Les Fleurs de Bach
“C’est une folie que de prétendre guérir le corps
sans vouloir d’abord guérir l’âme.”
– Platon –
“Sois loyal envers Toi-même, et, aussi infailliblement que la nuit suit le jour,
Tu ne pourras être déloyal envers personne.”
– William Shakespeare –
“Pour être en bonne santé, il faut être en harmonie avec son âme.“
– Dr Edward Bach –
nous ne connaîtrons jamais rien d’autre que la joie et la santé.”
“L’esprit étant la partie la plus sensible et la plus délicate du corps,
il montre l’apparition et l’évolution de la maladie avec bien plus de précisions que le corps,
et c’est ainsi la façon de penser qui est choisie comme guide
afin d’identifier le ou les remèdes nécessaires.
Ne tenez aucun compte de la maladie,
considérez seulement le regard sur la vie
que porte la personne en détresse.”
– Dr Edward Bach –
“Si je devais choisir une seule méthode de traitement parmi toutes celles qui existent au monde,
je choisirais les quintessences florales du docteur Bach.
Je suis convaincue qu’elles ont plusieures décennies d’avance sur leur temps,
et qu’elles deviendront bientôt une référence pour la grande majorité des médecins et de leurs patients.
Elles ont, d’une façon ou d’une autre, un effet très subtil sur le Moi intérieur,
dont elles résolvent rapidement les conflits,
alors qu’une psychothérapie aurait pris des années, en supposant qu’elle soit réussie.”
– C.K. Munro, gynécologue obstetricienne,
Londonderry, Irlande du Nord, GB. –
Dr Edward Bach
Le médecin anglais – Docteur Edward Bach a écrit le livre “La Guérison par les Fleurs”, son œuvre fondamentale. L’on trouve, bien sûr, cet ouvrage dans le recueil de ses œuvres complètes (voir lien en bas de la page).
Les Fleurs de Bach (à l’anglaise prononcer “Batch”, à l’allemande “Baar”, à la française “Back”) sont des élixirs floraux réalisés à partir de trente-huit essences de fleurs. Elles tiennent leur appellation du nom de leur concepteur, le Docteur Edward Bach (1886-1936), médecin anglais spécialisé notamment en chirurgie et bactériologie, également inventeur des “nosodes de Bach”, s’intéressant aussi à l’homéopathie, qui conduisit des recherches sur l’utilisation des fleurs, entre 1928 à 1936.
Le docteur Edward Bach est né le 24 septembre 1886 à Moseley, et décédé, à l’âge de 50 ans, le 27 novembre 1936. C’est le médecin britannique, homéopathe, à l’origine de la thérapie par les élixirs floraux, dite: «Fleurs de Bach».
La Vie du Dr Edward Bach
Né le 24 Septembre 1886, enfant contemplatif et amoureux de la Nature, le jeune Edward Bach, dès sa plus tendre enfance, parcourait la campagne du Pays du Galles. Doué de compassion à l’égard de la souffrance humaine, il rêve, très tôt, de trouver une thérapie simple et naturelle, efficace, applicable à toutes les maladies, et c’est, tout naturellement, ce qui le conduit à vouloir devenir médecin.
Malgré cela, conscient du fait que ses parents ne pourraient pas lui payer de longues études, il quitte l’école à 16 ans, pour travailler dans la fonderie paternelle, ce qui est l’occasion, pour lui comme pour son entourage, de vérifier qu’il n’a pas le sens des affaires. Après quoi, en 1906, il rentre dans la cavalerie et expérimente alors, de nouveau, la vie au grand air et l’amour vis-à-vis du règne animal.
Son souhait est de réussir à trouver des moyens peu coûteux afin de parvenir à apaiser les inquiétudes humaines et de guérir les âmes et les corps de ceux qui souffrent. Tout d’abord, il croit qu’il doit étudier toutes les thérapies déjà existantes et comme, pour finir, son père se décide à l’aider, à vingt ans il entreprend ses études médicales à l’unversité de Birmingham.
