Le Goji de haute Montagne du Tibet et de la Mongolie

Le Goji de Montagne

 

Par ici, le bon Goji!

La qualité du Goji de Montagne tient déjà beaucoup aux conditions de récolte.

 

La fabrication doit répondre à des normes strictes, comme, par exemple, avec le label “Bonnes Pratiques de Fabrication”, et doit également été certifiée par un organisme garantissant la qualité des produits pouvant être utilisés pour un usage thérapeutique, comme, par exemple, l’“Australian Therapeutic Goods Administration”.

 

Les “Bonnes Pratiques de Fabrication” signifient que la société productrice a fait l’objet d’une minutieuse enquête de contrôle sur l’ensemble de ses méthodes, et qu’elle a été certifiée conforme.

 

Les normes sont, en ce cas, parmi les plus élevées au monde: le processus de certification couvre tous les bâtiments et terrains environnants, l’équipement, la production, le personnel, la formation, l’hygiène, l’assainissement, l’air, la purification de l’eau, la documentation.

 

 

Des baies de goji nettoyées tant à l’intérieur qu’à l’extérieur

Les baies de goji doivent être propres. Cela implique que les grains soiennt lavés dans un tambour de nettoyage rotatif en acier inoxydable, équipé de jets d’eau. Et que l’eau soit puisé dans un puits profond utilisé pour la consommation personnelle courante, donc avec une qualité qui soit celle de l’eau potable.

 

Ce premier lavage permet d’éliminer la saleté et la poussière, réduisant dès le début le niveau de bactéries potentiellement présentes.

 

Les baies doivent ensuite être soigneusement triées pour éliminer la moindre trace de corps étrangers (cailloux, poussières…).

 

Si les baies sont emballées sous vide, les protégeant davantage des divers dommages possibles (insectes, saleté, dégradation, oxydation), c’est encore mieux.

 

Le niveau de pureté des baies, notamment au niveau microbien, ainsi que pour les résidus éventuels de soufre et des pesticides, doit être surveillé. Les baies doivent être testées pures et exemptes de tout contaminant.

 

La qualité des baies, leur possibilité de saine croissance, provient du climat et du terroir particulier. Là seulement elle peuvent révéler leurs vertus, ce qui est nettement moins possible en les cultivant loin de leur terre d’origine.

 

Le mieux ce sont les baies de goji cultivées dans leur sol autochtone, ce qui garantit la qualité de l’espèce et la fait ainsi perdurer d’année en année.

 

 

 

 

 

Le processus de séchage et de nettoyage des baies

L’ancienne méthode de séchage, en mettant les baies au Soleil, est encore utilisée par les fournisseurs de “wolfberries” (qui représentent 90% du marché mondial de “goji”, mais ne sont pas les vraies baies de goji, mais appelés “goji” pour bénéficier abusivement d’un fort levier marketing).

 

Ce processus est maintenant dépassé, notamment en terme d’hygiène, car de cette manière des moisissures peuvent facilement se développer.

 

L’utilisation de fours de séchage à faible température est requise, pour qu’à la fois tous les principes nutritifs y soient conservés, mais aussi pour que les baies soient stérilisés.

 

Cela enlève encore plus d’humidité et permet aux baies d’être encore un peu plus petites, donnant 15% de produit en plus au consommateur.

 

Aussi, pour prévenir l’éventuelle détérioration, par des moisissures ou des micro-oraganismes aérobies, une fois les baies conditionnées, le mieux est que les emballages soient entièrement effectués sous vide.

 

Les baies ne sont, bien sûr, jamais irradiées.

Le goji expliqué par la science

Vitamines, minéraux et acides aminés

 

Réputées, dans la culture tibétaine, précieuses pour l’énergie et la longévité, les baies de goji sont devenues la cible récente d’une intense recherche médicale, dès l’instant où les scientifiques ont découvert qu’elles contiennent une abondance de constituants très promoteurs pour la santé.

 

La Tufts Université, à Boston, y a relévé la présence de 18 acides aminés, 21 oligo-éléments, 6 acides gras essentiels, les vitamines E, B1, B2, B6, en grande proportion, et un pouvoir anti-oxydant plus fort que tout autre aliment!

 

Les scientifiques y ont aussi mis en évidence le puissant soutien du système immunitaire, étant notamment dû à la présence extrêmement élevée de polysaccharides immunostimulants.

 

Les baies de goji ont aussi, pour un fruit, une étonnante proportion de protéines, soit environ 17%.

 

Neutralisation des radicaux libres

Vous avez sûrement déjà vu une pomme pelée brunir… les radicaux libres en sont responsables. La même chose se produit lorsque le corps est stressé, que ce soit physiquement ou mentalement, de même que par la multitude des toxines de l’environnement. Les radicaux libres attaquent le corps et sont la raison principale du processus de vieillissement.

