Ondes Scalaires et Fréquences de Rife

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Se soigner avec les Ondes Scalaires

et les Fréquences de Rife et Clark

Ondes & Fréquences

Des possibilités de soin assez vertigineuses se présentent de nos jours.

Cela fonctionne avec des ondes et des fréquences.

Les ondes sont le support des fréquences.

Le support, en l’occurrence, ce sont les ondes scalaires

Les fréquences ce sont, en l’occurrence, les fréquences de Rife.

Des fréquences transportées par des ondes, c’est le même principe avec les ondes radio, lesquelles sont le support des fréquences des émissions, c’est-à-dire des sons ou des images émis par une station-radio déterminée, comme Radio Classique ou France Musique.

Mais, dans le cas qui nous occupe, il s’agit d’ondes scalaires. Ces ondes ont été découvertes par le célèbrissime Nikola Tesla.

Au sujet des ondes et des ondes scalaires

Une onde est comme une vague à la surface de l’eau.

Une onde scalaire est un onde de nature longitudinale, composée de deux ondes présentant un angle de 90 degrés l’une avec l’autre. Cela fait donc une onde verticale et une deuxième onde horizontale, auxquelles il convient aussi d’ajouter la force gravitationnelle qui donne un effet de “spin” donnant une torsion à tout l’ensemble.

La superposition de ces deux ondes, orientées à 90 degrés l’une de l’autre, est une onde scalaire aux surprenantes propriétés. En effet, les ondes scalaires permettent d’agir à distance sur la matière visible d’une manière, elle, complètement invisible.

Les ondes scalaires sont différentes des ondes électromagnétiques courantes déjà bien connues. Elles peuvent être de nature mécanique, électrique, magnétique ou même mentale. D’un point de vue métaphysique, il semble exister deux grandes catégories fondamentales d’ondes, celle de genre spirituel et celles de genre naturel.

Les ondes scalaires, de nature longitudinale, se déplacent à vitesse variable, en vortex. Les autres ondes déjà bien connues sont de nature transversale et progressent à vitesse constante (celle de la lumière) et de manière doublement sinusoïdale. Comparativement à celle des ondes électro-magnétiques, la pénétration des ondes scalaires est très forte.

Les mouvements de l’eau et de l’air dans la Nature, de même que ceux des liquides corporels circulant dans le corps humain (comme le sang et la lymphe) se font en permanence sous la forme de vortex. C’est le vecteur privilégié de l’énergie naturelle.

Il en va de même pour la plupart des ondes! Les ondes scalaires sont, dans l’Univers et sur la Terre, les plus abondantes, mais, du fait qu’elles sont invisibles, elles se laissent difficilement mesurer!

Nikola Tesla a, au début de notre XXème siècle, démontré l’existence de ce rayonnement scalaire, qui traverse les cages de Faraday et progresse parfois plus vite que la lumière elle-même! Le Professeur allemand Konstantin Meyl pense que les neutrinos que la Terre reçoit en permanence du Soleil (5% de l’énergie solaire) et du cosmos constituent la plus grande partie des ondes scalaires. Elles existent aussi partout à la surface de la Terre, qu’elles soient émises par les roches, les plantes, les arbres ou n’importe quel être vivant: elles formeraient un bruit de fond constant, caractéristique du vivant!

Intérêt des ondes scalaires: Lorsque, à l’aide d’un appareil, une onde scalaire est émise de façon artificielle, du fait de la loi universelle d’attraction du genre semblable, elle attire à elle d’autres ondes scalaires naturelles présentes dans le milieu ambiant, ce qui a pour effet un considérable renforcement pouvant aller jusqu’à deux, trois, quatre ou même cinq fois l’énergie initialement émise. Le rendement est alors dit “surunitaire”.

Le principe de l’énergie libre est là! Il s’agit de la captation de l’énergie présente dans le milieu ambiant. Tout est vie, rien n’est mort. Et même le vide apparent est aussi vie! Ceci vient du fait que des ondes scalaires (se présentant comme un “bruit de fond” permanent et diffus) du milieu environnant viennent se “greffer” sur le premier vecteur scalaire émis et vont ainsi considérablement amplifier l’émission de base! C’est ce que l’on appelle l’”énergie libre”; créer un vortex artificiel dans l’espace attire ainsi des vortex naturels en une zone délimitée (le champ initial); finalement, donner un peu d’énergie au départ en fait récupérer, en fonction des endroits, à l’arrivée, beaucoup plus! Donnez et vous recevrez!

