecine officielle ne guérit pas tous les cancers, non plus. Seulement, elle, elle est généralement excusée quand ses patients meurent. Mais quand un patient traité par des traitements alternatifs meurt, on veut généralement mettre en prison le thérapeute en le faisant passer pour un charlatan. Parfois il suffit juste qu’il ait émis des idées alternatives avec vigueur et passion, comme ce fut le cas du Dr Hamer. «Mais les braves gens n’aiment pas que, l’on suive une autre route qu’eux» chantait Georges Brassens….

 

Si je peux sembler un peu critique sur la radiothérapie, et donc par analogie sur la chimiothérapie, qui est dans la même ligne philosophique d’empoisonner l’organisme pour tuer des cellules cancéreuses, je ne nie pas non plus que ces techniques arrivent aussi à guérir des cancers. Mais cela ne signifie pas, non plus, qu’il n’existe pas des techniques meilleures encore pour soigner le cancer. Dans notre système actuel, notamment de paiement des médecins en fonction d’actes bien codifiés, ces techniques n’ont, toutefois, que très peu de chance d’émerger à travers le système officiel. J’ai connu une personne qui allait vers la mort avec les traitements classiques de la cancérologie. Ses cancérologues eux mêmes lui dirent qu’ils ne pouvaient plus rien faire pour elle. La personne découvrit l’existence d’Hulda Clark et alla au Mexique se faire soigner par elle son cancer. L’une des premières choses qu’elle lui fit, fut de lui faire enlever toutes ses dents dévitalisées. Elle guérit de son cancer et retrouva de la vitalité. Quand elle alla en informer ses anciens cancérologues, son histoire ne les intéressa visiblement pas du tout. Elle eu même quelques problèmes par la suite quand elle voulut faire connaître sa guérison et importer du Mexique les produits d’Hulda Clark.

A propos du Mexique, j’ai entendu dire que la ville de Mexico de 20 millions d’habitants, vit actuellement une grande expérience d’introduction des médecines naturelles dans son système hospitalier, même pour la cancérologie. Il se pourrait bien que l’on s’aperçoive que les patients ressortiront des hôpitaux avec une bien meilleure vitalité qu’avec les médecine modernes, sans pour autant avoir plus de mortalité. Mais bon, il y a moins de cancers au Mexique qu’en France, car les Mexicains ont aussi rarement les moyens financiers de faire dévitaliser leurs dents cariées qui sont de fait souvent extraites.

 

L’une des grandes différences de nos pays soumis à une épidémie de cancers par rapport aux sociétés primitives ou moins riches, qui ont bien moins de cancers, est que nos populations y possèdent généralement des dents dévitalisées, comme par hasard. Cela est essentiel et pourtant nos cancérologues l’oublient trop souvent. C’est peut-être pour ne pas trop contrarier leurs confrères dentistes.

 

Je précise aussi être bien moins critique sur la chirurgie, qui élimine les tumeurs cancéreuses. J’y vois en effet une analogie avec l’élimination des dents dévitalisées qui permet de guérir nombre de patients. Mais de là à supprimer carrément les organes dans leur totalité parce qu’ils contiennent quelques cellules cancéreuses, susceptibles de métastaser, il y a toutefois une différence. Certes alors, il n’y a plus de cancer, mais il n’y a plus d’organe, non plus. Est-ce une guérison ou une mutilation? Certes, quand on coupe une jambe gangrénée, on sauve aussi la vie tout en mutilant le patient. D’une certaine façon, on peut penser qu’éliminer un organe cancéreux revient un peu à la même chose. Mais, pourtant, j’ai vu, parfois, des organes cancéreux, qui devaient être enlevés par des cancérologues, guérir pourtant par d’autres méthodes, ainsi que des extrémités qu’on pensait gangrénées arriver à revivre par des techniques de médecines naturelles. Tout cela n’est donc pas si simple et me fait comprendre qu’avant de supprimer des organes, il faut bien réfléchir.

