Le Silicium Organique – Invention de Loïc Le Ribault

Le travail mystérieux des micro-organismes

Contrairement à l’être humain, de nombreux micro-organismes et plantes (diatomées, radiolaires, champignons, etc.) sont capables, par des processus non (ou mal) expliqués à ce jour, d’effectuer la transformation du silicium minéral en silicium organique et d’assimiler ce dernier qu’ils fabriquent à partir du silicium minéral hydraté originel, pour s’en nourrir.

Mais l’être humain, lui, n’a pas cette capacité… Alors c’est bien de pouvoir maintenant, grâce à ces micro-organismes et aux travail de plusieurs chercheurs d’exception, en disposer aussi

 

Histoire du G5

Le Silicium Organique
arraché aux sables

Historique (Résumé)

Norbert Duffaut, chimiste organicien à l’université de Bordeaux, fut le premier à réussir la synthèse d’un silicium organique en 1957. Baptisé «D.N.R.», celui-ci fut utilisé sous diverses formes par de nombreux médecins dès 1958, et son efficacité prouvée dans le traitement des maladies les plus diverses.

Loïc Le Ribault, l’un des premiers utilisateurs du microscope électronique à balayage, découvrit fortuitement les capacités thérapeutiques du silicium organique en 1975, et, en collaboration avec des médecins, utilisa celui-ci dans le traitement d’affections variées jusqu’en 1982.

En 1982, Norbert Duffaut et Loïc Le Ribault se rencontrèrent. Ils travaillèrent ensemble à la mise au point de nouvelles molécules de silicium organique à usage thérapeutique jusqu’en 1993, date du décès de Norbert Duffaut.

Jusqu’alors, pour que les organo-siliciés soient actifs, on devait leur adjoindre de faibles quantités de produits utilisés en allopathie ou homéopathie, produits qui étaient choisis de façon spécifique selon les affections à traiter. En outre, ils ne pouvaient être utilisés que par applications cutanées (compresses, tamponnements, ionocinèse, etc).

En 1994, Loïc Le Ribault met au point une nouvelle molécule, testée depuis 1991, pouvant être utilisée sans rajout de complément médicamenteux quelconque dans le traitement de la plupart des affections. Autre nouveauté importante: sous forme liquide, ce silicium organique (baptisé «G5»), qui ne présente aucune toxicité, devient désormais buvable.

Mais il peut aussi être utilisé sous forme liquide ou de gel pour des applications cutanées.

Loïc Le Ribault découvrit également que le silicium organique était d’autant plus efficace que la solution était pure (autrement dit ne contenait que du silicium), et définit la concentration idéale en silicium du produit. Celle-ci, très faible, ne doit pas excéder 0,04 %.

 

A quoi sert le G5?

Les propriétés du Silicium Organique G5

Note importante: les textes d’information présentés sur ce site n’ont aucune prétention à caractère médical ou thérapeutique. Les données exposées sur ce site visent à informer les consommateurs de la façon la plus claire possible sur les utilisations d’un complément alimentaire dont les bienfaits pour le bien-être sont désormais très connus, et ce, à partir des témoignages d’utilisateurs, de scientifiques et de médecins. Bien que ce produit ne présente aucune toxicité, nous ne sommes pas responsables d’un usage du G5 qui aurait été prescrit par un médecin pour une raison autre qu’une complémentation nutritionnelle.

Ces textes ont élaborés à partir de plusieurs sources, dont des écrits de l’inventeur du G5, M. Loïc Le Ribault. Les textes de cet auteur sont publiés dans le cadre des accords entre M. Le Ribault et la société LLR G5 Limited, laboratoire fabricant le G5.

Après utilisation par plusieurs centaines de milliers de personnes, on peut aujourd’hui résumer comme suit les principales caractéristiques du G5 , selon les témoignages des consommateurs et de nombreux médecins ou pharmaciens et autres professionnels de santé.

  • Son efficacité est prouvée par des tests officiels (1) et de multiples témoignages de médecins et d’utilisateurs, étayés par des documents de tous ordres (analyses de sang, radios, photographies, etc.).
  • Il est assimilable par l’organisme humain et par celui des animaux et des végétaux. De nombreuses applications vétérinaires ont été réalisées sur du bétail (chevaux, vaches, porcs), des volailles (poules et canards), des poissons d’aquarium, des chiens et des chats.
  • Il ne présente aucune toxicité (2).
  • Il joue un rôle important dans la restructuration des fibres d’élastine et de collagène, dans les stades précoces de laminéralisation osseuse et dans le métabolisme général de l’organisme.
  • Il possède la propriété de traverser le derme et l’épiderme pour diffuser ensuite dans l’ensemble de l’organisme, et en particulier dans les organes ou parties du corps souffrant d’agressions diverses ou de dysfonctionnements.
  • Il est compatible avec toute thérapie à laquelle sont éventuellement soumis les utilisateurs avant ou pendant son utilisation
  • Il accélère les processus de cicatrisation.
  • Il est anti-inflammatoire.
  • Il renforce les défenses immunitaires de l’organisme.
  • Il dynamise, protège et régénère l’ensemble des cellules du corps.
  • Il ne provoque aucun effet secondaire, même après utilisation durant plusieurs années consécutives.
  • C’est un «anti-douleur», dont l’action est souvent perceptible au bout de quelques minutes seulement. Contre les piqûres de méduses, les coupures, les brûlures et les coups de soleil, notamment, son efficacité est telle qu’il a gagné dans les Caraïbes le surnom de «Pain Killer» (le «Tueur de douleurs»).
  • Le G5 peut être utilisé par les enfants en bas âge et les femmes enceintes.

Comment une unique molécule peut-elle avoir un champ d’action aussi large?

Il est impossible de donner une réponse précise. On ne peut qu’émettre une hypothèse, compte tenu du fait que des études scientifiques prouvent que tout désordre de l’organisme provient au moins en partie d’un déséquilibre électrique cellulaire: on sait qu’une cellule en bon état est électriquement parfaitement équilibrée, avec son pôle négatif exactement aligné avec son pôle positif. Par contre, une cellule déficiente (suite à une agression, à une maladie, à la vieillesse, etc.) présente des pôles déséquilibrés, qui ne sont donc plus alignés.

Or le G5 est chargé à l’extrême en ions positifs et négatifs instables, qui ne cessent de «tourner» autour de chacune de ses molécules.

Le G5 pourrait donc intervenir dans l’organisme pour rétablir la polarité des cellules déficientes, libérant (ou échangeant) selon les cas des ions positifs ou négatifs. Il serait en quelque sorte un rééquilibrant ionique de l’ensemble de l’organisme, dont l’action donnerait ou contribuerait à donner aux cellules de celui-ci l’énergie nécessaire pour lutter contre tous les types d’agressions dont il est victime.

C’est sans doute ce qui explique la sensation de chaleur, ou de froid, ou de picotements électriques, que certains utilisateurs ressentent circuler dans leur corps, parfois quelques minutes seulement après absorption ou application de G5.

C’est, en tout cas, la seule explication possible en l’état actuel des connaissances.

Mais, après tout, voilà près de cent ans que l’on essaye de comprendre – en vain – comment agit l’aspirine…

Le G5 n’est donc pas un médicament au sens médical, pharmaceutique et juridique du terme, mais un complément alimentaire renforçateur des défenses naturelles de l’organisme. C’est ce qui expliquerait les résultats obtenus grâce à lui par nombre de médecins dans le traitement des affections les plus variées.

1. Tests officiels réalisés selon les normes américaines (37 CFR § 1, 132) par le professeur Jean Cahn, directeur de l’Institut Sir International, professeur de pharmacologie et de neurobiologie à la faculté des Sciences et à la faculté de Médecine de Pavie (Italie).

2. Tests officiels réalisés par le laboratoire Evic Ceba en 1995 et 2004, en conformité avec la Directive européenne 86/609/CEE du 24 novembre 1986 et par l’Agence Française du Médicament (Ministère français de la Santé) en décembre 1995.

 

Comment utiliser le G5?

Modes d’utilisation du G5

 

Note importante: Les textes d’information présentés sur ce site n’ont aucune prétention à caractère médical ou thérapeutique. Les données exposées sur ce site visent à informer les visiteurs/lecteurs de la façon la plus claire possible sur les utilisations d’un complément alimentaire dont les bienfaits pour le bien-être du corps humain sont désormais très connus, et ce, à partir des témoignages d’utilisateurs, de scientifiques et de médecins. Bien que ce produit ne présente aucune toxicité, chacun est invité à faire preuve de discernement quant à l’usage des informations ici présentées.

 

Les textes descriptifs du G5 et de son utilisation ont été élaborés à partir de plusieurs sources, dont des écrits de l’inventeur du G5, M. Loïc Le Ribault. Les textes de cet auteur sont publiés dans le cadre de l’accord entre M. Le Ribault et la société LLR G5 Limited, laboratoire fabricant le G5.

 

1. Voie orale – Silicium Organique G5 liquide

Le Silicium Organique G5 est présenté sous deux formes: liquide et gel.

Le Gel est utilisé uniquement en applications externes (utilisation possible sur les muqueuses).

Le Liquide peut être utilisé, selon les besoins, par voie orale et en applications externes par pulvérisations, compresses, compresses étanches, dans les yeux, les oreilles, par micro-lavements vaginaux et anaux (1).

L’approche est différente selon que les utilisateurs sont «bien portants» (ou supposés tels) ou, au contraire, souffrent d’affections déclarées ou de séquelles de celles-ci.