 

 

 

Energie & Information

Les ondes c’est donc formidable, car elles sont porteuses d’énergie. Mais que faire avec cette énergie? Ce sont les fréquences qui vont permettre de le déterminer.

Les ondes apportent l’énergie; les fréquences apportent l’information. Energie et information, une indissociable paire. Mais elles ne doivent pas être confondues.

C’est la même chose pour l’intuition et la pensée. L’intuition (ressenti) apporte la Force, tandis que la pensée lui donne une direction. C’est comme, sur un voilier, la voile qui capte le vent et agit donc de façon motrice, tandis que le gouvernail lui donne au bateau la direction à suivre. Les deux sont indispensables, car un voilier sans gouvernail serait indirigeable, tandis qu’un bateau avec un gouvernail mais sans voile ni autre force motrice n’avancerait pas.

L’énergie, c’est la puissance de guérison disponible pour un être humain, l’information c’est la direction à prendre pour y parvenir. L’on n’arrive à rien, si l’on part dans la bonne direction sans “carburant”, ou bien si, même avec une grande puissance disponible, l’on prend la mauvaise direction. Et l’essentiel de la Force disponible pour l’entretien et la santé ne vient pas de la nourriture ingérée ou de même l’air inspiré, mais bien de la Lumière et des ondes invisibles qui environnent les êtres humains. Il faut donc être à même de les capter, puis – telle une loupe focalisant les rayons du Soleil – les concentrer au mieux à chaque fois qu’elles peuvent être utiles à l’obtention du résultat recherché.

Comment, en fonction de chaque besoin, pouvoir disposer d’ondes scalaires? Pour cela il faut, tout simplement, un générateur d’ondes scalaires. Mais un tel appareil existe-t-il? La réponse est oui. C’est une invention du professeur allemand Konstantin Mehl, lequel se présente lui-même comme le digne continuateur de Nikola Tesla.

Utilisation du générateur d’ondes scalaires

Un appareil capable de générer des ondes scalaires crée un champ. Par des fréquences l’on module le champ en lui donnant des propriétés spécifiques, en fonction des besoins tout aussi spécifiques de l’objectif à atteindre, et donc de la personne à soigner.

Avec le générateur d’ondes scalaires SWD du Professeur Konstantin Mehl un champ est créé entre les 2 antennes de l’appareil, l’antenne émettrice et l’antenne réceptrice. Une première utilisation consiste à y placer, là où se concentre l’énergie générée par l’appareil – laquelle, en fonction de la loi universelle de l’attraction du genre semblable, attire aussi l’énergie libre de même genre en provenance de l’environnement – des huiles essentielles, des oligo-éléments, des vitamines, ou bien des extraits de tissus de cellules jeunes (végétales ou animales); tous ces produits, et bien d’autres, d’un point de vue quantique, ne sont rien d’autre que des informations.

Le son est lui-même une information. Et cette information peut, par exemple, être contrée par une contre-information. C’est ainsi que pour, par exemple, rendre le bruit d’un hélicoptère complètement inaudible l’on procède de la manière suivante: L’on enregistre, tout d’abord, le son normalement émis par l’hélicoptère grâce à des microphones placés à l’extérieur de l’appareil, puis l’on décale exactement le signal obtenu de 180 degrés, afin de pouvoir ensuite le renvoyer à l’extérieur, à l’aide de haut-parleurs générant en principe un son tout aussi puissant que celui normalement produit par l’appareil. Le résultat? Ces deux ondes sonores, chacune en elle-même très forte à l’oreille, annulent mutuellement leurs effets, générant alors un “bruit silencieux”!

Le bruit est certes devenu inaudible, mais cela ne veut pas dire pour autant que les ondes sonores émises soient devenues sans aucun effet. Pour bien comprendre les effets des ondes scalaires sur l’être humain il faut se rendre conscient le fait que, même si dans ce double tintamarre ainsi provoqué, nous ne sommes pas capables d’entendre de bruits, les puissantes ondes sonores nous atteignent tout pareillement. Notre conscience ne perçoit pas de son, mais notre cerveau, lui, perçoit quand même qu’il existe autour de lui de puissantes vibrations qui frappent notre corps terrestre, sans pour autant être perceptibles par nos oreilles physiques. C’est ainsi que l’on peut énerver ou calmer des gens avec des sons imperceptibles.