De 1912 à 1930 il est installé à Londres et y travaille d’arrache-pied, ce qui a pour effet de l’éloigner de la Nature tant aimée. Au cours de ses recherches il comprend que chaque être humain est affecté par sa maladie d’une manière différente qui conditionne la durée et la gravité de sa pathologie. Il prend aussi conscience du fait qu’un traitement identique appliqué à des personnes différentes ne guérit pas toujours une même maladie.
C’est cela qui le conduit – ce qui est totalement révolutionnaire pour l’époque – à davantage s’intéresser à la personnalité du patient qu’à sa pathologie. Il découvre que l’attitude du malade face à sa vie est l’aspect déterminant quant au choix de la thérapie qui lui convient et à l’efficacité de celle-ci.
En 1913 le Docteur Edward Bach quitte l’hôpital pour ouvrir son cabinet privé. Au cours de sa pratique, exigeant envers lui-même, le Dr Bach est de moins en moins satisfait des résultats obtenus. Il ressent que la pratique médicale usuelle – aussi temporairement adoptée par lui -, quasi exclusivement axée sur le corps, néglige quasi totalement l’âme.
Cela le motive d’autant plus à rechercher un chemin de guérison plus efficace et plus pérenne. Il revient vers l’hôpital, où il découvre l’importance de certains germes intestinaux pathogènes dans le développement de différentes maladies chroniques. A la suite de quoi, contre les germes pathogènes intestinaux, il met progressivement au point les célèbres “nosodes de Bach”.
En 1914 éclate la première guerre mondiale. Du fait de sa mauvaise santé, à plusieurs reprises, le citoyen Edward Bach est réformé. Son état de santé est même jugé si alarmant que son médecin ne lui donne, en tout et pour tout, {plus} que trois mois à {sur}vivre. Ce n’est pas la mort elle-même qui le préoccupe mais l’idée de devoir quitter la Terre sans avoir accompli l’œuvre de sa vie est pour lui un constant tourment. Toutefois, au lieu de l’accabler, cette pensée galvanise son énergie et l’incite à atteindre son objectif au cours du peu de temps qui lui reste {encore}…
Il est tellement occupé à travailler qu’il se rend à peine compte que, dans l’intervalle, son état de santé s’améliore considérablement. Cela le conforte dans sa constation que le psychisme est déterminant quant à la santé et que celle-ci vient d’abord de l’intérieur… Il suffit d’avoir devant les yeux un grand, haut et noble but et de tendre de toutes ses forces à y parvenir, pour re-basculer de l’état morbide à l’état sain.
Par la suite, le Dr Bach prend conscience des limites de ses “nosodes” peu ou pas efficaces sur certaines pathologies chroniques. Fin 1918 il doit choisir entre l’hôpital et son cabinet privé. Ne pouvant se contraindre à des horaires fixes de fonctionnaire, il choisit bien évidemment de garder son cabinet privé, mais, bien évidemment, sans les moyens offerts par l’hôpital pour la recherche… Ce qui le conduit à se ruiner pour aménager chez lui son laboratoire privé.
En Mars 1919 il découvre “L’Organon”, le livre de Samuel Hahnemann, le fondateur de l’homéopathie. C’est, pour lui, une révélation. Les points communs entre la démarche de Samuel Hahnemann et la sienne apparaissent à sa conscience. Déjà Hahnemann avait découvert qu’un remède est plus efficace si l’on attend que la dose précédente ait entièrement terminé son effet avant d’administrer la suivante… Un autre point commun entre Hahnemann et Bach est que les deux étaient conscients qu’une réelle et pérenne guérison ne peut être atteinte que si l’objectif est de soigner le malade et non point la maladie.
Pour Edward Bach celui qui suit le chemin que lui destine la Vie trouvera toujours, en toutes circonstances, l’Aide nécessaire à la poursuite de ses hauts buts.