Dans le premier cas, les utilisateurs les plus habituels conseillent une cure simple simple destinée à une «remise en forme» générale; dans le second cas, les utilisateurs doivent inscrire leur cure dans le cadre du traitement médical qu’ils suivent par ailleurs avec leur médecin et ce, avec son accord.

1. Pulvérisateur, flacon compte-gouttes ou mini-poire à lavement doivent être vierges de toute utilisation antérieure. Les compresses ne doivent pas être réutilisées (risques de macération).

1.1. La cure d’entretien ou de remise en forme

Nous avons déjà vu que le «capital silicium organique» diminue de façon inexorable avec le temps.

Toute affection ou déficience de l’organisme peut donc être combattue avec un apport de silicium organique, et seul le G5 peut jouer ce rôle.

Une ingestion ou une application locale de G5 résoudra donc le problème ou apportera un soulagement, mais la décroissance du stock de silicium organique se poursuivra après cet apport ponctuel.

L’idéal est donc de suivre des cures régulières de G5, qui rechargeront constamment l’organisme en silicium organique, permettant de maintenir constamment un meilleur état général et une défense de l’organisme plus efficace contre toute agression.

La cure consiste en l’absorption quotidienne de G5 pendant 1 à 3 mois ou 3 à 6 mois.

La quantité moyenne est comprise entre 1 et 3 cuillère(s) à soupe 3 fois par jour, selon les besoins.

Il est souvent conseillé de commencer par une cuillère quotidienne, et de voir au bout d’une semaine si des résultats bénéfiques se font sentir au point de vue de l’état général.

Si ce n’est pas le cas, il convient d’augmenter la dose journalière à deux cuillères, puis, si aucune amélioration ne s’est encore fait ressentir au bout d’une autre semaine, de passer à trois cuillères à soupe par jour. Dans la majorité des cas (90 %), trois cuillères à soupe permettent d’obtenir une remise en forme très sensible.

Celle-ci se manifeste de multiples façons, telles que la reprise du sommeil et d’un appétit normal, un meilleur équilibre nerveux, une énergie accrue, etc.

La première cuillère est absorbée de préférence le matin à jeun et les autres (midi et soir) vingt minutes au moins avant les repas. Nombre de consomateurs du G5 conservent le produit dans la bouche 1 à 3 minutes en le «mâchant» avant de l’avaler.

Compte tenu de l’absence totale de toxicité du G5, les utilisateurs qui le souhaitent ou en éprouvent le besoin peuvent, à leur gré, largement dépasser les doses ci-dessus indiquées.

Les utilisateurs habituels déclarent quil est important de suivre la cure sans interruption pendant 1 à 3 ou 3 à 6 mois, plus si le besoin s’en fait sentir, même si la remise en forme paraît très satisfaisante au bout de quelques jours.

La souplesse d’utilisation du G5 est telle que chacun est libre de l’utiliser à sa guise et selon ses besoins, qu’il ressent.

N.B.: Le G5 est compatible avec n’importe quelle thérapie éventuellement en cours. Toutefois, si celle-ci oblige l’utilisateur à absorber des médicaments (allopathiques ou homéopathiques), il est souvent conseillé, pour une meilleure efficacité du G5, de prendre celui-ci séparément (par exemple 15 à 20 minutes avant l’absorption des médicaments).

Il arrive parfois que, quelques secondes ou quelques minutes après l’absorption de G5, l’on ressente des picotements ou une sensation de chaleur diffuse dans le corps; il s’agit d’un phénomène normal, et l’impression se dissipe au bout de quelques minutes (Cf. témoignage n° 22).

Les picotements et/ou la chaleur sont parfois localisés dans une partie très précise du corps; en ce cas, il convient de mémoriser la zone de l’organisme ainsi «désignée», qui correspond vraisemblablement à une affection locale quelconque, connue ou non, et d’en avertir son médecin traitant.

 

1.2. La cure accompagnée d’un traitement médical

 

Il s’agit d’une cure identique à celle décrite précédemment, mais effectuée sous surveillance médicale avec analyses et contrôles spécifiques (analyses de sang, radios, examens cliniques, etc.).

À échéances régulières (3 à 6 mois), les bilans à disposition du médecin permettront à celui-ci de décider si la cure est suffisante ou doit être poursuivie, les doses maintenues, diminuées ou augmentées, et si le traitement complémentaire (avec d’autres formes d’utilisation de G5 et/ou de médicaments) est adapté ou doit être modifié.

Pour les affections lourdes, les doses quotidiennes recommandées par les médecins sont généralement comprises entre 3 et 9 cuillères à soupe par jour, parfois jusqu’à 3 fois plus.

Dans le dossier Exemples d’utilisation, sont donnés quelques exemples de situations où l’utilisation systématique de G5 buvable est fortement recommandée par de nombreux médecins ou fait l’objet de témoignages détaillés de consommateurs.

2. Compresses étanches – Silicium Organique G5 liquide

Imbiber de G5 un (ou plusieurs) morceau(x) de coton (ou de gaze) d’une taille correspondant à la surface du corps à traiter.

Afin d’éviter l’évaporation, recouvrir le coton ou la gaze d’une feuille de plastique alimentaire assurant une bonne adhérence et conserver pendant la journée ou durant toute la nuit.

N.B.: Souvent, l’on ressent une impression de légers picotements (généralement qualifiés d’ «électriques»), de chaleur (Cf. témoignages n° 41, 89) ou au contraire de froid, qui diffuse dans l’organisme. Ce phénomène est normal. Mais il arrive aussi qu’aucune sensation ne soit perceptible (ce qui ne signifie nullement que le G5 n’agisse pas!).

Les compresses provoquent parfois l’apparition de démangeaisons ou de rougeurs. Si celles-ci sont localisées exactement à l’emplacement du plastique, il s’agit d’une allergie à celui-ci et il convient de changer de marque. Si elles apparaissent sur toute la surface de la peau en contact avec les compresses, il s’agit dans la plupart des cas des conséquences du phénomène de macération. En ce cas, diminuer le temps d’application des compresses ou essayer les massages.

Rougeurs et/ou démangeaisons peuvent être accompagnées d’une sensation nette de chaleur interne très localisée, voire de douleur ou d’une élévation de température; c’est généralement le signe que le G5 a déjà produit son effet (parfois après une seule application) – Cf. témoignages n° 26 et 63. En ce cas, il convient d’arrêter les compresses et d’observer l’évolution de l’affection durant quelques jours (consultations médicales, analyses de sang etc.).

 

3. Compresses – Silicium Organique G5 liquide

Imbiber de G5 un (ou plusieurs) morceau(x) de coton (ou de gaze) d’une taille correspondant à la surface à traiter, puis appliquer sur la peau.

Souvent, comme déjà dit plus haut pour les compresses étanches, l’on ressent une impression de légers picotements (généralement qualifiés d’«électriques»), de chaleur (Cf. témoignages n° 41 et 94) ou au contraire de froid, qui diffuse dans l’organisme. Il est également fréquent que la sensation de froid soit suivie d’une sensation de chaleur, ou l’inverse. Ce phénomène est normal. Mais il arrive aussi qu’aucune sensation ne soit perceptible (ce qui ne signifie nullement que le G5 n’agisse pas!).

Au bout de 20 minutes environ, enlever le cataplasme et laisser la peau sécher à l’air libre.

L’opération peut être renouvelée aussi souvent que nécessaire si la gêne ou la douleur persiste.

4. Tamponnements – Silicium Organique G5 liquide

Imbiber de G5 un morceau de coton et tamponner pendant 5 à 10 minutes la surface à traiter.

5. Vaporisation – Silicium Organique G5 liquide

Remplir de G5 un vaporisateur n’ayant jamais servi, du type de ceux qu’on trouve en pharmacie. Vaporiser ensuite toute la surface à traiter. Laisser sécher à l’air libre ou masser légèrement (avec des mains propres!) jusqu’à pénétration complète du produit. Renouveler l’opération aussi souvent que nécessaire.

N.B.: Ne jamais réutiliser un vaporisateur ayant contenu un autre produit! Utiliser toujours un vaporisateur neuf, exclusivement réservé à l’emploi du G5!

 

6. Massages – Silicium Organique G5 – Gel

Étaler une mince couche de gel sur la peau, puis attendre quelques minutes sans y toucher. Masser ensuite légèrement jusqu’à pénétration complète du produit. L’opération peut être renouvelée aussi souvent que nécessaire. Si des rougeurs ou des démangeaisons se manifestent, arrêter l’application.

N.B.: Pendant une demi-heure après chaque application de gel, éviter de mettre la surface de peau traitée en contact avec des produits corrosifs ou toxiques (exemples: liquides ou poudres à laver, insecticides etc.).

 

Silicium Organique G5 – Témoignages – Série 1


Ils utilisent le Silicium Organique G5
et s’en déclarent satisfaits…

Témoignages – Série 1
1 à 35


1. Monsieur Philippe R., chirurgien dentiste (33), juin 1995

Mes enfants, qui ont utilisé votre produit pour l’acné, en sont enchantés.

2. Monsieur R.T., Brantome (24), 8 décembre 1995

J’ai 67 ans, et suis atteint d’arthrose depuis dix ans (arthrose aux lombaires, aux genoux, aux chevilles) et, de ce fait, invalide. Il ne s’agit pas de douleurs bénignes, mais d’un cas à la limite de l’incapacité totale. Après 15 jours de traitement au G5, je considère avoir récupéré 60% des facultés qui sont celles d’une personne de mon âge. A savoir: très importante atténuation de la douleur et souplesse en partie retrouvée des articulations. Il s’agit donc d’un succès, que je compte bien améliorer en continuant ce traitement; c’est pourquoi cette lettre est un témoignage, témoignage que je serais prêt à authentifier le cas échéant.