Je n’ai jamais vu, par contre, une dent dévitalisée revivre, car, quand on sait ce qu’est une dent dévitalisée, c’est bien sûr impossible. Et c’est pourquoi, malheureusement, il n’y a pas d’autre solution que l’extraction pour se débarrasser de cet organe nécrosé. C’est avant de dévitaliser la dent qu’il aurait fallu réfléchir à tout faire pour la garder vivante. Supprimer chirurgicalement les tumeurs cancéreuses me semble donc être une bonne chose, si on arrive à supporter l’opération. Les coupes histologiques des tumeurs montrent en leur centre, la présence de tissu nécrosé. En éliminant la tumeur, on élimine de fait du tissu nécrosé par la même occasion. Le tissu nécrosé comporte des cellules mortes que les cellules cancéreuses de la tumeur tentaient probablement d’isoler du reste de l’organisme, afin de séparer la mort du vivant. Les cellules cancéreuses pourraient bien nous apprendre aussi que les mécanismes de la biologie veulent séparer la mort de la vie. Cela renforce l’idée d’éliminer les dents mortes ou dévitalisées pour la santé. Il est d’autre part important de savoir que la présence de cellules mortes dans l’organisme sera favorisée par la conservation des dents mortes ou dévitalisées en bouche. J’explique plus cela dans le texte à l’adresse suivante: http://dent.devitalisee.free.fr/?p=113, qui explique que la mort engendre la mort. On comprend alors pourquoi un éminent cancérologue allemand, le Dr Joseph Issels disait que les dents dévitalisées sont hautement cancérigènes. Certains pensent même que ce serait aujourd’hui la première cause de cancers en France.

 

Lorsqu’on a découvert la radio-activité, il y a environ un siècle, certains pensaient qu’elle avait des vertus bienfaisantes pour la santé. On vendait de très nombreux accessoires contenant du radium, un produit radioactif qui est issu de l’uranium. On vendait des vêtements, sous vêtements, du dentifrice et même de l’eau minérale renforcée en radium. Même la médecine utilisait le radium. Il y a avait par exemple des laits dermatologiques au radium. L’américain Hermann Joseph Muller, déclara le premier en 1927 que le radium pouvait provoquer des cancers. On a alors commencé à arrêter d’utiliser la radio-activité en médecine, à part pour traiter les cancers. Mais on a vraiment pris conscience dans le monde des dangers de la radioactivité qu’après la bombe atomique d’Hiroshima, semble-t-il, puisque Muller n’eut le prix Nobel de médecine qu’en 1946. Malgré tous ces éléments, dans les années soixante dix, soit environ cinquante ans après la déclaration du Dr Muller, des médecins français utilisaient toujours de la radioactivité pour autre chose que les cancers. Des ORL par exemple utilisaient parfois toujours en France des mèches au radium censées déboucher le nez. Quand on sait cela, on comprend que certaines informations essentielles pour la santé mettent un certain temps pour arriver jusqu’en France, semble-t-il. C’est un peu comme le cas des dents dévitalisées dont personne ne parle en France alors qu’à l’étranger, dans les pays anglosaxons et germanophones notamment, il existe des courants importants de médecins et dentistes qui prônent l’élimination des dents dévitalisées.

Pour en revenir à la radio-activité, même les religieux en étaient friands. On peignait des statues de la Vierge, dans les églises, avec de la peinture radioactive, parce qu’elles étaient alors bien phosphorescentes dans la nuit. On vendait même des bijoux imprégnés de peinture radio-active. Certaines ouvrières qui peignaient ces bijoux humectaient le pinceau dans leur bouche. Elles ont eu des cancers de la langue. Merci, Pierre et Marie Curie, pour cette bonne découverte, ont-elles dû penser.

Aujourd’hui, on sait bien que la radio-activité est dangereuse et à éviter. Pourtant depuis les tous débuts de la découverte de la radio-activité, on trouve logique de soigner les cancers avec de la radio-activité. Cela revient en quelque sorte à croire toujours que la radio-activité est bonne pour la santé. Ne serait-on pas encore une fois dans l’erreur, même si on fait cela depuis plus d’un siècle? Depuis plus d’un siècle, les dentistes ont aussi “sauvé” des millions de dents en les dévitalisant. Pour cela, ils recourent aujourd’hui parfois à de la haute technologie comme les lasers. Ils pensent majoritairement que la dévitalisation dentaire représente un grand progrès médical. Pourtant tout un courant de dentisterie holistique étranger a compris qu’ils empoisonnent ainsi gravement leurs patients et préparent alors le terrain des cancers notamment. Il y a à l’évidence des erreurs qui durent parfois très longtemps, même dans le milieu médical.