En 1930, il décide d’abandonner complètement son poste d’homéopathe pour partir dans la Nature en quête des fleurs sauvages qui seront les parfaits moyens purs et naturels de sa nouvelle pratique de soin.
En 1932 il écrit le livre: “Libère-Toi Toi-même”, qui expose sa philosophie de la santé et de la maladie, et ses premières conceptions au sujet des remèdes qu’il est en train de découvrir…
Il conçoit finalement 38 préparations florales réparties en sept groupes qui correspondent aux sept nosodes: les Fleurs de Peur (groupe I), d’Incertitude (Groupe II), de Manque d’intérêt pour le présent (Groupe III), de Solitude (Groupe IV), d’Hypersensibilité aux influences et aux idées (Groupe V), d’Abattement et désespoir (Groupe VI), et de Souci excessif du bien-être d’autrui (Groupe VII) auxquelles s’ajoute une 39ème préparation – la plus connue (qui consiste en un mélange de 5 remèdes synergiques) – appelée «Rescue Remedy» ou, en français, «Remède d’Urgence».
La conception du Dr Bach au sujet des maladies
“Ce que nous appelons maladie, est un résultat final qui se manifeste dans le corps {physique}, le produit de forces ayant agi longtemps et en profondeur, et même si le traitement matériel semble être un succès, il n’apporte rien de plus qu’un soulagement temporaire tant que la véritable cause n’a pas été écartée.” (…)
“La maladie est, par essence, la résultante d’un conflit entre l’Âme et l’Esprit, et elle ne pourra être
éradiquée que par des efforts spirituels et mentaux.”
“En réalité, dans de nombreux cas, une guérison apparente est dommageable, car elle cache au patient la véritable cause de son trouble, et pour ce dernier, tout satisfait de sa santé apparemment retrouvée, la vraie cause reste non identifiée et peut se renforcer.”
“On peut comparer ces cas à celui d’un patient qui connaît la nature des forces spirituelles ou mentales indésirables qui sont à l’œuvre ou qui a été instruit par un médecin qui connaît les vraies causes qui ont eu pour effet de déclencher la maladie dans le corps physique. Si ce patient essaie directement de neutraliser ces forces, sa santé s’améliore dès qu’il entame ce processus avec succès, et lorsqu’il est terminé, la maladie aura disparu. C’est cela, la vraie guérison, lorsqu’on s’attaque à la forteresse, la réelle base de la cause de la souffrance.”
“Rappelons que la maladie, même si elle semble cruelle, est en soi bénéfique et pour notre bien, car si elle est bien interprétée, elle nous guidera vers nos défauts principaux. Si elle est correctement traitée, elle nous aidera à ôter ces défauts et nous laissera meilleurs qu’auparavant. La souffrance est un correctif qui nous montre une leçon que nous n’aurions pas pu assimiler autrement, et elle ne pourra pas être éradiquée tant que la leçon n’aura pas été apprise. Il faut aussi savoir que ceux qui comprennent et sontcapables d’interpréter la signification des symptômes annonçant la maladie, peuvent prévenir son développement ou la stopper à ses débuts, en entreprenant des efforts correctifs spirituels et mentaux. Aucun cas n’est désespéré, même si il est très grave, car le fait que l’individu soit toujours physiquement en vie indique que l’Âme qui le gouverne garde espoir.” (…)
“Tant que notre Âme et notre personnalité [NDLR: par “personnalité” le Dr Bach entend ici la personnalité terrestre, donc l’égo] sont en harmonie, tout est joie et paix, bonheur et santé. C’est lorsque notre personnalité s’écarte du chemin tracé par l’Âme, soit entraînée par nos propres désirs, soit influencée par les autres, qu’un conflit survient. Ce conflit est la cause qui est à la racine des maladies et du mal-être.” (…)
Peu importe notre tâche sur terre – cireur de chaussures ou monarque, propriétaire terrien ou paysan, riche ou pauvre – tant que nous accomplissons notre tâche selon ce que nous dicte notre Âme, tout ira bien. Et nous pouvons en outre être assurés que, quelle que soit la situation où la vie nous place, princière ou inférieure, nous y trouverons les leçons et les expériences nécessaires à ce moment de notre évolution et les meilleures opportunités pour notre développement personnel.” (…)
“Le grand principe suivant est la compréhension de l’Unité de toute choses, que le Créateur de toutes choses est Amour, et que tout ce dont nous sommes conscients est la manifestation de cet Amour dans une infinité de formes, que ce soit une planète ou un caillou, une étoile ou une goutte de rosée, l’Homme ou la plus infime forme de vie.” (…)
“Cependant, il n’y a pas de raison de désespérer. La prévention et la guérison des maladies peut se faire en découvrant le défaut en nous et en l’éliminant, non pas en combattant ce défaut, mais par le développement sincère de la vertu opposée, en se laissant inonder par celle-ci de façon à ce que le défaut soit balayé de notre nature.” (“Guéris-Toi Toi-même.”) (…)
“La maladie est donc le résultat de l’interférence, soit que nous interférons avec quelqu’un d’autre, soit que nous laissons d’autres interférer avec nous“. (“Libère-Toi Toi-même.”)