3. Madame G., Bègles (33), 3 janvier 1996

Après avoir entendu parler du G5, je m’en suis commandé, car j’ai beaucoup de douleurs au dos et aux genoux. Je m’en suis fait passer dans le dos et je me suis frotté les genoux. Mes problèmes ont disparu en peu de temps. Mon mari avait un petit ulcère à une jambe. Je lui ai fait une compresse de G5 matin et soir et la plaie a cicatrisé. J’ai également eu de l’herpès à la lèvre. Avec quelques compresses de G5 matin et soir, mes boutons ont disparu en trois jours.

4. Madame G., Saint-Loubès (33), 4 janvier 1996

J’en prends 3 fois par jour et mes mains vont mieux, j’écris mieux et je peux tenir les objets, choses que je ne pouvais pas faire, malgré les traitements des docteurs. Mes maux de tête aussi sont moins fréquents, et mon arthrose cervicale va beaucoup mieux. Je n’en reviens pas, car à force d’être toujours malade, j’avais perdu 11 kilos en 4 mois, et maintenant depuis que je prends le G5, je mange mieux, j’ai repris 2 kilos et je dors mieux.

5. Madame M.M. (17), 23 janvier 1996

Étant atteinte d’arthrose aux épaules, aux pieds, aux mains, et de douleurs musculaires en divers autres endroits, après de nombreux traitements médicaux tout aussi inefficaces les uns que les autres, je m’étais installée dans ma souffrance quand, par l’intermédiaire d’un ami, j’ai connu le G5. J’ai décidé d’en faire usage et ce fut une réussite totale après quelques jours d’application en absorption orale (une cuillère à soupe par jour pendant un mois). Je n’ai plus maintenant que le mauvais souvenir de mes maux. Je ne souffre plus et me revoilà à nouveau en forme.

Mais le fait le plus extraordinaire est celui de mon fils victime d’un très grave accident de la route le 4 septembre 1995 (8 jours dans le coma, 2 mois d’hôpital à Limoges et maison de convalescence et rééducation), avec une fracture d’épaule, de dents, traumatisme crânien. Il a, sur mon conseil, utilisé lui-même le G5, alors qu’il souffrait de plus en plus à la tête, notamment, et qu’il était en permanence sous cachets de toutes sortes, antidépresseurs et autres, et a constaté, en quelques jours d’absorption et de compresses sur la nuque et sur le foie, une amélioration radicale de son état: disparition totale des maux de tête et fonctionnement normal du système estomac-foie-transit intestinal, tout en ayant arrêté le traitement médical.

Je sais que mon témoignage sera utilisé en justice et suis prête à le réitérer à toute demande des instances judiciaires. De même, mon fils (fonctionnaire de l’Administration pénitentiaire, actuellement en déplacement) est lui aussi prêt à témoigner.

6. Madame M., Anglet (64), 11 janvier 1996

Souffrant d’une arthrose à la hanche gauche, j’ai fait une compresse que j’ai gardée jour et nuit, en l’humectant de G5 tous les matins. Dès le début de l’application, la douleur s’est atténuée et peu à peu je me suis déplacée dans l’appartement à peu près normalement.

7. Madame L.R., Bayonne (64), 27 décembre 1995

La guérison n’est pas tout à fait là, mais quel soulagement! … Mes genoux ne craquent plus et la douleur a presque disparu. Mon poignet droit a retrouvé sa souplesse et a désenflé. Je suis très satisfaite du résultat; je ne voudrais pas arrêter trop tôt le traitement, car il est vraiment trop efficace pour l’abandonner.

8. Monsieur J.B., Plouguerneau (29), 22 janvier 1996

Je tiens à vous faire savoir que les applications de G5 en compresses m’ont permis de marcher presque normalement et de diminuer sensiblement ma consommation en cortisone. Atteint de polyarthrite, les applications de G5 ne m’ont pas guéri, mais ont soulagé et presque fait disparaître les terribles douleurs que j’avais dans les articulations, en particulier dans les chevilles. Lorsque les articulations redeviennent douloureuses, je fais des applications de compresses pendant quelques jours et les douleurs s’atténuent rapidement.

9. Madame J.L., Parempuyre (33), 1er décembre 1995

Voici trois semaines que mon mari et moi utilisons le G5. Je souffrais du foie, du pancréas, des intestins, d’herpès et d’arthrose cervicale. Mon mari avait une importante arthrose au genou gauche. Des résultats très positifs sont apparus. Pour mon cas, les douleurs à la nuque ont disparu, l’articulation est redevenue plus souple et mon état général s’est nettement amélioré. Concernant mon époux, les douleurs au genou sont parties, l’articulation est souple et les déplacements sont plus stables. Il reste une légère crispation musculaire au haut du mollet. Il a grand espoir que, dans peu de temps, cela disparaisse. Le G5 a été très bénéfique pour tous les deux. Nous l’avons utilisé pendant quinze jours en compresses (la nuit) et depuis une semaine nous l’employons en sirop à raison d’une cuillère à soupe le matin et le soir.

10. Madame J.L., 72 ans, Saint-Astier (24), 8 janvier 1996

J’ai acheté trois litres de G5 pour nous trois et ai commencé le traitement aussitôt, souffrant d’une importante arthrose au genou gauche, d’hypertension, de cholestérol génétique, estomac, etc. J’avais ce jour-là une grosse plaque d’herpès au-dessous du nez: j’ai été immédiatement guérie avec quelques compresses de G5. Au bout de quelques jours, ma tension et celle de mon mari ont baissé considérablement. Quant au cholestérol, je ne sais pas encore, étant donné qu’il faut refaire un examen à Lille, mais j’espère que ce sera meilleur. Mon arthrose au genou a beaucoup diminué, je ne sens presque plus rien. Mon fils a fait disparaître ses maux de tête avec des compresses.

11. Madame P., Ychoux (40), août 1996

Je ne sais comment vous remercier de m’avoir guérie des crises d’asthme que j’avais depuis plus de trente ans. Je dors toutes les nuits, et j’ai une autre vie, car tout mon état va mieux.

12. Monsieur C.E., LA TESTE (33), 22 novembre 1986

Depuis vingt ans, j’avais des crises d’asthme plusieurs fois dans l’année et seule la cortisone me soulageait. J’ai fait le traitement que m’a donné Monsieur Le Ribault en septembre 1984 et je n’ai plus de crises.

13. Madame C., pharmacienne, mars 1996

Après des résultats spectaculaires sur une brûlure, je suis très intéressée par le G5.


14. Certificat du Docteur Denis G., Bordeaux (33), novembre 1995

“Je soussigné, certifie avoir examiné Monsieur René A., 80 ans, qui a présenté une brûlure du membre supérieur gauche au troisième degré. Je l’ai vu le 14/11/1995 après cette brûlure. Il m’a déclaré après application du produit (le G5) ne plus souffrir au bout d’une minute. De plus, la cicatrisation s’est passée de manière tout à fait satisfaisante avec l’application de ces compresses. Revu le 17/11/1995: aucun problème. Revu le 21/11/1995: nous décidons la mise à l’air libre de la plaie. Revu le 27/11/1995: cicatrisation complète avec séquelle de croûtes, mais sans douleur.” N.B.: ce cas est illustré par une série de photographies prises à intervalles réguliers.

15. Monsieur R.C., Périgueux (24), 28 août 1984

Souffrant fréquemment de maux de tête parfois violents, j’ai essayé pour les combattre bien des médicaments, qui, hélas, ne donnaient que des résultats très moyens tout en apportant des inconvénients bien désagréables, notamment pour mon estomac. Depuis que j’utilise votre produit [le G5], j’ai pu apprécier toute son efficacité. Non seulement mes maux de tête disparaissent rapidement et totalement, mais de plus son emploi est particulièrement aisé.

16. Monsieur Régis C., Centre Hospitalier d’Arcachon (33)

Atteint de calvitie avec prurit, j’ai fait des applications d’organo-siliciés. Au début, j’ai remarqué la réapparition d’un duvet et la disparition complète du prurit. L’utilisation régulière du produit permet de maintenir les résultats.

17. Mademoiselle Valérie Z., 30 ans, La Roche-sur-Yon (85), 1995-1997

Patiente souffrant de la maladie de Crohn. Le 8 novembre 1995, les examens de sang donnent les résultats suivants: – Fibrine: 4,87 g/l (normale=2-4); – Indice d’haptoglobine: 1,55 g/l (normale=0,7-3,8); – Protéine C réactive: 11,9 mg/l (normale=0-6).

A partir de la mi-novembre, la patiente commence son traitement, consistant en l’absorption quotidienne d’une cuillère à soupe de G5. Le 6 décembre 1995, les résultats ne sont pas probants, et tendent même à montrer une aggravation: – Fibrine: 5,12 g/l; – Indice d’haptoglobine: 2,11 g/l; – Protéine C réactive: 12,7 mg/l. Le 5 janvier 1996, on note une amélioration sensible: – Fibrine: 3,81 g/l; – Indice d’haptoglobine: 1,91 g/l; – Protéine C réactive : 8,92 mg/l. Le 7 mars 1996, toutes les valeurs sont normales: – Fibrine : 2,88 g/l; – Indice d’haptoglobine: 1,69 g/l; – Protéine C réactive: 5,6 mg/l.