Un élément dont ne me semble pas tenir compte la cancérologie moderne, est la distinction entre les cancers dont les causes persistent et ceux dont les causes ne persistent plus. Cette différence me parait pourtant assez importante.

La logique de tuer les cellules cancéreuses me semble relativement cohérente lorsqu’on ne peut éliminer la cause du cancer, que ce dernier progresse dangereusement, et qu’on ne sait pas appliquer de thérapies naturelles suffisamment efficaces. Le patient se retrouvera ensuite dans un état de délabrement important, car il aura été empoisonné, mais ces actions visant à tuer les cellules cancéreuses lui sauveront parfois la vie. C’est tout à fait comme pour tout le reste de la médecine chimique, dans les cas d’urgence. Quand on ne sait rien faire d’autre, il vaut mieux empoisonner un peu le patient si cela peut lui sauver la vie. Mais cette possibilité me semble intéressante pour les personnes qui ne veulent faire aucun effort sur l’alimentation, ne veulent pas jeûner, qui continuent à s’exposer aux ondes des antennes-relais, par exemple, qui veulent conserver leurs dents dévitalisées, qui continuent à cuisiner avec de l’huile dans des casseroles en métal, qui ne veulent pas faire de psychothérapie pour dépasser leurs gros problèmes psychologiques et qui ne veulent pas entendre parler d’une autre philosophie de soins que tuer les cellules cancéreuses. La cancérologie moderne leur sauvera alors peut-être la vie, pour un certain temps, s’ils sont suffisamment robustes. Mais s’il y a des récidives, ce qui, en général, ne manquera pas d’arriver si les causes persistent, ils deviendront de moins en moins robustes avec les traitements qui s’enchaineront. Le mieux, si possible, est donc d’éliminer les causes, puis d’aider ensuite l’organisme à se réparer sans l’empoisonner. Ce sera la solution qui permettra de vivre vraiment le plus longtemps, enfin si on arrive ainsi à faire disparaître les cellules cancéreuses, ce qui est possible et ce dont j’ai déjà eu le témoignage.

Il me semble donc intéressant d’identifier les causes du cancer, même si parfois les causes sont multiples. Quand la cause principale n’est, à l’évidence, plus présente, par exemple dans le cas de contamination radio-active passagère, il me semble inutile d’appliquer le protocole de tuer les cellules cancéreuses. Inutile donc d’irradier encore ceux qui ont été irradiés accidentellement. C’est la même chose quand la personne a arrêté de fumer, ou qu’elle a été soumise à de l’amiante dans le passé, et, plus généralement, dans toutes ces situations où la cause ne persiste pas. Si l’on applique un protocole qui tue les cellules cancéreuses, comme les causes ne sont plus là, le cancer disparaît, en général, assez bien, mais on épuise le patient. Très souvent, l’organe cancéreux meurt, parfois pire le patient meurt. Les cancérologues disent alors que le cancer a été guéri mais que le patient n’a pas supporté le traitement.

Il y a aussi le cas, le plus fréquent, où les patients guérissent en conservant les causes, leurs dents dévitalisées par exemple, mais perdent généralement les organes qui étaient cancéreux par la chirurgie. Ils sont guéris mais mutilés. Les causes voudraient bien re-cancériser l’organe mais il n’existe plus. En général, quelques années plus tard, les causes vont cancériser un autre organe, car les toxines cancérigènes doivent bien aller quelque part ailleurs. Elle choisissent alors un autre organe. On parle alors généralement d’un cancer secondaire, en expliquant qu’il a du rester quelques cellules cancéreuses du cancer primitif, qu’on n’était pas totalement arrivé à éliminer, et qui ont métastasé.

Parfois certaines causes peuvent persister, et malgré tout, la cancérologie moderne qui tue les cellules cancéreuses sans enlever les organes, peut, toutefois, sauver la vie du patient. Je l’ai aussi constaté. Tout dépend en fait du niveau d’agressivité des causes qui ont provoqué le cancer et de la vitalité du patient. Le patient survit quand sa vitalité est suffisante pour supporter le traitement et la persistance des causes, mais plus suffisante pour que le cancer puisse se développer. Le patient est guéri en conservant ses organes, mais il est dévitalisé. En général, le même cancer récidive dès qu’il le peut au même endroit quand la vitalité du patient remonte suffisamment pour que le mécanisme d’autoguérison cancer puisse à nouveau fonctionner. Mais cela prend aussi parfois des années. Le patient se traîne, mais bon, il est guéri.