“Ce système de guérison, qui nous a divinement été révélé, montre que ce sont nos peurs, nos soucis, notre anxiété et des sentiments de ce genre qui ouvrent la porte à l’invasion de la maladie. Donc en traitant nos peurs, nos soucis, nos problèmes et tout cela, non seulement nous nous libérons de la maladie, mais en plus les Plantes que la Grâce du Créateur nous a apportées enlèvent également nos peurs et soucis et nous laissent plus heureux et mieux en nous-mêmes.”
“Comme les Plantes guérissent nos peurs, nos anxiétés, nos soucis, nos fautes et nos échecs, c’est ceux-ci que nous devons chercher et la maladie, peu importe laquelle, nous quittera. C’est à peu près tout ce qu’il y a à dire, car l’esprit compréhensif saura tout ceci.” (…)
“Donc, derrière toute forme de maladie, il y a nos peurs, nos anxiétés, nos avidités, nos goûts et dégoûts. Cherchons-les pour les guérir et en les guérissant, la maladie dont nous souffrons partira.” (“Les 12 Guérisseurs et autres remèdes.”)
Principe
Les Fleurs de Bach ne sont pas conçues pour agir directement sur le corps physique. C’est plutôt une action sur l’âme, une thérapie des émotions négatives. Le mot “émotion”, du latin “ex-movere”, signifie: “mouvement hors de”. Il s’agit donc d’un mouvement de l’âme.
Concernant le chemin vers la Guérison, le Dr Edward Bach a dit: “Le patient de demain … peut obtenir de l’aide et des conseils d’un frère aîné, qui l’aidera dans son effort”.
Le Dr Bach explique: “Chaque fleur correspond à l’une des qualités, et son but est de renforcer cette qualité pour que la personnalité s’élève au-dessus du défaut qui est son obstacle particulier“.
Le Dr Bach insiste sur l’importance d’être soi-même: “Tout ce que nous avons à faire, c’est préserver notre identité, vivre notre propre vie, être le capitaine de notre propre bateau, et tout ira bien. C’est en développant ces vertus que chacun d’entre nous fait faire au monde entier un pas de plus vers son ultime et glorieux accomplissement”.
Aux yeux d’Edward Bach la forme de la maladie, son genre, son appellation et même sa durée n’ont aucune importance. C’est l’âme qu’il faut guérir.
La conception des élixirs floraux relève d’une démarche purement intuitive et non point – selon les critères de l’approche dite “scientifique” mais qui est surtout scientiste – “scientifique”. Le Dr Bach s’intéresse davantage à la personne et à ses états émotionnels qu’à la maladie et à ses symptômes. Guérir l’âme aura nécessairement aussi corollairement un effet bénéfique sur le corps terrestre.