Depuis cette date, tous les résultats des analyses ultérieures restent normaux et l’état général de la patiente excellent.

18. Madame P.B., 82 ans, Thénac (17), 29 juillet 1995

Opérée de la vésicule biliaire en juillet 1994, j’avais depuis de gros ennuis de digestion. Je ne pouvais plus garder ce que je mangeais et je vomissais beaucoup de bile. Depuis le traitement au G5, tous ces ennuis ont complètement disparu! Je mange de tout et digère très bien. Je faisais de l’œdème des jambes avec des chevilles très grosses. Tout cela est guéri.

19. Madame M.G., La Tresne (33), 26 décembre 1995

J’ai expérimenté votre produit et pense sincèrement qu’il a un impact sur la relance de mon organisme fatigué par la période de la ménopause et le surmenage. Je compte continuer le traitement, en accord avec un médecin homéopathe, le Docteur G.

20. Docteur Bernard D., Bordeaux (33), 1988

Attestation concernant le traitement d’un patient atteint de la maladie de Dupuytren: Nette amélioration de l’extension des 4ème et 5ème doigts. Excellents résultats.

21. Monsieur A.M., Lestiac (33), 4 janvier 1996

Ayant de sérieux ennuis cardio-vasculaires (artérite), j’ai bu deux litres de G5. Je me suis rendu compte en ce qui me concerne que physiquement cela allait beaucoup mieux, ainsi que mon entourage (famille, parents, amis) a pu le constater. J’avais sur la seule jambe qui me reste (après amputation de l’autre, suite à une négligence lors d’une intervention chirurgicale à l’hôpital) de grosses tâches assez noires. Elles se sont estompées, ont changé de couleur et sont devenues plus claires.

Il y a 4 ans de cela, j’ai eu aussi une thrombose au bras droit, à la suite de quoi ma main était restée blanche et froide. Depuis l’application de G5, elle est redevenue rose et chaude. Mes muscles étaient durs, depuis ils sont devenus souples. Je suis suivi quand même par un médecin pour mes problèmes d’arthrite. Lui-même, ayant constaté cette nouvelle évolution, ne désapprouve pas l’utilisation du G5.

En conséquence, si cela peut vous être utile en tant que témoignage, je suis à votre entière disposition pour prouver mon état physique et démontrer tous les bienfaits que m’a apporté le G5. Après des prises de sang faites depuis, aucune anomalie n’est apparue. Les analyses concernaient les hématies, les leucocytes, les plaquettes, la vitesse de sédimentation, le taux de prothrombine et la glycémie. Je vous donne l’accord pour utiliser cette lettre dans tous les cas où il vous serait utile de l’employer.

22. Madame M.P., Lestiac (33), 16 janvier 1996

Je viens vous faire part de ce que j’ai pu constater après l’ingestion d’un litre de G5 à raison de trois cuillères à café par jour. J’avais une certaine faiblesse dans les membres (j’ai 65 ans) et depuis que j’ai pris du G5, je sens mes membres inférieurs beaucoup plus sûrs. D’autre part, lorsque je me mets au lit, je ressens une espèce de bouillonnement comme si la circulation se faisait mieux. J’étais également insomniaque et cela a beaucoup amélioré mon sommeil.

23. Madame M.L., Nantes (44), 1er août 1995

Prenant depuis 18 jours du G5 pour tenter d’enrayer la progression d’un vitiligo dont je souffre depuis deux ans et qui est très perturbant sur le plan psychique, je tiens à vous informer que si je n’ai pas encore de résultat sur le vitiligo proprement dit, par contre, je ressens un bien réel sur mon état nerveux, et cela me rend très confiante dans l’avenir.

24. Madame J.S., Bordeaux (33), 6 janvier 1996

Ma fille de 21 ans a été victime d’un très grave accident – une chute de trente mètres -, ce qui a déclenché des polytraumatismes tant internes que fractures et dégâts neurologiques rachidiens très graves. A ceci s’ajoute un choc émotionnel et des complications infectieuses très sérieuses (septicémie, méningite, infection générale du liquide céphalo-rachidien) qui ont mis ses jours en danger. L’accident a eu lieu le 3 septembre 1995. Je suis venue vous voir le 15 octobre, suite à l’article paru dans Sud-Ouest Dimanche. Ma fille a suivi votre traitement par voie orale et par compresses (dans la mesure où cela était possible en milieu hospitalier) jusqu’à ce jour. Le diagnostic médical était très réservé quant à sa locomotion et aux séquelles neurovégétatives. Contrôle sphinctérien, par exemple. Or, après une quinzaine de jours de rééducation, elle est en cours de récupération des zones lésées, c’est-à-dire qu’elle marche. Elle retrouve toute son autonomie, ceci avec une rapidité et un tonus qui déroutent les médecins à qui nous n’avons pas pu parler du G5. Je mets toutes ces améliorations sur le compte des effets du G5, qui agit à la fois sur le plan physique (reconstruction rapide) et sur le plan psychologique (régulateur, antidépresseur, etc.), ce qui aide ma fille à ” tenir le coup”.

25. Monsieur P.S., BORDEAUX (33), septembre 1985

Le patient souffre d’une hépatite B. Le 31 octobre 1984, les analyses de sang donnent les résultats suivants: – Phosphatases alcalines: 511 U.I./l. (Normale: 60-170). – Transaminases SGOT: 76 U.I./l. – Transaminases SGPT: 63 U.I./l.

Le 11 novembre, le patient commence le traitement aux organo-siliciés, sous forme de compresses au niveau du foie, conservées pendant la nuit. Le 19 novembre, les résultats sont les suivants: – Phosphatases alcalines: 295 U.I./l. – Transaminases SGOT: 44 U.I./l. – Transaminases SGPT: 49 U.I./l.

Le 13 décembre, le médecin traitant écrit: “Je viens de revoir Monsieur S. Son état clinique durant ces dernières semaines s’est considérablement amélioré au point de vue général. Il a repris trois kilos, s’alimente beaucoup mieux. L’examen clinique est négatif. Le foie est à peine perceptible. Il n’y a pas de douleur abdominale à la palpation. L’ascite ne paraît pas avoir réapparu et il n’y a pas d’oedème des membres inférieurs. Le bilan biologique est également en nette amélioration. Les transaminases sont normales, les phosphatases alcalines sont à 240 unités pour une normale inférieure à 200 (…). J’aimerais revoir ce patient pour un contrôle dans un mois en espérant que la situation actuelle sera durable. Le 30 janvier 1985, les résultats sont les suivants: – Phosphatases alcalines: 170 U.I./. – Transaminases SGOT: 26 U.I./l. – Transaminases SGPT: 41 U.I./l.”

Le 2 septembre 1985, le patient écrit à Loïc Le Ribault: (…) “Le résultat est spectaculaire; la fatigue a disparu, malgré un rythme soutenu de travail et de déplacements ces dernières semaines. De même le sommeil est redevenu normal et sans besoins excessifs. Un simple exemple: quelques jours avant le traitement, j’avais fait une marche de 5 kilomètres qui m’avait épuisé, et dont j’avais subi le contre-coup durant trois jours. Ces derniers jours, j’ai marché plusieurs heures par jour, en visitant mes clients dans les grandes villes, sans avoir la moindre fatigue. Je retrouve mes capacités d’avant l’hépatite.”

26. Madame Brigitte P., 30 ans, PARIS (75), 7 septembre 1984

Le 9 août, les résultats d’une analyse de sang révèlent que la patiente souffre d’une hépatite B. En ce qui concerne les transaminases, les valeurs sont les suivantes: – SGOT: 1290 U.I./l. (normale<42).>

Dans une lettre adressée le 7 septembre à Le Ribault, la patiente note: “J’ai continué le traitement encore 2 jours (pour un total de 7 jours), puis je l’ai arrêté: j’avais constaté une légère élévation de ma température (constante à 37,9°) à partir du troisième jour de traitement. Ma température est redevenue normale 24 heures après l’arrêt du traitement”.

27. Monsieur M.P., THENAC (17), 23 janvier 1996

Lors d’une opération du cœur faite à Paris à l’hôpital Bichat, j’ai eu le sang contaminé par l’hépatite C. Après plusieurs traitements par la médecine traditionnelle sans aucun effet sur cette maladie, le médecin traitant a arrêté tout traitement. Je me soigne au G5 depuis juin 1995. Les transaminases ont légèrement diminué, ainsi que les gamma. J’ai repris des forces.

28. Madame A.D., pharmacienne, 12 août 1991

Je, soussignée, certifie par la présente lettre avoir conseillé à mes patients depuis un an et demi des produits composés de Silanol dans le traitement de l’herpès (une centaine de cas, drainant eux-mêmes de bouche à oreille de nombreuses autres demandes); des proches et moi-même ayant utilisé du Silanol, je peux dire qu’actuellement sur le marché aucun produit n’a autant d’efficacité, tant préventive (dès les premiers symptômes en cas de crise) que régressive à la longue pour les personnes sensibles au virus.

Suite à nos récents entretiens avec Monsieur Le Ribault, j’ai également conseillé le Silanol dans le traitement du zona (5 cas) avec succès ainsi que contre les rhumatismes, l’arthrite, les rhumatismes articulaires (une vingtaine de cas). Dans leur majorité, les clients sont revenus complètement soulagés, demandant à nouveau du produit.

