Faut-il boire de l’eau alcaline?

Eau électronisée ou «Eau Kangen»

Le point de vue de Joseph Orszagh de Eautarcie

(Extraits)

 

“À ce sujet, il n’est pas inutile de rappeler le premier principe de la gestion durable de l’eau: «adapter la qualité de l’eau aux usages qu’on en fait».
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La technique de l’osmose inverse semble être incontournable pour disposer de ces 5 litres d’eau biocompatible par jour.
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Pour faire son eau non pas « potable », mais mieux: «biocompatible», le public aura donc recours à des appareils domestiques de conditionnement.
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Dans la «jungle» des offres commerciales, le premier tri qui s’impose est la distinction entre les eaux de table et les eaux thérapeutiques. Les deux types d’eau répondent à des critères scientifiques et surtout à des finalités différentes. D’une manière générale, une eau possédant des vertus médicinales ne convient pas pour en faire son eau de table. D’un autre côté, une eau de table, même de haute qualité, ne peut servir de médicament. Au meilleur des cas, elle peut contribuer à la prévention de certaines maladies.
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Eau Kangen: une démarche commerciale intense
En regardant les petits films de démonstration sur les qualités de l’eau Kangen, le lecteur ne disposant pas de connaissances scientifiques laisse vite convaincre sur les qualités de cette eau. Je reviendrai sur cette question, mais dès à présent il vaut mieux préciser que l’eau Kangen est une eau à finalité thérapeutique. Elle peut ne pas convenir pour en faire son eau de table.
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Contrairement à ce que certains affirment, s’il y a modification de l’acidification de l’organisme, elle n’est pas imputable au caractère basique de l’eau.
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Je me permets de douter de l’efficacité de l’absorption d’eau basique pour compenser une acidification d’origine métabolique.
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L’eau basique est neutralisée dans l’estomac et son caractère basique ne se manifeste plus au niveau de l’intestin grêle.
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L’hydranion H3O- est un véritable «tueur de radicaux libres» d’une efficacité redoutable. Il est responsable de l’activité électronique extrêmement élevée (rH2 très bas) de l’eau Kangen.
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Appeler donc l’eau Kangen « eau ionisée » ne correspond pas à une réalité à l’échelle moléculaire. Pendant l’électrolyse, le nombre d’ions négatifs et positifs ne change pas. Par contre, la solution acquiert une activité électronique élevée, donc des électrons disponibles pour la désactivation des radicaux libres. Il est donc plus juste de parler d’eau électronisée.
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Les domaines où l’eau électronisée peut apporter de succès dans le traitement des maladies sont nombreux.
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Il y a des chances que l’eau faiblement électronisée deviendra un moyen puissant de prévention de tout les types de cancer. Cependant, son dosage doit toujours se faire sous surveillance médicale.
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En admettant l’hypothèse de Daniel Pinon sur la régulation des équilibres Na+/K+ et Mg2+/Ca2+ par le rH2 du sang, le surdosage d’hydranion H3O- peut, à son tour, perturber l’assimilation du magnésium. Ici aussi, la bonne mesure s’impose.
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Ce n’est pas tuer les virus qu’il faut, mais modifier les propriétés électrochimiques du sang pour rendre leur multiplication impossible. La vaccination est la grosse artillerie qui détruit tout, avec des «dommages collatéraux». La modification du terrain bioélectronique supprime l’élément vital pour la multiplication des virus. Ceux-ci peuvent entrer dans l’organisme, mais sur un terrain réducteur ils sont incapables de se multiplier. Il ne faut pas oublier que le rH2 du terrain de «santé parfaite» se trouve entre 21 et 24. Dans ces conditions, le virus (probablement même le HIV) est tout simplement inopérant.
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Sans être une «panacée universelle», l’eau électronisée et même le sous-produit de sa fabrication, l’eau désélectronisée, ont leur place dans la pratique médicale. Eu égard à leur effets secondaires, l’usage doit être fait sous surveillance.

Afin d’exploiter toutes les possibilités de l’eau électronisée, les concepts de la médecine bioélectronique devraient être largement diffusés dans les milieux médicaux. En effet, le contrôle médical de l’usage de cette eau se fait à l’aide d’un bioélectronimètre médical. Ce dernier devrait entrer dans les laboratoires d’analyses.
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L’appareil d’électrolyse pour la production d’eau Kangen a évidemment sa place dans les cabinets médicaux, dans toutes les pharmacies et aussi dans les dispensaires, cliniques et des hôpitaux. De même qu’il est possible de louer par le biais des assurances maladies du matériel orthopédique lors de revalidation, il devrait être possible de louer un appareil d’électrolyse pour les malades dont le traitement nécessite une cure prolongée d’eau électronisée.
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Louis-Claude Vincent était formel pour déconseiller la consommation des eaux basiques. Cette affirmation, prise au pied de la lettre a conditionné les praticiens de la bioélectronique médicale. Ceux-ci ont parfois du mal à admettre qu’une eau basique puisse être bonne pour la santé. A son époque, on ne connaissait pas l’eau électronisée.

 
Ce serait une erreur de faire l’amalgame entre les eaux thérapeutiques et les eaux de table. Vincent avait entièrement raison de déconseiller la consommation régulière des eaux basiques, surtout à un pH supérieur à 8 ou même à 8,5.
 
Ces eaux sont en général dures (contenant du calcaire) ou bien elles contiennent des électrolytes basiques comme la soude, la potasse, la chaux ou la magnésie. Par contre, les eaux naturellement acides sont toujours très douces (contiennent peu de calcaire) et leur acidité est souvent liée à des colloïdes de silice. Ces derniers sont de véritables médicaments homéopathiques pour stimuler l’assimilation du calcium. En cas d’ostéoporose, boire de l’eau dure (contenant beaucoup de calcium) ne sert à rien. Il conviendrait plutôt de boire des eaux contenant de la silice colloïdale ou des tisanes de prêle qui en contient encore plus.
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En bioélectronique non plus, il ne «faut pas être plus catholique que le Pape». Déconseiller la consommation d’une eau dont le pH est faiblement basique est aussi peu raisonnable que diaboliser les eaux acides et gazeuses.
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Avec l’eau électronisée, la donne a changé. Avec un surdosage, on risque d’altérer le terrain vers des valeurs trop basses de rH2 qui risquent de ressusciter des maladies oubliées (peste bubonique et lèpre, entre autres) depuis des temps historiques.
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L’eau Kangen formée à la cathode est une eau extrêmement réductrice (anti-oxydante) dont les applications thérapeutiques vont bien plus loin que ne le signalent leurs promoteurs. La connaissance de la bioélectronique médicale ouvre ici des perspectives qui feraient rêver les médecins les plus audacieux. Ceux qui ont pratiqué la bioélectronique depuis plus de 50 ans n’ont encore jamais eu à leur disposition un médicament aussi puissant pour modifier ce qu’ils appellent «le terrain bioélectronique du patient».

 

Source – Lire l’article entier: http://www.eautarcie.org/03d2.html