Dans son livre “Guéris-Toi Toi-même – Une explication sur les vraies causes et remèdes de la maladie” – le Dr Bach écrit: “La maladie ne pourra jamais être guérie ou éradiquée par la méthode matérialiste actuelle, pour la simple raison que son origine n’est pas matérielle”.
Bach parvint à ses découvertes par l’exercice de sa faculté d’intuition et aussi par inspiration. L’Intuition est un ressenti spirituel. L’inspiration est un processus de pensée qui, depuis le plan terrestre, tend un pont vers une source, à partir de laquelle, de façon refluante, l’information va lui revenir en retour. Il déclara qu’il lui suffisait de tenir une fleur ou de goûter un pétale pour intuitivement reconnaître sa vertu thérapeutique. Étant médecin, il utilisait ensuite les remèdes découverts chez ses patients.
D’après l’assistante du Dr Bach, Nora Weeks, la découverte d’une fleur en particulier était, chez lui, précédée d’un état d’intense souffrance correspondant à l’état négatif vis-à-vis duquel cette fleur était bénéfique. L’on peut donc dire qu’il a découvert et mis au point les élixirs non par une élaboration intellectuelle mais par une profonde expérience vécue, en laquelle il s’est totalement personnellement engagé.
En 1936, le Docteur Edward Bach annonce à ses assistants, Nora Weeks et Victor Bullen, que sa thérapie florale est maintenant achevée et il leur demande de la garder intacte pour l’avenir; cette mission est actuellement poursuivie par l’équipe du Dr. Bach Center, installée dans la maison même du Docteur Bach.
La maison du Docteur Bach à Sotwell, petit village pittoresque au sud d’Oxford
Depuis leur création les Elixirs Floraux du Dr Bach portent le nom de leur découvreur: «Les Fleurs du Dr Bach» ou encore «Elixirs floraux du Docteur Bach».
Les Fleurs des 38 Remèdes
Elles correspondent aux 7 familles d’états d’âme observées par le Dr Bach:
- Peur
- Incertitude
- Manque d’intérêt pour le présent
- Solitude
- Hypersensibilité
- Découragement et désespoir
- Souci des autres excessif.
Préparation des Elixirs
Par cette pratique purement intuitive, le Docteur Edward Bach met au point ses 38 élixirs floraux préparés à partir de pétales de fleurs initialement recueillis dans de l’eau de source puis exposés au Soleil, dans le but d’en extraire la “quintessence” guérissante. Cette macération «solarisée» est finalement stabilisée par l’adjonction d’alcool (en général, c’est du Brandy qui est utilisé), puis conservée dans des flacons spécifiquement dédiés.
Remarque: Une analyse dite “scientifique” du type courant ne peut pas déterminer si oui ou non une eau a été informée par la vibration d’une fleur. C’est notamment pourquoi la “science” classique n’est pas à même de porter un jugement valable sur toutes les thérapies basées sur la mémoire de l’eau telle que découverte par le Français Jacques Benvéniste et reprise depuis pas le professur Luc Montagné (prix Nobel, découvreur du V.I.H.).
Procédés de fabrication
Tout comme l’homéopathie, la thérapie florale du Dr Bach se présente comme une thérapie globale de l’être humain. Il existe deux procédés de fabrication. L’un, nommé “solaire”, où les fleurs sauvages sont cueillies et infusées dans de l’eau de source par l’action directe du Soleil, pendant 3 heures. C’est le plus naturel. C’est ainsi que travaille la Nature elle-même si, par exemple, il arrive que des pétales tombent dans une flaque d’eau. L’autre procédé – moins artisanal – est l’ébullition. Dans ce cas, les fleurs sont recueillies à partir de plantes sauvages puis portées à ébullition durant trente minutes. Et c’est tout. Dans les deux cas c’est extrêmement simple. Avec les «Fleurs de Bach» il n’y a pas (comme l’on trouve souvent dans l’homéopathie et la biodynamie) {besoin} de dynamisation.