29. Madame D.S., Nieul-sur-Mer (17), 9 avril 1996

J’ai eu de très bons résultats avec un psoriasis dans le cuir chevelu vieux de plus de 40 ans.

30. Madame M.G., Arcachon (33), 9 février 1988

Depuis plus d’un an, j’ai la chance, grâce à Monsieur Le Ribault, de pouvoir soigner avec le produit qu’il a mis au point un psoriasis du cuir chevelu que j’ai eu en 1967 à la suite d’un choc, et dont je n’ai jamais su venir à bout malgré de nombreux traitements. À ma grande surprise, ainsi qu’à celle de ma famille, je n’ai plus aucune trace de ce psoriasis depuis plusieurs semaines.

31. Docteur C.M., Sainte-Colombe (69), 8 juin 1988

Je, soussigné, Docteur en médecine, certifie que Madame J.L., traitée par mes soins pour un psoriasis cutané, est actuellement «blanchie» par application exclusive de Silanol.

32. Madame M.P., Iseste (64), 3 février 1996

J’ai utilisé le G5 avec succès sur les crises de sinusite.


33. Madame Yvonne L., 85 ans, Gujan-Mestras (33), 19 janvier 1996

La personne souffre de sinusite depuis 1920.

18-02-1922: Opération des amygdales et extraction des polypes. Soins ensuite régulièrement renouvelés (nitrate d’argent) lors du développement des polypes qui obstruent les fosses nasales.
1961: Traitement par ponctions. Examen bactériologique: staphylocoques dorés = 70%. Bacille de Friedlander = 70%.
1962: Traitement à la Flabelline et (en octobre) au Lantigen B.
1963: Traitement à l’Auréomycine.
1964: Traitement à l’Auréomycine et au Nibiol. Ponctions en décembre.
1965: Ponctions en mars, ainsi que les 19, 24, 28 et 31 décembre.
1966: Ponctions (avec Soludecadron) les 3, 10 et 17 juin. Ponctions simples les 20 et 28 octobre et le 4 novembre.
1967: Examen montrant la présence de staphylocoques dorés. Ponctions avec Néomycine Diamant les 9, 13, 16 et 20 juin.
1970: Traitement avec Locabiotal.
1971-1980: Amélioration. Pas ou peu de rhumes.
1981: Crises répétées de sinusite, traitées avec Soframycine, Gomenol et Balsofu-mineM 4%.
1982: Idem.
1983: Idem jusqu’en octobre, date à laquelle survient une crise particulièrement violente. Après 15 jours de traitement classique (voir ci-dessus), aucune amélioration n’est enregistrée.

Le 23 octobre à midi, une première application de G4 [Note de La Santé Naturelle: Ancêtre du G5] est réalisée par cataplasme au niveau de la racine du nez, et ce pendant deux minutes. Une heure plus tard commencent des écoulements par le nez qui obligent la patiente à se moucher presque sans interruption jusqu’au soir. Le soir, nouvelle application de G4, ainsi que trois fois le lendemain, après quoi la patiente se sent «dégagée» et respire normalement. 1996: Aucune crise de sinusite n’a été enregistrée depuis 13 ans.

34. Madame E.C., Sanguinet (40), 20 juin 1987

Après deux jours d’application du produit fourni par vos soins, mon fils (15 ans) atteint d’un zona a vu les boutons qui commençaient à sécher. Nous avons continué le traitement de 3 applications par jour, et aujourd’hui, 6 jours après le début de l’éruption, on peut pratiquement dire qu’il est guéri.

35. Mademoiselle C.R., 24 ans, Gradignan (33), 4 décembre 1984

Depuis deux ans, je souffrais d’une tendinite au genou droit. J’ai essayé des séances de kinésithérapie avec ionisation. Aucun résultat n’a été satisfaisant. En juin 1984, à la suite d’une douleur intense, j’ai consulté un rhumatologue à l’hôpital Pellegrin de Bordeaux, qui m’a signalé que la tendinite était due à un syndrome rotulien avec Patela Atla. J’ai donc été soumise à des séances de musculation au cours desquelles la douleur se faisait toujours ressentir. Monsieur Loïc Le Ribault m’a conseillé de faire des applications sur le genou d’un produit dont je ne connaissais pas la composition. Chaque application durait 8 heures. Au bout de trois applications, plus aucune douleur ne se faisait ressentir, même lors d’exercices physiques, ce qui m’a permis de reprendre le sport de manière intensive.

36. Journal The Daily Observer, île d’Antigua (Antilles Britanniques), 21 août 1996

Le lancement du G5 dans l’île est annoncé dans le journal local. Par souci d’objectivité, la rédaction a pris la précaution de vérifier l’efficacité du produit. La journaliste écrit:

“Nous décidâmes de réaliser nos propres tests, et demandâmes à un de nos employés d’aller consulter M. Le Ribault à propos d’un problème cutané extrêmement pénible dont il souffre depuis des années: parfois, sa peau se met à peler par grandes plaques, laissant les parties ainsi atteintes à vif et accessibles à des infections potentielles. Le jour où notre employé rencontra M. Le Ribault, ses doigts étaient dans cet état, et il lui était impossible de toucher les parties affectées. M. Le Ribault appliqua du silanol sous forme liquide à ces endroits; en moins de dix minutes, notre homme pouvait toucher ses doigts et était stupéfait du résultat. M. Le Ribault lui demanda de continuer le traitement pendant un mois, à l’issue duquel il souhaitait revoir le patient pour constater les résultats obtenus. Aujourd’hui, une semaine plus tard, le seul regret de notre employé, qui se rétablit après de nombreuses années de souffrances, est qu’il est “impatient d’être totalement guéri et qu’il regrette que le silanol n’agisse pas plus vite”.

Nous avons parlé également à des personnes qui séjournent dans le même hôtel que M. Le Ribault, et ont expérimenté l’extraordinaire efficacité du silanol. Certains affirment avoir été guéris de douloureux coups de soleil en quelques heures à peine, et l’une d’entre elles parle d’une profonde coupure à un doigt, qui fut presque complètement cicatrisée après application d’une compresse de silanol sur la blessure durant seulement un jour.” (…).

 

Silicium Organique G5 – Témoignages – Série 2

Ils utilisent le Silicium Organique G5
et s’en déclarent satisfaits…


Témoignages – Série 2

37 à 64

Les témoignages suivants (n° 37 à 46) ont été recueillis par le journaliste Jean-Michel Graille au cours de l’Eté 1995, et publiés le 8 octobre de la même année dans Sud-Ouest Dimanche.

Voici ce que dit le journal:

“Depuis juillet, intrigués par la rumeur, nous avons rencontré plusieurs dizaines de personnes qui utilisent ou ont utilisé du silanol. Voici quelques-uns des témoignages, tous vérifiés, que nous avons pu recueillir.”

37. Corinne, 26 Ans, Bouliac (33)

Je m’étais fait un claquage à la cuisse et on m’avait prédit trois semaines de gêne et de douleurs. Une compresse humectée de silanol pendant une nuit a réglé le problème. Le lendemain matin, il n’y avait plus rien. Je pouvais courir et marcher.

38. Jacky, 46 Ans, La Teste (33)

Artisan du bâtiment, ancien sportif, il souffre de vieilles douleurs aux articulations. J’ai toujours une fiole de silanol dans ma boîte à outils. Tout récemment, je me suis brûlé le dessus de l’avant-bras sur une quinzaine de centimètres avec le fer d’un chalumeau porté au rouge. Une première application de silanol pour nettoyer la brûlure a fait disparaître instantanément la douleur. Une heure plus tard, je me suis fait une deuxième compresse. Le lendemain, il n’y avait plus aucune marque sur la peau. Je me sers aussi du silanol pour mes problèmes de douleurs articulaires, notamment aux genoux. Elles disparaissent dès la première application.

39. Jocelyne, 47 ans, La Teste (33)

Elle a entendu parler du silanol par ses voisins. J’ai d’abord utilisé le silanol pour une arthrose cervicale consécutive à un accident de voiture. Les analgésiques et les anti-inflammatoires n’avaient aucun effet sur moi. Le silanol, appliqué en compresses, m’a soulagé immédiatement, et, en un mois, les douleurs ont totalement disparu. Maintenant, à chaque poussée d’arthrose, je refais une cure de silanol et c’est immédiatement efficace. En me tamponnant le front et les ailes du nez avec un coton imbibé de produit pour faire passer une poussée de sinusite (ça m’a nettement soulagée), je me suis rendu compte que les surfaces de la peau ainsi traitées devenaient plus belles. Du coup, je m’en sers quotidiennement comme démaquillant.

40. Denis, 41 ans, La Teste (33)

Pilote militaire récemment retraité. Fan de moto, il fait une longue balade le 15 juillet. Il est en short. Au retour, en voulant déplacer sa moto dans le garage, un faux mouvement lui fait perdre l’équilibre et il se retrouve avec le mollet droit collé contre le pot d’échappement brûlant. Le temps d’écarter sa jambe, la peau du mollet reste collée sur la pièce métallique. Sur le mollet, une plaie profonde de deux millimètres, large de quatre centimètres sur une longueur de dix centimètres. Brûlure au troisième degré. Un voisin lui donne un fond de verre de silanol et lui conseille d’en faire une compresse. La douleur passe presque instantanément. Une croûte très mince se forme dans les heures qui suivent. Elle tombe une semaine plus tard.