C’est un possible redoutable effet des ondes scalaires: Agir à distance sur des êtres humains de façon négative terriblement efficace sans que ceux-ci ne puissent se douter de rien!

Si ce n’est que des façon bénéfique cela n’est pas grave, mais le problème est que les deux usages sont tout à fait possibles. Tout dépend de l’intention de l’émetteur.

Parmi les applications bénéfiques des ondes scalaires:

L’on peut aussi faire une acupuncture d’avant-garde lorsqu’on dispose d’énergie – sous forme d’ondes spirales – générée en plus. L’on peut aussi remplacer les aiguilles d’acuponcture par des aimants, qui jouent alors le rôle d’inducteurs locaux de champs; l’association d’aimants fixes placés sur le corps et d’un champ scalaire variable est très puissante.

Mais – ce qui nous occupe aujourd’hui et semble d’une importance déterminante – il est désormais aussi possible d’utiliser les fréquences de Royal Rife comme modulation de l’onde porteuse de l’appareil de Konstantin Meyl.

L’on peut ainsi inhiber toutes sortes de micro-organismes pathogènes dans le corps, par l’action des ondes scalaires modulées par les fréquences de Rife associées à des huiles essentielles sélectionnées avec soin: Lyme, herpès, Ebv, HpV, etc … Bien sûr, il convient de répéter les séances jusqu’à l’obtention du résultat; l’utilisation du test de salive avec le Synchromètre (Méthode Clark) ou des nosodes permet de cibler encore plus précisément le virus ou la bactérie à éliminer.

L’environnement de tout un chacun est donc rempli d’énergie scalaire (neutrinos: 60 milliards par seconde et par centimètre carré). C’est le fameux “bruit de fond”.

Afin de renforcer cette captation de l’énergie de l’environnement, le Professeur Konstantin Meyl a donc inventé un appareil électronique capable de produire un vecteur scalaire avec une tension très faible, ainsi qu’une onde porteuse fixe d’environ 7 MHz (exactement 6,78 MHz), le SWD. Celle-ci peut être modulée sur l’antenne réceptrice par un signal perceptible pour un patient. Cela peut être une musique harmonieuse (Wolfgang Amadeus Mozart), un cocktail de molécules issues d’une plante (huiles essentielles), un extrait de tissu ou d’organe, out toutes sortes d’autres produits.

Le sujet traité reçoit alors des fréquences harmoniques de cette modulation, uniquement portées par les ondes scalaires.

Ce générateur d’ondes scalaires agit comme un véritable “magnétiseur”, disponible à tout moment, et constitue un oscillateur à longueurs d’ondes multiples travaillant sous un champ électrique très faible (2 Volts) capable d’une grande richesse informationnelle.

Il est aussi possible grâce à ce type de générateur d’imprimer dans l’eau des informations biologiques (par exemple, des informations inhibant la réplication des cellules cancéreuses). C’est donc d’un très grand intérêt. Bien évidemment, les résultats à attendre dépendent tout autant de la qualité et de la pertinence des informations transmises à un sujet donné que de leur innovant mode de transport!

De nombreux cas, tant chez l’être humain que chez l’animal ou bien chez la plante, montrent que le champ scalaire renforcé en lieu précis, permet de recharger un être vivant, être humain ou animal, avec une énergie qu’il ou elle avait perdue. Et ensuite de ré-informer ce même être vivant de façon répétée par ce médium universel qu’est l’eau, laquelle – n’en déplaise aux détracteurs – est bien capable de mémoriser puis de restituer les informations qu’on lui transmet.

