Retirez cette glu de votre régime alimentaire!

Faire disparaître le GLUTEN

de sa vie

 

De plus en plus de personnes conscientes des effets de la nourriture sur leur santé se détournent des produits contenant du gluten. Le discours officiel véhiculé par les grands médias déclare qu’il s’agirait plus d’une mode que d’une réelle nécessité.

Pourtant, il est bon de savoir que, même pris en tout petite quantité, le gluten provoque des lésions de l’intestin et aussi du cerveau. Conclusion: Moins l’on ingère de gluten et mieux l’on se porte!

 

Microbes indésirables, syndrome métabolique, tour de taille, inflammation bactérienne, pullulation intestinale, intolérance au gluten et à la caséine

Selon le Docteur Bruno Donatini de Cormontreuil près de Reims (France), le corps humain est un terrain de jeu pour les microbes (virus, bactéries), qui, tout en s’amusant entre eux, se partagent le terrain, la place disponible. Par exemple, l’helicobacter pylori ne partage pas son terrain de jeu et s’accapare volontiers le grêle. Il s’agit donc, pour l’être humain, de choisir ses hôtes. Il ne convient pas de les laisser prendre le pouvoir.

Le syndrome métabolique est une maladie auto-immune, avec laquelle l’on meurt par cancer. Le tour de taille est en corrélation directe avec le taux de mortalité. D’où l’“interdiction de ne pas posséder de mètre ruban”! Par ailleurs le “foie gras” (pas celui fait à base de foie de canard!) permet, lui aussi, de “prédire” la mortalité.

Dés que l’on fermente l’on fait un foie gras, et là les ennuis commencent… La pullulation intestinale est une véritable menace planétaire (85% des causes de mortalité). Il convient de se pré-occuper de sa flore. Et, dans cette pullulation intestinale, le gluten joue un rôle important.

La consommation de gluten serait, en effet, associée à des effets divers aussi néfastes que: Troubles bipolaires, dégénérescence cérébrale, mémoire, apprentissage, écriture, problèmes scolaires, dyslexie, épilepsies, schizophrénies, manque de confiance en soi, diminution de la socialisation, affectivité, troubles mentaux, dépression, problèmes sexuels, constipation, diarrhée, gaz intestinaux, ralentissement des mouvements péristaltiques, cancer, AVC, manque de fer, syndrome digestif, problèmes scolaires, dyspraxie, dyslexie, déficit d’attention et de comportement, hypo et hyperactivité, problèmes relationnels, violences, divers types autistiques, troubles involontaires convulsifs (tic), troubles obsessionnels compulsifs (toc), automutilations, perturbation du sommeil, fatigue chronique, maladies de l’intestin, ballonnements, constipation, maladie cœliaque, maladie de Crohn, carcinomes de l’intestin, rectocolite hémorragique, eczéma, migraines.

La fermentation intestinale est la première cause de mortalité dans le monde occidental. C’est le fruit d’une inflammation bactérienne à force de ne pas manger ce pour quoi, depuis des millénaires, du fait de l’atavisme métabolique, notre corps est prédisposé.

L’intolérance au gluten va, du reste, de pair avec l’intolérance à la caséine, laquelle provient du lait. La consommation régulière de caséine et/ou de gluten peut inhiber tout processus de guérison.

C’est d’abord nos deux cerveaux (le cerveau et le “2ème cerveau” de l’intestin) qui sont affectés; ensuite la totalité de l’organisme.


Radicaux libres

Si les radicaux libres n’existaient pas, alors le vieillissement et les maladies non plus n’existeraient pas. Or la consommation régulière de gluten et de caséine entraîne inévitablement une production de radicaux libres. Pour fonctionner, la biochimie du corps humain génère des radicaux libres, c’est inévitable. Tout ce qui est toxique, nuisible à l’organisme est générateur de radicaux libres. Il en va de même pour le gluten et la caséine.

 


Plus sur le gluten

Le gluten se divise en deux groupes: les prolamines et les gluténines. Les prolamines sont à l’origine de la maladie cœliaque et de l’intolérance. Le blé (gliadine), le seigle (sécaline) et l’orge (hordénine) sont les plus toxiques, suivis du maïs (zénine).

Le gluten se cache dans une multitude de produits, sous des dénominations différentes. Dans les produits industrialisés il y en a quasiment partout.

Le gluten es tpus ou moins présent dans presque toutes les céréalaes. Mais le quinoa, l’amarante et le sarrasin ne sont pas des céréales et ne contiennent pas de gluten.

Les diabétiques qui vivent sans gluten expérimentent une diminution significative de leurs niveaux de sucre dans le sang, ont un niveau d’énergie accru et une perspective de vie beaucoup plus saine. Le diabète est causé par l’excès de consommation de sucre, de gluten, de caséine, et par une carence en vitamine C.

Lorsque les protéines des céréales et du lait ne sont pas complètement dégradées, elles franchissent la paroi intestinale et se retrouvent dans le système sanguin, provoquant un surcroît de travail pour le foie. Le gluten et la caséine vont entraîner des dérèglements du comportement et favoriser le développement de maladies dégénératives et du système nerveux central. Si l’on veut obtenir des résultats rapides et manifestes, il convient de complètement supprimer le gluten et la caséine de sa nourriture.