41. Thierry, 31 ans, militaire dans l’est de la France

J’ai fait beaucoup de football et, depuis cinq ans, rien ne va plus. Les articulations des genoux coincent et craquent. Le cartilage est devenu friable et s’en va en miettes sous l’effet du frottement des rotules qui sont complètement grippées. Depuis quatre ans, les médecins me proposent de m’opérer, et de remplacer les têtes de rotules par des prothèses, en m’expliquant que, de toute façon, c’est irrémédiable. En vacances au camp militaire de Cazaux, j’ai retrouvé un ami qui m’a conduit chez Monsieur Le Ribault. Celui-ci m’a posé sur chaque genou une compresse imbibée de produit. Au bout d’un moment, j’ai ressenti une sorte de chaleur qui m’envahissait les genoux. Un quart d’heure plus tard, je me suis levé. Mes genoux ne craquaient plus, ne coinçaient plus, n’étaient plus douloureux. J’ai commencé à faire des flexions, à marcher en grenouille. J’étais tellement content et soulagé que je ne pouvais plus m’arrêter.

42. Nicole, 46 ans, médecin dans un hôpital girondin a utilisé du silanol à deux occasions.

La première fois, c’est lorsqu’en voulant nettoyer une vilaine plaie que mon chien avait récolté dans une bagarre, j’ai eu un coup de ciseaux maladroit. Sur le coup de la surprise et de la douleur, le chien a tourné la tête et m’a attrapé la main. Il ne m’a pas mordu, mais il m’a serré les doigts comme dans un étau. J’ai fini par récupérer ma main, mais les doigts étaient insensibles et ne répondaient plus. C’était en fin d’après-midi, et c’était catastrophique, car le lendemain je devais pratiquer une anesthésie particulièrement délicate. J’ai demandé à un confrère de se tenir prêt à me remplacer au pied levé au cas où, et je me suis entouré les doigts de compresses au silanol. J’ai été longue à m’endormir. Mais, au matin, je me suis réveillée avec les deux doigts en parfait état de fonctionnement. Comme on m’avait dit que le produit était également efficace dans certains cas dermatologiques, je me suis frictionné la tête avec, pour voir ce que ça ferait sur le psoriasis que je trimballe dans les cheveux depuis ma petite enfance. L’effet a été rapide et radical.

43. Maguy, 60 ans, de Gujan-Mestras (33)

A utilisé le produit après s’être coincé le bras dans une porte qui se refermait. J’ai eu ce qu’on appelle un œuf de pigeon, un gros bleu, bien gonflé, bien mûr. Je me suis fait une compresse imbibée de produit. Un quart d’heure plus tard, l’hématome était complètement résorbé; il n’y avait plus aucune douleur. Nouvelle application une heure après, et le lendemain il n’y avait plus la moindre trace.

44. Jean-Pierre, 50 ans, de Thenac (17)

Est pour sa part convaincu qu’il doit la vie au silanol: “Il y a un an, je n’étais plus étanche. Je suis antiquaire, et j’avais exposé dans cent salons en deux ans. Ce qui veut dire deux ans sur les routes, sans repos, sans hygiène de vie. A ne pas dormir normalement, à trop boire, à trop manger. Mon corps a craqué. Je me suis mis à saigner de partout. Après un effort physique important, j’ai senti que je ne pouvais plus respirer normalement et que j’avais du liquide dans un poumon. Quand j’ai craché, je me suis aperçu que c’était du sang. Loïc Le Ribault, que j’avais connu comme expert, m’avait parlé de ses recherches. J’ai bu du silanol et je me suis fait des compresses. Au bout de quatre jours, je ne saignais plus du tout. Au bout de dix jours, on pouvait considérer que j’étais guéri.”

45. Bruno, 27 ans, et Laurence, 22 ans, deux girondins, ont connu l’enfer de la drogue.

Ils ont eu la chance de ne pas se marginaliser et, un jour, la volonté de s’en sortir et de construire une vie à deux. Depuis quatre mois, ils ne se piquent plus et reprennent goût à la vie, sans aucune aide, sinon une cure de silanol. Ils ont abandonné d’eux-mêmes, n’en ressentant plus le besoin, le traitement palliatif qui leur avait été prescrit. Et l’hépatite C, dernier cadeau de la seringue de Bruno, est en passe de disparaître.(…).

46. Pierre, 45 ans, médecin généraliste

Il a commencé par tester le silanol sur lui et sa famille, il y a environ six mois. Pour des rhumatismes, pour des petites plaies, pour des migraines.

Entre ma femme, mes gosses et moi, sans oublier mes parents et ma belle-mère, j’ai eu rapidement suffisamment d’occasions d’utiliser le silanol pour me rendre compte que ses applications ouvrent un champ de recherches et d’applications aux limites inconnues qu’il faudra bien se décider à explorer.

Mais je suis persuadé que la reconnaissance d’une telle découverte ne peut que déchaîner des conflits sans fin, car trop d’intérêts sont menacés. Alors, lorsque j’estime que c’est la bonne solution pour un de mes patients, je lui en parle et lui indique comment s’en procurer s’il le souhaite… Je suis parfaitement à l’aise intellectuellement et moralement. Le dossier du silanol contient deux pièces essentielles, établies par des experts indépendants: des tests qui mettent en évidence l’efficacité thérapeutique du produit et d’autres qui prouvent sa non-toxicité. Dans ces conditions, j’estime que j’ai le droit et même le devoir d’en informer mes malades lorsque je ne peux rien faire de plus pour eux

Que ce produit ne soit pas un médicament, qu’il ne soit pas commercialisé, qu’on ne puisse pas expliquer comment il agit, ce n’est pas mon problème. Ce qui m’intéresse, ce sont les résultats. Et ces résultats, je les constate lorsque des malades considérés comme incurables viennent me revoir pour faire le bilan après un traitement “parallèle”. Les améliorations, les guérisons que je constate, me procurent alors une satisfaction immense et j’en arrive à penser que je suis un bon médecin… De toute façon, personne ne peut me reprocher quoi que ce soit. Je parle du silanol à certains de mes patients, lorsque j’estime devoir le faire, comme si je leur parlais de jus de carottes ou d’un séjour à la montagne. Je ne fais que leur transmettre une information, et ils en font ce que bon leur semble.

47. Monsieur Jean-Luc L., 27 ans, 22 janvier 1996

Ayant eu la malchance de me trouver hospitalisé au mois de juillet 1995 pour un Sida déclaré, mais ayant eu la chance d’utiliser le produit mis au point par le professeur Loïc Le Ribault, je suis actuellement dans une forme extraordinaire, (…) mes défenses immunitaires sont remontées; je tiens les résultats des analyses à la disposition du tribunal et soutiens l’action de Monsieur Le Ribault.

48. Mademoiselle E.D., 18 ans, août 1995

Atteinte d’un Sida déclaré, la patiente présente en juillet 1995 les résultats suivants. – Lymphocytes CD4+: 6% (normale=35-55); – Lymphocytes CD8+: 22% (normale=18-38); – Rapport CD4+/CD8+: 0,3 (normale=0,6-2,8). Le 8 juillet, elle commence un traitement à raison de trois cuillères à soupe de G5 par jour. Le 17 juillet, elle note une meilleure énergie et une reprise sensible au goût de la vie. Le 1er août, l’amélioration se poursuit: l’énergie revient (avec des passages de grande fatigue). Les selles sont régulières et le sommeil correct, malgré l’arrêt du Laroxil. Les analyses de sang donnent les valeurs suivantes: – Lymphocytes CD4+: 8%; – Lymphocytes CD8+: 24%; – Rapport CD4+/CD8+ : 0,33.

49. Madame M.B., Siorac (24), 29 juillet 1996

Depuis deux mois, j’utilise chaque jour le G5 pour traiter l’hépatite C, et je suis heureuse de constater que mes analyses sont meilleures.

50. Madame M.C., Bascons (40), 15 novembre 1995

Atteinte d’eczéma à la cheville gauche depuis bien plus de dix ans, sans qu’aucun produit ne soit vraiment efficace, surtout pour arrêter ces horribles démangeaisons, j’ai par l’intermédiaire de Madame B. (ma voisine) fait la connaissance du G5. G5 que je qualifie de produit miracle. Car, depuis deux mois que je l’utilise en compresses sur ma cheville deux fois par jour, mon eczéma s’est complètement calmé. Bien sûr, il me reste quelques cicatrices (des points et taches blanches), mais plus de démangeaisons. Mon Dieu, quel soulagement! Mon fils, qui souffre de sinusite fréquemment avec des éternuements à n’en plus finir, utilise aussi le G5 en compresses avec bien du soulagement.

51. Madame M.-C.C., Marmande (47), 7 février 1996

Par l’intermédiaire de copains de mon mari, j’ai eu le bonheur de connaître et de tester le G5. Je souffre de gonarthrose et mon époux également. Je peux vous assurer qu’au bout de deux applications seulement j’ai eu un résultat plus que positif. Car j’ai pu constater que non seulement je ne souffrais plus, mais que de plus je pouvais me plier sur mes genoux, chose que je ne faisais plus depuis longtemps.

52. Madame H.C., Séméac (65), 12 mars 1996

Je vous écris pour vous dire que j’ai expérimenté votre produit, par exemple pour des coliques intestinales et des coliques hépatiques; cela m’a stoppé la douleur en 20 minutes!! Dans les douleurs de tendinite au pied et au bras, cela m’a soulagée aussi; j’en mets tous les soirs.