J’ai aussi vu, une fois, un patient qui m’a dit avoir retrouvé de la vitalité après sa première série de traitement cancérologiques. Le cancérologue était surpris, car il était bien le seul de ses patients dans ce cas. J’ai expliqué au patient que ce n’était pas la chimio ni la radiothérapie qui lui avait fait retrouver de la vitalité mais l’élimination de ses dents dévitalisées, qu’il avait depuis une vingtaine d’années au moins. Mais il n’était pas très convaincu. A la seconde série de traitements, il fut totalement épuisé. A la troisième série, il mourut. Moralité, certaines chimio-radiothérapie tuent encore plus vite que les dents dévitalisées.

Mais c’est comme tout, il y a les bons cancérologues et les mauvais cancérologues. Le mauvais cancérologue, il applique systématiquement les protocoles de radiothérapie et chimiothérapie sans prendre en compte la vitalité du patient. Le bon cancérologue, lui, il tient compte de la vitalité du patient et va prescrire des traitements complémentaires de médecine naturelles pour limiter les effets secondaires des traitements conventionnels. Certes, il applique aussi les protocoles radiothérapiques et chimiothérapiques, mais c’est un bon cancérologue, voilà tout. C’est un peu comme les bons et les mauvais dentistes français, qui gardent, de toutes façons, les dents dévitalisées à leurs patients. Ce petit paragraphe, c’était un peu d’humour, pour ceux qui connaissent le sketch des humoristes, Les Inconnus, sur les bons et les mauvais chasseurs…

Parmi les différentes causes du cancer, il y a, bien sûr, celle à laquelle quasiment personne ne pense en France et qui est la dent dévitalisée. Mais, même une fois enlevées, les dents dévitalisées laissent souvent des os imprégnés de poisons, dont font partie les N.I.C.O. ou cavitations, qui eux aussi seront cancérigènes. Ils le seront moins, certes, que les dents dévitalisées, mais il faut quand même parfois en tenir compte. Très souvent, la prise en compte de ces problématiques peut vous éviter la radiothérapie et la chimiothérapie, qu’il sera très difficile d’éviter sinon. Les médecines naturelles auront parfois beaucoup de mal à être suffisamment efficaces pour guérir un cancer si ces causes persistent dans l’organisme. Il est donc très regrettable que cette information ne soit pas plus connue.

Si la radiothérapie est, sans l’ombre d’un doute, toxique sachez que dans le domaine de la médecine nucléaire, les scanners sont loin d’être anodins, non plus. Certes, on est, cette-fois ci, dans le domaine de l’imagerie et pas de la thérapie nucléaire. Mais un seul scanner total du corps correspond à la dose de radiation maximale admissible annuelle pour un travailleur de l’industrie nucléaire. Les scanners sont donc tout à fait contre-indiqués pour les travailleurs de l’industrie nucléaire, c’est mathématique, enfin, à moins qu’ils prennent une année sabbatique.

Je n’ai pas la prétention de tout avoir compris sur le cancer, de détenir la vérité sur le cancer ni d’avoir ni toutes les solutions, comme c’est le cas de certaines personnes, même dans les milieux des médecines alternatives. Mais à la vue de certaines constatations que j’ai faites, je pense qu’il serait bien que ce sujet soit débattu dans les médias, de manière différente qu’il ne l’est aujourd’hui. Il serait intéressant que soit donnée la parole à ceux qui se positionnent différemment de la pensée académique sur les traitements conventionnels du cancer. Il a fallu attendre l’accident nucléaire du Japon pour que les médias informent vraiment le public français sur des dangers du nucléaire, ce que des alternatifs criaient depuis des lustres. Que faudra-t-il attendre pour le cancer? Ne suffit-il pas que 50 % des français soient statistiquement candidats au cancer et que tout un courant alternatif de médecine naturelle crie que les traitements de radiothérapie et chimiothérapie sont des erreurs qui, de plus, ruinent notre société. On peut continuer à croire que les personnes qui tiennent ce genre de discours sont des charlatans opposés au progrès de la science, un peu comme on qualifiait, en quelque sorte, aussi, les militants contre le nucléaire de doux rêveurs utopistes. C’est un choix de société, ma foi, mais c’est un choix que semblent regretter aujourd’hui un peu les Japonais pour ce qui est du nucléaire.

