Et qui, plus est, il est toujours à disposition, car, où que vous alliez, vous l’emportez toujours avec vous! Car ce remède c’est, oui, l’amaroli, votre propre urine!
Bon, d’accord, tout le monde n’est pas {encore} prêt à utiliser ce remède naturel, efficace et gratuit. Et pourquoi donc? Parce que beaucoup de gens souffrent encore de conditionnements culturels, éducatifs, etc., du genre: “L’urine c’est sale”, “L’urine est un déchet” (alors que Tal Schaller dit que c’est du sang filtré) ou bien “Si le corps l’élimine, c’est parce qu’il n’en veut plus; pourquoi lui en re-donner?”.
Par la ré-introduction des mêmes substances dans le corps sous une forme diluée et dynamisée l’information de ces substances est re-donnée au corps (c’est le principe de l’isothérapie), qui est alors mieux à même, si réellement elles lui sont préjudiciables, de réagir contre elles et de les éliminer.
Les faux concepts et les fausses conceptions qui en dérivent, l’être humain doit aussi les éliminer pour pouvoir vivre libre et ne pas refuser ou repousser ce qui est objectivement bon pour lui et pour son corps, lequel demeure son meilleur instument, son meilleur serviteur dans la matière.
Si l’urine était le poison que certains décrivent la Nature aurait-elle fait en sorte que chaque embryon baigne aussi lontemps (des mois) dans sa propre urine associée au liquide amiotique dans le “sein” de sa propre mère?
Chacun doit faire l’effort du déconditionnement qui doit lui apporter la liberté, la liberté de se réconcilier avec son propre corps et de mettre à profit ce qui est réellement bon pour lui.
Très certainement, pour de très nombreux êtres humains, Amaroli en fait aussi partie…
A son sujet, sur son site Internet, le Dr Tal Schaller, auteur d’un livre sur la question, écrit:
Bon! Vous êtes décidé(e) à passer à l’action? Que faut-il savoir d’autre?
Les personnes qui prennent des médicaments chimiques risquent de se ré-empoisonner à petit feu une deuxième fois si elles prennent de hautes doses de leur urine remplie des néfastes molécules que leur corps cherche à éliminer. En ce cas, la plus grande prudence s’impose. Si possible, d’abord arrêter la prise de médicaments chimiques avant d’envisager de se soigner à l’amaroli.
Pour les autres pas de raison d’attendre, elles peuvent commencer à expérimenter… Par exemple, profiter de la douche matinale pour prendre leur premier cocktail vitaminique et enzymatique de la journée… En sachant que l’urine matinale est plus concentrée que celle de l’après-midi. Il peut donc être avisé, dans la période d’accoutumance, de commencer par celle de l’après-midi.
Il est aussi conseillé de laisser couler un peu avant de récupérer pour la boire l’urine qui sort en milieu de miction. En outre, il est important de la boire immédiatement; l’urine doit donc être “fraîche” (ou plutôt “chaude”); sinon l’urée se transforme en ammoniaque et l’urine devient donc toxique.
Si vous observez que l’urine du soir laissée reposer toute la nuit dans un récipient transparent contient un dépôt, c’est probablement que vous êtes parasité(e); en ce cas prendre une ou deux cuillerées de brou de noix alimentaire “extra-strong” (le même que celui qui est utilisé pour le déparasitage ou le grand nettoyage du foie) le soir avant d’aller dormir et vous pourrez vraisemblablement expérimenter que votre urine du matin aura un goût de limonade ou de jus de fruit (signe d’élimination des parasites)…
L’urine des végétariens et encore plus celle des végétaliens est habituellement très douce; ce n’est, par contre, généralement pas le cas pour celle des carnivores; donc une raison de plus pour diminuer la dose de viande ingérée ainsi que la dose de fromage et autres produits laitiers avant d’être à même de pleinement pouvoir se satisfaire d’une nourrture intégralement végétale.
Le mystère éclairci
Liens à visiter:
Le site du Dr Tal Schaller:
http://www.santeglobale.info/tal/Amaroli.html
Voir son livre, dans la collection “Testez”: “Testez l’Urinothérapie”.
Les “psys” se penchent sur l’utilisation de l’amaroli:
L’amaroli n’a pas que de chaleureux partisans; par exemple, le ministère de la santé du Cameroun condamne l’urinothérapie:
http://www.afrik.com/article5818.html.
Voir aussi: Revue “Principes de Santé” n°38 d’Octobre 2011 – Article de Jade Allègre (page 18).