53. Monsieur C.V., Bassens (33), 30 décembre 1996

Il y a deux ans, je ne pouvais presque plus marcher; le moindre mouvement du genou devenait une torture!… J’ai acheté une bouteille de G5 et «très» lentement mon état s’est nettement amélioré. Aujourd’hui, je ne boîte presque plus, et je suis prêt à témoigner afin de vous apporter ma modeste contribution pour vous faire acquitter [Note de La Santé Naturelle: allusion à l’incarcération de Loïc Le Ribault: Voir le film “Mandat d’arrêt contre un chercheur”].

54. Monsieur J. B. P., Le Taillan-Médoc (33), 10 janvier 1997

Étant atteint d’hépatite C, je suis le traitement G5 depuis plus d’un an. J’ai constaté une baisse régulière de mes analyses pour arriver à une stabilité dans les normes requises.

 
55. Madame A.C., Gradignan (33), 27 décembre 1997

Ayant appliqué le G5 en compresses pour un rhumatisme à l’épaule, je ne souffre plus du tout; jusque-là, aucun médicament ne m’avait soulagée.

 
56. Madame et Monsieur G., Badefols (24), 20 janvier 1997

Nous utilisons le G5 et nous en apprécions tous les bienfaits sur la circulation du sang et la régulation du sommeil ainsi que sur la fatigue, et nous souhaitons pouvoir continuer à en prendre librement.

 
57. Monsieur J. J., Talence (33), 24 décembre 1996

Mon épouse, atteinte d’un zona, s’est d’abord adressée au médecin qui lui aordonné les médicaments adéquats. Devant leur inefficacité, plusieurs amis et connaissances ont indiqué que seuls les soigneurs en venaient à bout. Sans y croire, mais lasse de ses souffrances, elle en a consulté deux sans succès. C’est alors qu’elle a tenté le G5 qui en trois ou quatre jours l’a délivrée. Une autre fois, étant tombée et ayant le dos meurtri, elle l’a employé avec un résultat. Pour ma part, ayant un psoriasis annuel chaque été et après consultation de plusieurs dermatologues, j’ai essayé le G5 qui arrêté les récidives.

 

 
58. Madame M. B., Lanton (33), 7 janvier 1998

Étant atteinte d’une hépatite C chronique, je confirme que le G5 me soulage et améliore mes résultats.

59. Madame L. B., Mérignac (33), 18 décembre 1996

Je soussignée, Madame B. L., (…) atteste par la présente que le produit G5 vendu par Monsieur Le Ribault soulage mes douleurs articulaires (arthrose) provoquées par la compression du nerf sciatique au niveau du fessier, et ce d’une manière durable, alors que les médicaments pharmaceutiques prescrits (Di-Antalvic, Myolastan, Feldene et Percutalgine) ne font de l’effet que pendant le temps de leur ingestion ou application.

 
60. Monsieur B. A., Talence (33), 26 décembre 1996

J’ai le plaisir de vous faire connaître que mon épouse, souffrant d’arthrose très douloureuse au cou et aux pieds, a appliqué des compresses de G5; ces applications l’ont considérablement soulagée. Moi-même, souffrant d’un lumbago, je l’ai aussi employé avec totale satisfaction. Une de nos amies, souffrant d’un zona, a essayé également le G5; au bout de quelques jours, elle a été délivrée de ses douleurs. Ce sont les raisons pour lesquelles nous nous faisons un devoir d’apporter notre témoignage au Docteur ès Sciences Le Ribault.

 
61. Madame L.G.,Royan (17), 16 mars 1996

La patiente souffre d’une hépatite C. Le 15 mars 1996, les résultats d’analyses de sang sont les suivants: – SGOT: 109 U.I./l. (normale=8-39); – SGPT: 146 U.I./l. (normale=9-52); – Gamma GT: 140 U.I./l. (normale=2-60); – Phosphatases alcalines: 65 U.I./l. (normale=43-122). Sa santé se détériorant, la patiente commence un traitement au G5 au début juillet 1996, à raison de 3 cuillères à soupe de produit par jour. Elle n’applique pas de compresse. Le 9 août 1996, les résultats sont les suivants: – SGOT: 29 U.I./l.; – SGPT : 53 U.I./l.; – Gamma GT: 59 U.I./l.; – Phosphatases alcalines: 40 U.I./l.

 
62. Monsieur L.E., 52 ans. Compte-rendu du Docteur J.M., Bordeaux (33)

Diagnostic: Arthrose déformante tibio-tarsienne en poussée aigüe. Traitement: compresses locales et ionisation tous les jours pendant 10 jours, puis 2 fois par semaine. Examen après traitement (au G5): disparition de l’œdème. Nette disparition de la douleur à la marche. Nette amélioration de la douleur et des phénomènes inflammatoires.

63. Madame F., La Teste (33), 13 novembre 1985

La première fois (que j’ai appliqué le produit), j’ai souffert toute la nuit énormément, mais le matin ma main n’était plus engourdie. Je n’avais pas besoin de me faire plier les doigts, un à un, avec ma main gauche.

Depuis, je passe le produit tous les soirs et matins, et ma main a retrouvé toute son agilité. Je peux écrire et tenir quelque chose sans le lâcher. mon pouce me fait encore mal, mais je pense qu’à la longue cela passera.

64. Madame M.P., août 1986

J’ai attendu un an pour vous donner de mes nouvelles. Je vais bien, je ne saurai jamais assez vous remercier de m’avoir guérie des crises d’asthme que j’avais depuis plus de trente ans. Je dors toutes mes nuits et j’ai une autre vie, car tout mon état va mieux. (…) J’étais venue vous voir au mois d’août 1985 et votre traitement fait toujours son effet.

Les témoignages 65 à 68 font l’objet d’attestations du Docteur J.J., Bordeaux (33).

65. Monsieur J.R. présentait une kératite herpétique avec ulcération de la cornée, larmoiement intense et forte vasodilatation de la conjonctive, traitée sans résultat par des collyres cortisoniques. Suite à l’application de silanol, l’inflammation disparaissait en 24 heures et la cicatrisation s’est avérée être complète au bout de 7 jours. Revu 3 mois après, le malade ne présentait aucune séquelle.

66. Monsieur M.L. était atteint d’herpès génital récidivant qui intéressait le gland et le prépuce. Une série d’applications locales au niveau de la lésion a été réalisée, à raison de 3 tamponnements quotidiens à l’aide d’un coton imbibé de silanol. Après une semaine de ce traitement, on constatait la disparition de l’éruption, sans trace apparente. Au bout de 3 mois, le malade ne présentait aucune récidive.

67. Monsieur R.B. présentait un ictère d’apparition brutale. Les examens de laboratoire ont confirmé le diagnostic d’hépatite virale. Les transaminases étaient élevées: 1100. On a appliqué au niveau du foie une compresse de coton recouverte de silanol et imbibée de plastique. Cette compresse a été maintenue 10 heures par jour. Au bout de six jours, l’ictère avait nettement régressé, et les transaminases avaient chuté à la valeur de 50. Après 2 mois, le malade ne présentait plus aucun signe clinique ni biologique d’hépatite.

68. Monsieur E.F. présentait des crises de dyspnées nocturnes avec suffocations. À l’aide d’un coton imbibé de silanol, 7 applications par tamponnement lui ont été faites au niveau des avant-bras, le soir au coucher. Ces applications étaient associées à des instillations nasales du produit. On a pu constater que les crises diminuaient d’intensité au bout de 4 jours et disparaissaient progressivement. Un traitement d’entretien d’une application par semaine a été poursuivi pendant 2 mois. Il a été en outre conseillé au malade, pendant cette période, de procéder au tamponnement (associé à l’instillation nasale) à la moindre gêne respiratoire, et ce à titre préventif. Au bout de 3 mois, le malade ne présentait plus de crises et n’a pas présenté la moindre récidive depuis 8 mois.

 

Silicium Organique G5 – Témoignages – Série 3

Ils utilisent le Silicium Organique G5
et s’en déclarent satisfaits…


Témoignages – Série 3

69 à 102

Tests officiels

Les témoignages 69 et 70 concernent des tests d’efficacité thérapeutique officiels («Déclaration under 37 CFR §1, 132») réalisés par le Professeur Jean CAHN (Directeur de l’Institut Sir International, Professeur de pharmacologie et de neurobiologie à la Faculté des Sciences et à la Faculté de Médecine de l’Université de Pavie (Italie), ancien Directeur du Centre d’Expérimentation Thérapeutique de l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière de PARIS, ancien Directeur de l’Institut de Thérapie expérimentale et de Recherches Cliniques de Paris).

Résumé des tests. Ces tests ont été réalisés notamment par utilisation de G4 et de G5, ce dernier étant encore à l’époque (mai 1990) au stade expérimental.


69. Tests sur animaux

Des tests ont été réalisés sur des cochons d’Inde tricolores soumis à des blessures chirurgicales, traités respectivement avec un lactate de G4 et un lactate de G5. À chaque fois, on a constaté une cicatrisation complète de l’épiderme, avec réorganisation du collagène et réapparition des fibres d’élastine. En outre, les mélanocytes qui, pour les animaux témoins, n’avaient pas été activés par exposition aux U.V. révélèrent chez les animaux traités une activation de 80% avec production de mélanine.


70. Tests sur l’homme

110 patients ont été traités. Le traitement a consisté à appliquer chaque composition directement sur la surface douloureuse ou déficiente, en tamponnant celle-ci à l’aide d’un coton imbibé de produit. Les résultats ont été obtenus en déterminant, pour chaque produit et chaque affection, quel pourcentage des patients répondait favorablement au traitement et présentait une diminution des symptômes.