Mais ce que l’on pourrait dire du cancer et des cellules cancéreuses, pourrait aussi se dire des traitements qui veulent à tout prix tuer les virus, par exemple, que ce soit dans les hépatites ou même dans le sida. Dans certains pays de l’Est on traite même actuellement des infections bactériennes avec des virus thérapeutiques et on s’aperçoit que les gens se remettent plus rapidement ensuite qu’après un traitement antibiotique. Et pour les maladies à virus, il existe aussi une polémique et des personnes qui refusent les traitements chimiques, prennent uniquement des traitements naturels et qui se portent bien et même mieux que ceux qui prennent des antiviraux.

A une certaine époque il était courant que les enfants souffreteux soient envoyés dans la nature, en montagne, voire, au bord de la mer. Mais, aujourd’hui, le médicament chimique, voire radiologique, est devenu un dieu, que la société vénère comme s’il allait lui apporter le salut. Un dieu que ses grands prêtres en blouse blanche prescrivent au nom de la science et que les plus riches mécènes de la planète subventionnent, en étant persuadés de bien faire. Et plus le médicament est toxique, donc efficace dans la logique médicale actuelle, mieux il est remboursé par la sécurité sociale. Personnellement, je préfère plutôt vénérer Mère Nature et ses produits naturels, car je sais qu’elle possède toujours de meilleures solutions que celles qui sortent de l’industrie chimique. Certes, je sais bien que la chimie médicale permet de guérir des maladies. Je sais même que, parfois, quand on ne sait rien faire d’autre, elle peut sauver des vies. Mais, aujourd’hui, en supposant que je ne connaisse aucune solution naturelle qui aurait permis de guérir une maladie donnée, je conseillerais alors le repos et le jeûne en général.

Je suggèrerais aussi de continuer à chercher des solutions naturelles et, en attendant, hormis les cas rares des urgences vitales, je conseillerais encore de garder sa maladie. Je sais en effet que le prix à payer ensuite, en effets secondaires, sera toujours trop cher. Il est évident qu’il vaut mieux être en bonne santé que malade, mais si la maladie arrive, elle a toutefois un sens, comme tout ce que produit la nature. J’ai vu, par exemple, après des extractions de dents dévitalisées, de grosses fièvres arriver à guérir des cancers. La maladie constitue toujours une tentative d’autoguérison de l’organisme. La maladie tente de restaurer l’énergie de l’organisme et de préserver ses fonctions. Ce concept n’est pas enseigné dans nos facultés aujourd’hui, où l’on ne pense qu’à supprimer au plus vie les symptômes et, en plus, avec de la chimie. Traiter les maladies par la chimie aboutit toujours alors à des états de handicap énergétique, que, bien sûr, ceux qui la prescrivent ne reconnaîtront jamais vraiment, tout comme ceux qui ont dévitalisé des dents ne reconnaîtront jamais les dégâts souvent irréversibles que cela produit. C’est très humain et il faut juste en avoir conscience.

Le cancer est très probablement, lui aussi, une tentative de guérison de l’organisme. L’ignorance du sens des cellules cancéreuses, la croyance que les cellules cancéreuses sont à détruire à tout prix et l’inconscience de l’importance des effets indésirables des méthodes qui le permettent, aboutit parfois certains à émettre des idées que j’estime complètement folles. Devant l’augmentation terrible des cancers, certains médecins ont sérieusement émis l’idée de donner préventivement de la chimiothérapie douce aux personnes âgées en bonne santé. Cette idée est même reprise dans certains milieux de médecines naturelles, qui y voient une bonne idée jamais appliquée par l’institution médicale et qu’ils nomment, la prévention active. Mais alors, pourquoi ne pas les irradier aussi préventivement en les envoyant faire un voyage thérapeutique à Fukushima sans les faire trop approcher de la centrale, toutefois? Ainsi ce serait une radiothérapie douce en quelque sorte, qui pourrait s’appeler elle, pourquoi pas?, “la prévention radio-active”……