Livre “La Guérison par les Fleurs” – Présentation officielle
Le livre “La Guérison par les Fleurs” est aussi appelé: “Guéris-Toi Toi-même”. “Ce livre est dédié à tous ceux qui souffrent ou sont en détresse”.
“Bactériologiste puis homéopathe, Edward Bach acquit, fort jeune, une grande réputation pour ses recherches sur le rapport entre les maladies chroniques et l’intoxication intestinale, recherches qui aboutirent à une thérapeutique en renom: Les nosodes de Bach. Mais bientôt, insatisfait des ressources offertes par la médecine orthodoxe, il abandonna à ses confrères le fruit de ses recherches et laissa ses fonctions, son laboratoire, sa clientèle et les profits qui en résultaient afin de poursuivre, au sein de la Nature, sa quête de la vraie médecine à sa source même: la Nature. Il apporta alors à l’étude des plantes son don d’observation et la même minutie que dans ses précédentes recherches.
Aidé par une sensibilité hors de pair, il découvrit ainsi trente-huit remèdes naturels correspondant à trente-huit états d’esprit négatifs courants chez l’être humain, à la fois causes premières de la maladie et obstacles au rétablissement de la santé. Dans ce livre, l’auteur expose ce qu’est la maladie et comment s’en libérer; puis il énumère les états d’esprit qui peuvent être corrigés par les extraits de fleurs.
La méthode d’application est très simple.”
A ce sujet le Dr Edward Bach a dit: “Je voudrais que ce soit aussi simple que ceci: si j’ai faim, je vais chercher une laitue au jardin, si j’ai peur et que je suis malade, je prends une dose de Mimulus”.
Un film a notamment été réalisé au sujet du Dr Edward Bach, qui s’appelle: “The Light that Never Goes Out“ [“La Lumière qui ne s’éteint jamais”] (voir extrait ci-dessous). Cette phrase se réfère notamment au fait que le Dr Bach, pour avancer ses travaux, veillait souvent des nuits entières…
Bien que peu d’études étaient conduites au sujet de la valeur thérapeutique des Fleurs de Bach, certains scientistes disent que les Fleurs de Bach n’ont pas plus d’efficacité qu’un placebo (C’est déjà bien de reconnaître l’effet placebo, lequel n’a pas, non plus, d’explication matérialiste!). Ce qu’il faut ici interroger, c’est la capacité d’une étude dite “scientifique” – donc avec une base intellectuelle – d’évaluer la valeur thérapeutique d’une approche totalement psychique. Les Fleurs de Bach n’ont pas été conçues pour soigner le corps mais l’âme. Si des effets bénéfiques sur le corps peuvent ensuite être observés, c’est à titre d’effets secondaires bienvenus. Les Fleurs de Bach auraient-elles été autant plébiscitées depuis les années trente si elles n’avaient provoqué aucun réel effet bénéfique?
Au sujet de son livre “Les douze Guérisseurs”, quelques mois avant sa mort, le Dr Edward Bach déclara: “Ce travail de guérison a été effectué, publié et distribué gratuitement pour que des gens comme vous puissent s’auto-aider, en cas de maladie ou pour rester fort et en bonne santé”. – (Edward Bach, dans un discours prononcé à l’occasion de son 50ème anniversaire, le 24 septembre 1936“).
Nous laisserons la conclusion du présent article – laquelle est aussi celle de son livre “Les 12 Guérisseurs” – au Dr Bach: “Et puissions-nous toujours avoir le cœur joyeux et reconnaissant envers le Grand Créateur de toutes les choses, Qui, dans Son Amour pour nous, a placé les plantes dans les champs pour notre guérison”.
En savoir plus:
Précis des Fleurs de Bach
Œuvres complètes du Dr Edward Bach
DVD – Voyage au Cœur des Fleurs de Bach – Film de Jean-Yves Bilien
“La Lumière qui ne s’éteint jamais…”
Applications en Musicothérapie
Sons Floraux – Volume 1
Sons Floraux – Urgence émotionnelle