 

Les anti-oxydants aident à neutraliser les radicaux libres. Plus grande est la quantité d’anti-oxydants dans le corps, mieux nous pouvons ralentir le vieillissement.

 

La baie de goji est l’un des plus puissants anti-oxydants connus.

 

 

Protection de l’ADN

Si les radicaux libres ne sont pas contrôlés, ils peuvent même attaquer l’ADN, qui est le modèle utilisé pour créer chaque nouvelle cellule dans le corps.

 

Si l’ADN est endommagé, alors chaque nouvelle cellule créée répercute cet endommagement.

 

Progressivement des mutations se produisent.

 

Plusieurs études montrent que la baie de goji protège contre les cassures et mutations de l’ADN. Sa teneur en acide ellagique, que l’on trouve aussi en grande quantité dans la myrtille et la grenade, est spécialement protecteur de l’ADN.

 

 

 

Comment utiliser les baies de goji?

Elles sont faciles à utiliser et il y a une multitude de façons de les apprécier.

 

Faites par exemple votre propre jus de goji en réhydratant les baies dans l’eau ou dans du jus, pendant environ 10 minutes, et mixer le tout. 15 grammes de goji par jour suffit déjà à en a avoir de bons effets.

 

Vous pouvez utiliser les baies dans vos céréales, chaudes ou froides, les boissons mixées, les jus de fruit, le thé, dans certaines soupes, du pain fait maison, les pâtisseries, salades, etc. Bref, laissez parler votre imagination avec ce délice culinaire!

 

Les vertus santé de la baie de goji tibétain

Il existe une ancienne baie dont l’histoire commence à être connue dans le monde occidental. Elle fut le témoin de certains profonds événements de l’histoire de l’humanité, et aussi actrice en nourrissant ceux qui y jouèrent un premier rôle.

 

Elle ornait les murs des monastères sacrés, jusqu’aux vallées reculées du Tibet et de la Mongolie et a nourri de grandes dynasties.

 

Le goji tibétain et de nombreuses autres plantes curatives ont été recherchées par les empereurs de la Chine, parce que les plantes tibétaines furent reconnues comme “venant du Ciel”, les meilleurs remèdes botaniques, poussant dans l’environnement le plus pur et le plus élevé.

 

Dans ce cas, nous parlons de la baie de Goji tibétain. Le nom latin attribué est: Lycium Chinensis.

 

La baie de goji est un aliment et chacun sait que ce genre de super-aliment est souvent à la base de produits de phytothérapie. Ainsi elle peut être trouvée dans de nombreux remèdes traditionnels tibétains, qu’ils soient destinés à la vitalité, la longévité, la régénération des organes internes, le renforcement du système immunitaire, la qualité du sang.

 

La variété tibétaine lycium chinensis est supérieure en raison de sa pureté et de son équilibre acido-basique. La variété chinoise lycium barbarum, appelée Gou Qi Zi (ce n’est pas du goji) est, quant à elle, largement cultivée. Son inconvénient est l’utilisation massive de pesticides dans les exploitations commerciales à travers la Chine, et cela sappe la majeure partie des avantages que la baie pourrait offrir, bien que, même sans cela, les vertus du goji tibétain soient nettement supérieures.

 

Ce qui est très étonnant pour un fruit, est que le goji tibétain contient tous les acides aminés, soit 23 au total, dont les 9 essentiels. Rien que cela en fait déjà un aliment extrêmement complet!

 

La teneur en fibres est aussi très élevée.

 

La teneur en minéraux est très élevée, notamment du fait de la richesse des terres où poussent les baies, exemptes de toute la culture intensive qui appauvrit grandement les sols de nos pays industrialisés. De même, les rares sols qui, sur la planète, sont encore exempts de culture intensive et de pulvérisations chimiques ont une bien plus grande force énergétique, qu’ils transmettent aussi aux plantes qui y poussent.

 

Les principales qualités qu’offre le goji sont:

 

1. Sa puissance anti-oxydante

 

2. Son soutien du système immunitaire

 

3. Son soutien au système hormonal

La puissance anti-oxydante du goji

L’oxygène est bon pour nous, mais il existe parfois sous une forme nocive.

 

L’oxygène que nous respirons est appelé di-oxygène (O2), soit deux atomes d’oxygène attachés. Si l’on ajoute un atome, on obtient l’ozone (O3).