Applications prometteuses

Un expérience du Professeur Konstantin Mehl a été réalisée par lui à Heidelberg en Allemagne, puis reproduite par des équipes indépendantes dans deux autres pays, l’Espagne et l’Italie. L’expérience est la suivante: une culture de cellules cancéreuses standardisée de type HEla est placée sur l’antenne réceptrice de l’appareil; il convient ensuite d’y ajouter un poison cellulaire, par exemple de l’eau oxygénée, qui va rapidement tuer ces cellules expérimentales par suroxydation. En 10 minutes, leur nombre passe de 3 millions à 0.7 million, puis après 24 h, à zéro. Dans le même temps, au milieu de l’espace créé entre les 2 antennes, sont placées à nouveau 3 millions de cellules cancéreuses Hela, mais cette fois-ci sans ajout d’aucun poison! Que se passe-t-il alors? Il se trouve que les cellules cancéreuses meurent dans les mêmes conditions, car, après 10 minutes, elles ne sont plus que 1 million, puis, comme les premières, disparaissent  en 24 heures … alors que, dans le même intervalle de temps, des cellules témoins, sans poison, mais sans énergie scalaire spécifique, ont bien diminué elles aussi, mais sont encore 2,6 millions après 10 minutes et toujours 1,5 million après 24 heures.

La conclusion est que le message ondulatoire émis par des cellules cancéreuses mourantes peut être transmis par la voie d’un champ scalaire à des cellules cancéreuses en pleine prolifération et ainsi inhiber leur croissance, comme le ferait une action directe utilisant la radiothérapie ou la chimiothérapie. A la différence que, dans le cas des cellules placées sous champ scalaire, l’action est très spécifique de cellules cancéreuses d’un seul type vers leurs homologues de la même lignée, sans aucune préjudiciable interférence avec les cellules saines.

De quoi envisager donc une “thérapie scalaire” très précise et sans aucun effet secondaire négatif, pouvant s’appliquer à n’importe quel type de tumeur: il suffit alors de prélever un fragment d’une tumeur cancéreuse, d’en réaliser une culture et de la mettre encontact avec un produit inhibiteur spécifique (enzyme, extrait de plante anti-tumorale, etc…) de façon à ne pas toucher les cellules saines du corps. Il convient alors de placer la personne à soigner et porteuse de tumeurs, voire de métastases, entre les deux tours du SWD du Pr Konstantin Meyl. Et constater ensuite la régression des tumeurs chez la personne elle-même.

Les maladies de dégénérescence peuvent ainsi, désormais, être soignées, d’une part, par l’apport d’énergie (ondes scalaires) et d’autre part par des informations spécifiques (tissus, vitamines, minéraux, anti-oxydants, oligo-éléments, huiles essentielles, enzymes, etc.) qui vont être transportées par les ondes scalaires. Là est l’avenir.

Il est aussi possible, désormais, de soigner avec succès en utilisant les fréquences de Rife, mises au point par lui-même dans les années trente.

 

 

Ondes Scalaires et Fréquences de Rife

Dans les années mille neuf cent trente du XXème siècle le chercheur américain Royal Rife déclara – “rien que cela!” – avoir découvert le moyen de neutraliser toutes les maladies!

Soit dit en passant, guérir toutes les maladies ce fut aussi l’objectif de la chercheuse canadienne Hulda Clark, exposé, en particulier, dans son ouvrage de base “La Cure de toutes les maladies”, mais la thérapie Clark repose sur différentes approches complémentaires, incluant aussi, comme Rife, la thérapie par les fréquences (en ce cas, zapping) mais en utilisant ses fréquences propres, découvertes à l’aide de son synchromètre.

En ce qui concerne Rife, il travaillait avec un tube à plama de son invention, lequel, à son insu (ces ondes n’étaient pas encore connues et décrites à son époque), produisait déjà des ondes scalaires. Ceux qui ont repris les travaux de Rife ont conçu de nouvelles machines de Rife, lesquelles utilisent toujours un tube à plasma, mais, généralement ce tube n’est pas assez grand pour pouvoir produire un champ d’énergie scalaire suffisant pour pouvoir complètement y plonger la personne à soigner.

Et c’est là qu’intervient le SWD du professeur Mehl! En effet, il est maintenant possible d’affirmer que, de nos jours, le SWD du Pr Meyl est le seul appareil de bio-résonance existant dans le monde à pouvoir démontrer la réalité d’une résonance entre ses 2 antennes sphériques, sur la base d’une onde porteuse de nature longitudinale. De même, la résonance entre l’antenne réceptrice et la personne à soigner est, elle aussi, prouvée et prouvable. C’est sur cette antenne réceptrice qu’il est désormais possible d’appliquer les fréquences de Rife, de façon à moduler l’onde porteuse du SWD au niveau de la bobine plate de Tesla, apparente sur cette antenne.