Mais certains n’aiment visiblement pas trop qu’on débatte de ce genre de sujet. Une de leur stratégie classique est de nous répéter régulièrement que, grâce à la science et notamment la médecine moderne, on vivra tous de plus en plus vieux puisque le nombre de centenaires augmente régulièrement. Il n’est certes pas faux que dans certaines situations pathologiques extrêmes, quand on ne sait rien faire d’autre, un médicament chimique peut sauver la vie d’une personne âgée, c’est vrai. Ensuite, en général, après, ses sphincters ne fonctionnent plus et il faut la mettre sur un fauteuil roulant. Mais si le nombre de centenaires grabataires augmente, de là à en déduire que dans le futur, tout le monde va bientôt devenir centenaire est tout à fait simpliste. On oublie que ces centenaires d’aujourd’hui n’ont pas connu pendant la phase de construction de leur organisme, leur jeunesse, certaines avancées contestables de la science et notamment de la médecine moderne. Ils n’ont connu, ni les dents dévitalisées dont le nombre a énormément progressé, ni les médicaments chimiques modernes, dont la consommation a, elle aussi, énormément progressé, ces dernières décennies.

Aujourd’hui le cancer “progresse” tellement que les statisticiens prévoient qu’un Français sur deux le rencontrera au moins une fois durant sa vie. Mais il y avait très peu de cancers au début du siècle. Nos centenaires d’aujourd’hui n’ont certainement pas ou très peu été irradiés, par conséquent, par la radiothérapie. La plupart des centenaires d’aujourd’hui ne furent pas, non plus, vaccinés pendant leur enfance. De plus en plus souvent aujourd’hui, nos centenaires avec leurs dentiers, voient étonnement mourir leurs enfants, voire leurs petits enfants, de cancers ou autres maladies graves. Leurs enfants n’ont pas de dentiers mais de belles couronnes sur dents dévitalisées et ils ont suivi tous les programmes de préventions toxiques: échographie, vaccins, fluor etc…. Rien ne peut donc dire que ceux qui auront connu toute cette médecine, et la dent dévitalisée pendant les premières années de leur vie vivront aussi vieux que nos centenaires d’aujourd’hui. Le prétendre est donc une tromperie scientifique, car les échantillons de population d’aujourd’hui sont très différents de ceux du début du vingtième siècle. Quand on voit le nombre de maladies graves progresser sans cesse aujourd’hui et qu’on comprend comment fonctionne notre médecine moderne, et notamment la cancérologie moderne, on aurait même tendance à penser, en fait ,que ce sera très exactement le contraire.

Mais, bon, si quelques centrales nucléaires se fissurent aussi en France, toutes ces considérations seront tout à fait négligeables, j’en conviens, car nous serons tous mortellement irradiés, de toutes façons. Mais, bon, morts irradiés peut-être, mais avec une petite facture d’électricité, c’est apparemment le plus important pour certains.

Mais qu’un traitement de cancer coûte environ 25000 €uros à la société, personne ne semble trop s’en plaindre. Pourtant la maladie est quasiment ce qui ruine le plus notre pays, et le cancer est, parmi les maladies, celle qui doit coûter le plus cher à la collectivité. Et parmi les causes de cancers, la dent dévitalisée en est probablement la plus importante. C’est donc quand même un peu dommage de ne pas s’y intéresser, même si les centrales nucléaires sont un sujet encore plus préoccupant.

 

Bruno Darmon, Dr en chirurgie dentaire – drbrunodarmon@yahoo.fr.

 

P.S.: Pour ceux qui douteraient que nous sommes tous liés sur la planète par le nucléaire notamment: L’Institut français de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) a annoncé que des traces d’iode 131 ont été détectées dans des échantillons de lait français.


L’IRSN a découvert, dans une analyse effectuée le 25 mars en Loire-Atlantique, un taux inférieur à 0,11 Becquerels par litre (Bq/l) dans du lait. Il s’agirait bien d’iode 131 issu du nuage radio-actif en provenance de la centrale nucléaire de Fukushima. Le lait ne doit habituellement contenir aucune trace d’iode 131.

Source: http://dent.devitalisee.free.fr/?p=135