 

L’ozone n’est pas stable est est toujours en train de se reconvertir en di-oxygène. Lorsque cela se produit, un seul atome d’oxygène est libéré (oxygène singulet). Celui-ci est également instable et cherche à rejoindre tout ce qui peut rapidement l’accepter, surtout là où il y a un manque d’oxygène.

 

Le résultat?

 

Les organismes à faible teneur en oxygène, tels que bactériens, champignons, levures, sont grillés par les radicaux libres de l’oxygène singulet qui, frénétiques, tentent de les rejoindre.

 

C’est un peu comme être écrasé par un St Bernard enthousiaste qui ne cherche qu’à vous faire la fête.

 

Les cellules endommagées, pré-cancéreuses, et cancéreuses, sont également tuées par ce processus.

 

C’est ce qui est supposé se produire.

 

Le problème est que nous devons faire en sorte que les zélés radicaux libres n’endommagent pas nos cellules saines. Et ce qui sauve les cellules saines des dommages causés par les radicaux libres, ce sont les anti-oxydants.

 

Imaginez être piqué en permanence par 10.000 abeilles en colère. Cela est similaire à ce que connaît la cellule moyenne, dans notre corps, avec l’impact des radicaux libres à l’extérieur de sa membrane de protection, qui est tapissée  de millions d’antennes sensibles comme des molécules de sucre.

 

Une telle irritation fait partie du processus d’inflammation.

 

Imaginez maintenant un apiculteur avec son vêtement de protection; il est protégé des piqûres, tout comme une cellule avec des antioxydant.

 

Plus nous avons d’anti-oxydants, plus épais est le vêtement de protection.

 

Nous pouvons aussi réduire le nombre d’abeilles, en changeant de style de vie pour réduire le nombre de radicaux libres dans le corps: éviter la cigarette et la pollution, les graisses et aliments frits, cuits au micro-onde, le stress, la manque et l’excès d’exercice, le manque de repos, de sommeil nocturne.

 

En prenant soin de notre foie, nous réduisons automatiquement la production de radicaux libres.

 

 

Comment les radicaux libres font-ils des dégâts?

Chaque radical libre peut détruire une molécule d’enzyme ou une protéine, voire même une cellule entière.

 

Les dégâts sont même encore plus vastes car chaque radical libre génère à lui seul une chaîne de réactions radicalaires, activant des milliers de radicaux libres.

 

Ils causent 5 types essentiels de dommage:

 

1. Les radicaux libres de peroxydation lipidique cause des dommages aux bonnes graisses, en les faisant rancir, et libérer encore davantage de radicaux libres. Une réaction en chaîne se produit, entraînant des milliards de “chocs”, ou impact sur des cellules.

 

2. Ils provoquent la fusion de protéines et de molécules d’ADN. C’est l’origine de la formation des rides sur la peau. Sur les tissus comme le rein ou la rétine, cela entraîne une dégénérescence. Sur le tissu amyloïde du cerveau, cela entraîne la maladie d’Alzheimer; etc.

 

3. Ils détruisent l’intégrité de la membrane cellulaire, et empêche par là une bonne assimilation des nutriments et expulsion des déchets. Les récepteurs sont endommagés ou détruits et les marqueurs cellulaires peuvent être effacés.

 

4. Ils endommagent la fonction des lysosomes (responsables de la digestion cellulaire), puis se répandent dans la cellule et digèrent son contenu, provoquant sa mort. La cellule est ensuite remplacé par une cellule déjà endommagée.

 

5. Ils provoquent une accumulation de lipofuscine (pigment cellulaire composé de débris de molécules; souvent sur le visage ou le dos des mains), qui est aussi une cause de vieillissement prématuré. Ce sont des “tâches de rouille” humaine, qui interfèrent avec la chimie de la cellule et sont indicatifs de dégénérescence et de dommages de l’ADN.

 

 

Source: The Nutrition Superbook, The Antioxidants, édité par Jean Barilla, MS, Keats Publishing, Inc., 1995

 

La toxicité hépatique

Le foie fonctionne grâce à deux phases distinctes. La première peut être comparée à un tapis roulant dans une usine, où les déchets non transformés arrivent continuellement.

 

Une substance intermédiaire, très élevé en activité radicalaire, est produite à la suite de la première phase, et cette partie du processus peut être assimilée à une trémie, à l’extrémité de la bande transporteuse du dessus (le tapis roulant), recevant les déchets qui n’ont pas encore été entièrement traités.

 

La deuxième phase de la fonction hépatique à la tâche de convertir cette substance intermédiaire, potentiellement dommageable, en une forme soluble dans l’eau, pour l’élimination en toute sécurité par les reins. Cela peut être comparé à un ouvrier, sur un chariot élévateur, qui ramasse le contenu de la trémie et le mélange pour dissolution et évacuation.