Les fréquences de Rife ont été définies par lui afin de lutter efficacement contre les micro-organismes (virus, bactéries, champignons, levures) présents dans la plupart des maladies aiguës ou chroniques. C’est le point commun fondamental entre Hulda Clark et Royal Rife, à la différence que la thérapie selon Hulda Clark s’efforce aussi de lutter contre les parasites plus gros que les microbes, tels les ténias, ascaris, douves (vers plats), oxyures, etc., également fortement impliqués, selon elle, dans de très nombreuses pathologies, sinon toutes.

Il a été prouvé que, par le phénomène de la résonance (les membranes des parasites entrent en résonance avec les fréquences envoyées dans le corps, de sorte que les parasites et micro-organismes finissent par exploser) certaines séquences très précises de fréquences inhibent, voire détruisent complètement, que ce soit in vitro (dans un laboratoire) et in vivo (dans le corps humain), les virus et les bactéries, mais aussi les levures, les champignons et les autres  parasites pathogènes, sans impact négatif sur les tissus sains et la flore (telles les “bonnes bactéries” intestinales) utile au bon fonctionnement du corps.

A son époque Royal Rife avait inventé un microscope spécial, lui permettant de visualiser les micro-organismes sous leur forme vivante; à l’aide de son microscope spécial, il pouvait donc assurément vérifier que les microbes étaient bien morts après avoir subi le traitement infligé à eux par les ondes modulées de son tube à plasma. Dans le cas de la méthode Hulda Clark c’est encore l’utilisation du Synchromètre qui permet de savoir s’il y a encore des pathogènes vivants présents d’une espèce donnée, que ce soit dans un corps humain ou ailleurs.

Il existe, de nos jours, sur Internet, des bases de données très variées permettant un accès direct et gratuit aux fréquences inhibitrices des microbes pathogènes, que ce soit celles de Royal Rife ou bien celles de Hulda Clark (que l’on trouve aussi dans son livre “La Cure de toutes les maladies” ainsi que dans son “Manuel du Synchromètre”). A l’aide d’un simple ordinateur PC de genre courant et d’un générateur de fréquences approprié tel le M5 accessible sur le site spooky2.com), il est maintenant possible de recueillir ces fréquences et de les transmettre à l’antenne réceptrice du SWD en tant que signaux de modulation de l’onde porteuse – garantie comme étant de nature scalaire – de cet appareil. Ainsi, toute personne se trouvant dans le champ émis par le SWD peut bénéficier de ces modulations spécifiques, précisément sélectionnées dans le but de pouvoir inhiber tel ou tel micro-organisme pathogène.

Du côté Dr Clark l’on trouve aussi un générateur de fréquences permettant de générer et d’administrer (pour l’administration des fréquences, une fois celles-ci enregistrées, un simple Zappeur, à condition qu’il soit pourvu d’un lecteur de carte mémoire approprié, peut suffire) toutes les fréquences désirées. Ce générateur est autonome mais n’administre pas d’ondes scalaires. Toutefois, pour qui souhaite administrer les fréquences de la Doctoresse Clark en les associant aux ondes scalaires cela est aussi possible grâce au fait que les fréquences Clark sont aussi disponibles dans le système Spooky 2.

Dans les différents cas de figure chaque élément isolé n’est pas forcément suffisant pour soigner efficacement, mais la judicieuse combinaison de plusieurs permet souvent d’atteindre les résultats escomptés.

En plus du générateur d’ondes scalaires SWD, unique au monde, il faut donc, pour des résultats optimaux, pouvoir aussi utiliser des fréquences de Rife appropriées, et si possible de manière simple et accessible. Ceci est maintenant possible avec le système de générations de fréquences de Rife Spooky 2, dispositif expérimental, mis au point par John White et dont il existe maintenant (depuis le 1er avril 2015) aussi un mode d’emploi téléchargeable en français.

L’association du SWD et de Spooky 2 ouvre de nouvelles perspectives, des plus exaltantes! Le but est de fournir une source d’énergie assimilable par le corps, à la fois douce et pénétrante, associée à des fréquences – quel que soit le type utilisé, Rife, Clark ou autre – fatales aux pathogènes et donc, à ce titre, guérisseuses.