Certains êtres humains ont apparemment la possibilité d’ingérer du gluten sans pathologie apparente, mais, plus tard, les conséquences peuvent quand même s’avérer être lourdes: Alzheimer, cancer, polyarthrites, AVC ou autres. D’autres manifesteront certaines pathologies, mais ne feront aucun lien avec les intolérances dérivant du gluten et de la caséine. Certains sujets développeront des pathologies, intolérances, allergies, lésions de muqueuse…

Les lésions tissulaires progressent au cours du temps jusqu’à la destruction complète des villosités intestinales, alors ces personnes ne peuvent notamment plus consommer justement ce qui, dans l’absolu, serait bon pour eux: les légumes, ils sont en hyperperméabilité intestinale.

Avec l’interruption de consommation de gluten et de caséine, peu à peu les symptômes morbides diminuent.

Le gluten modifie l’expression des gènes, il accentue la production de molécules maléfiques. Les aliments que nous mangeons vont directement, sous forme découpée, se placer au niveau du génome.

Dans beaucoup de maladies graves et complexes, il n’y a pas d’autre solution que d’arrêter gluten et caséine, c’est une clef importante pour ne pas faire de récidive de cancer.

Le mercure des vaccins et plombages dentaires, lui aussi, augmente la perméabilité intestinale. Il n’est pas seulement toxique pour le cerveau, mais aussi pour tous les organes et les tissus.

L’anémie se normalise rapidement lors de la suppression du gluten.

Le gluten pénètre dans le cerveau et y exerce ses effets délétères.

Les peptides, dérivés morphiniques du gluten, franchissent d’autant plus aisément la barrière hémato-encéphalique qu’ils en augmentent la perméabilité et se retrouvent dans le liquide céphalo-rachidien. Ils perturbent l’apprentissage, l’affectivité, la socialisation.

Nourri au gluten, l’enfant perd ses facultés d’apprentissage, adopte un comportement bizarre. Surtout, les peptides dérivés morphiniques perturbent l’organisation cérébrale dans les premières années de vie et à la puberté, période de maturation, et perturbent le positionnement des neurones et la multiplication des cellules gliales dans les différentes couches tissulaires.

Le gluten a un rôle pathologique dans l’autisme, il y a aussi un lien entre la schizophrénie et la consommation de céréales. L’élimination totale du gluten et de la caséine, et la prise de grosses doses de vitamine C, amènent la guérison ou l’amélioration des troubles.

Le gluten génère un anticorps fatal à la réparation tissulaire de la muqueuse digestive qui existe dans d’autres tissus, le cerveau notamment. C’est la perte de cette faculté de réparation qui entraîne des dégénérescences cérébrales et le syndrome digestif.

Maladie cœliaque, maladie de Crohn, cancer des intestins, ajoutés aux pathologies psychiatriques et divers troubles du comportement tels l’autisme, l’hyperactivité, les troubles scolaires ou encore la schizophrénie… autant de pathologies et de troubles mentaux dont le principal responsable est le gluten.

Nous assistons, de nos jours, à une explosion fulgurante du nombre d’allergies, et principalement d’intolérances, à cause du gluten.

Même le meilleur des pains naturels à base de farine de blé biologique, pétri “avec amour” et garanti sans produits chimiques et sans conservateurs, s’il est fait à base de farine de blé moderne contenant du gluten, est, qu’il agisse de façon immédiate ou à retardement, pour l’organisme, un redoutable poison.

Les métaux toxiques tels que le plomb, le cadmium, l’aluminium et, enfin, l’ennemi numéro un le plus redoutable, le mercure, agissent de la même manière.

Ces métaux proviennent des amalgames dentaires (mercure, étain, argent), des cigarettes (cadmium, mercure), des vaccins en général (aluminium) et plus particulièrement du vaccin rubéole-oreillons-rougeole (mercure sous forme de thimérosal), ou encore de pesticides en tout genre, d’additifs et de conservateurs alimentaires, etc.

En s’accumulant dans l’organisme, les métaux lourds ont une action inhibitrice sur une classe d’enzymes, les peptidases. Ces dernières sont notamment destinées à la dégradation complète d’un ensemble de protéines alimentaires. Le mercure inhibe une enzyme destinée à détruire la glutamorphine au cours de la digestion.

C’est un véritable empoisonnement chronique qui atteint la personne. Le gluten, incomplètement digéré, franchit en premier lieu la paroi intestinale, déjà altérée par le mercure, et se retrouve ainsi dans le système sanguin.

Ces peptides, alors dénaturés, se comportent dans l’organisme exactement comme certains dérivés morphiniques et se fixer sur les récepteurs biochimiques spécifiques. En occupant et en saturant les récepteurs, les peptides provenant du gluten, mal métabolisés, vont entraîner des dérèglements du comportement et favoriser le développement de maladies dégénératives du système nerveux central. L’accumulation de ces dérivés morphiniques provoque ainsi un dysfonctionnement progressif.

Une molécule de gluten contient jusqu’à 16 molécules de dérivés morphiniques qui provoquent des dérèglements du mécanisme enzymatique propre aux cellules gliales, qui sont dix fois plus nombreuses que les neurones, et une altération de la barrière hémato-encéphalique. Alors ces glutamorphines peuvent, en second lieu, traverser cette membrane, favorisant le développement de troubles mentaux et comportementaux.

Les vaccins peuvent circuler dans le sang, se loger dans différentes zones cérébrales, causer des encéphalites, etc.

A cause du gluten, le candida albicans peut rapidemen s’installert dans toutes les muqueuses et en particulier dans l’intestin.

Dans toute pathologie ou l’on retrouve le mot arthrite, il convient d’arrêter gluten, caséine, et faire le protocole conseillé dans le cas de la maladie d’Ehler Danlos (maladie du tissu conjonctif se caractérisant par des troubles de la synthèse du collagène) afin d’avancer vers la guérison.