Pourcentage d’activités pour différentes affections
(applications locales)

 

Asthme

Allergie

Herpès

G4

80%

65%

70%

G5

85%

75%

80%

Nombre de patients traités par lot

35

20

55

71. Docteur Jacques Janet, «Résultats obtenus en thérapeutique humaine avec quelques composés organo-siliciés» (in «P.V. de la Société des Sciences Physiques», Bordeaux, 1967).

N.B.: dans cette publication, l’auteur fait la synthèse des résultats obtenus sur plusieurs centaines de cas de patients atteints de cancer.

Il convient de noter qu’à l’époque les organosiliciés utilisés étaient les G1 et G2 (dits “D.N.R.”), associés à diverses molécules classiques utilisées en allopathie. Leur application était réalisée par injections et/ou par ionisation. Nous citons ici les conclusions de son article.

Devant l’impossibilité d’entrer ici dans le détail de ces quelques 400 cas suivis avec un recul de deux à huit ans, nous n’avons voulu en retenir que quelques observations caractéristiques et essayé d’en tirer quelques enseignements. De toutes ces observations, il ressort que le D.N.R. n’a jamais eu d’effet nocif. Il a influencé favorablement l’évolution d’un grand nombre d’affections malignes de forme et de localisations diverses. Certains cas ont paru mieux réagir aux thérapeutiques classiques: chimiothérapie, radiations ou chirurgie, grâce au D.N.R. La tolérance aux rayons X ou gamma a paru largement accrue. Certaines tumeurs jugées inopérables ont pu, à la suite du traitement, être enlevées chirurgicalement avec des suites normales et un pronostic lointain favorable. En raison de leur absence de toxicité, ces complexes organo-siliciés nous paraissent devoir être associés de façon systématique aux thérapeutiques classiques.


72. Pierre Plages et Norbert Duffaut,
«Quelques résultats obtenus en odontostomatologie avec les dérivés organo-siliciés» (in «P.V. de la Société des Sciences Physiques», Bordeaux, 1976-1977).

(…) En plus de son efficacité, le DNR présente plusieurs avantages:

– Tout d’abord son excellente tolérance (on peut en administrer plus de 250 ml par jour en perfusion); nous n’avons jamais eu de réaction locale malgré la présence d’anesthésique, puisqu’un des traits majeurs de ce produit est d’être anti-inflammatoire, ce qui permet de faire des infiltrations quotidiennes, sans risquer de provoquer, comme les sels de chrome, de réactions locales indésirables.

– Un deuxième avantage réside dans le fait que le DNR peut aussi diffuser rapidement dans les tissus, soit par application locale (bain de bouche où l’on garde le liquide au contact des muqueuses plus d’une minute, et non simple rinçage de quelques secondes), soit de préférence par ionophorèse, technique plus efficace que les infiltrations et dépourvue de contre-indication.

– Signalons enfin à l’actif du DNR sa rapidité d’action, supérieure à celle des médicaments ingérables.

Conclusion: Cinq années d’expérimentation et d’essais comparatifs nous ont apporté la conviction que les composés organosiliciés étaient d’une efficacité constante dans les troubles du parodonte, des épulis, et qu’ils permettaient de faciliter considérablement les interventions de chirurgie bucale et extractions dentaires à la fois en potentialisant les anesthésies et en évitant les alvéolites et autres complications inflammatoires postopératoires.

73. G.R. Rager, «Traitement par ionocinèse contrôlée de l’insuffisance coronarienne chronique et des artériopathies des membres inférieurs» (in «Agressologie», 1967, VIII).

Sur 60 malades traités, nous comptons 9 échecs (…). Chez 51 autres malades, 43 au stade 2 et 8 au stade 3, douleurs ischémiques nocturnes avec gangrène débutante, les résultats ont été très satisfaisants. Dans celles des malades au stade 2, on a vu très rapidement leur périmètre de marche s’accroître considérablement et chez 18 d’entre eux la claudication intermittente a complètement disparu. L’amélioration subjective s’est toujours accompagnée d’une amélioration objective des tracés rhéographiques enregistrés grâce au pléthysmographe d’impédance.

Chez les malades au début du stade 3, la récupération est en général rapide, les douleurs de décubitus disparaissent habituellement vers la 7ème séance, le malade pouvant à nouveau dormir la jambe dans le lit, la gangrène débutante évoluant vers une cicatrisation progressive.

74. Madame D.S., Nieul-sur-mer (17), 30 juin 1997

J’ai acheté plusieurs fois du G5, car j’ai un psoriasis du cuir chevelu qui ne me laisse aucun répit. Et ce G5 calme, apaise et me laisse quelques jours où j’ai l’impression d’être comme tout le monde. Bien sûr, le psoriasis revient, je sais très bien que l’on n’en guérit pas, mais il suffit d’une autre application pour avoir une tête “propre” pendant quelques jours. Il est d’un emploi facile. Je n’ai que des compliments à faire à ce produit. La médecine classique n’a rien, mais rien, à proposer. J’avais tout essayé avant de me diriger sur le G5 et l’homéopathie.

75. Madame E.P., Ochamps (Belgique)

Votre produit [G5] m’a fort étonnée, car on me soignait depuis deux ans d’hyperthyroïdie sans aucun résultat, et je me sentais de plus en plus mal; avant de prendre ce produit, les médecins voulaient m’opérer. À ma dernière consultation, c’est-à-dire trois semaines après (le début de) mon traitement, quel ne fut pas mon étonnement de m’entendre dire que les médecins n’y comprenaient rien et qu’ils ne devraient pas m’opérer. Maintenant, je suis presque guérie et me sens de mieux en mieux.

76. Monsieur J.H., Rouffignac (24), 29 août 1997

Une amie doit vous envoyer une lettre de témoignage concernant sa main. Chez moi, j’ai constaté que mes cheveux se portaient beaucoup mieux: repousse sur la partie chauve.

77. Monsieur M.A., W. (Belgique), 28 août 1997

J’ai 62 ans, diabétique depuis trente ans et me soigne depuis seize ans. Voici juste deux mois que je prends du G5 et ça va mieux. J’ai des problèmes de vue et d’estomac qui s’améliorent maintenant. Je suis très content.

78. Monsieur William Biard, journaliste (extrait de Sud-Ouest, 3 février 1997)

Ses créateurs [du G5], ses défenseurs, vendeurs et surtout utilisateurs, dont certains de nos amis dignes de foi, parlent d’une véritable panacée, produit de la chimie du silicium, capable de guérir à peu près tous les maux du corps.

79. Madame C. A., Saint-Seurin-sur-l’Isle (33), décembre 1996

Grand soulagement au niveau des douleurs inflammatoires, qui permet de ne presque plus prendre de médicaments anti-inflammatoires. Soulagement aussi au niveau articulaire, qui m’a permis de reprendre un peu plus d’activité.

80. Monsieur J.-C. H., masseur kinésithérapeute diplômé d’État, Limoges (87), 29 septembre 1997

Je soigne une importante mycose des ongles des pieds qui avait résisté à tous les traitements dermatologiques antérieurs. Monsieur A.G., mon beau-frère, m’a laissé le reste d’un de ses bidons de G5 et la mycose régresse très bien. Je suis donc très heureux de vous dire que ce mal, très difficile à soigner, peut être guéri par votre produit. J’en ferai part à mes clients.


81. Monsieur A. L., Saint-Seurin-de-Prats (24), 21 octobre 1997

Diabétique, atteint d’un mal perforant plantaire, pied gauche, début mai 96, jambe très enflée, plaie infectée ; pendant 6 mois, j’ai suivi les soins ordonnés par une dermatologue et mon généraliste, sans aucun résultat. Début novembre, ils voulaient me faire hospitaliser. Étant au courant de vos découvertes par les articles parus dans le journal Sud-Ouest, avec l’accord de mon généraliste, j’ai commandé 2 litres de G5 (…). Au bout d’un mois d’applications par compresses, ma jambe a commencé à désenfler et la plaie à se stabiliser à l’étonnement de mon médecin traitant. J’ai continué le traitement jusqu’en début septembre 97, alterné avec des pansements de Bétadine. Ma plaie est maintenant cicatrisée. Mon généraliste n’en croit pas ses yeux. Il m’a avoué qu’en principe, chez les diabétiques, ce genre de plaie ne cicatrisait jamais.

82. Monsieur A.L., Saugnac & Muret (40), décembre 1996

Depuis plus de 10 ans, j’avais des sifflements dans l’oreille gauche [accouphènes?], avec les jambes lourdes et une très mauvaise circulation. Après absorption de deux litres de G5, je ressens moins de sifflements et j’ai les jambes moins lourdes.


83. Monsieur P.M., Mérignac (33), décembre 1996

Atteint de polyarthrite rhumatoïde depuis près de 10 ans, j’ai constaté qu’après une cure de G5 d’un mois, les tests succédant à la cure ont fait apparaître un résultat {consistant en un état de la maladie} diminué, jamais atteint depuis le début de la maladie.


84. Madame Y. M., Saint-Jean-le-Blanc (45), 6 mai 1996

Mon fils, qui se trouve très souvent la tête complètement bloquée depuis dix ans (…) a été agréablement surpris du résultat mercredi soir, je lui ai appliqué un cataplasme sur tout le cou et samedi il m’a fait savoir qu’il n’avait pas arrêté de travailler (…) et qu’en plus il dort, car le sommeil avait disparu. Il tourne la tête presque comme avant et pour lui c’est le miracle (…). Quant à moi, j’avais des vertiges; j’en prends (du G5) deux cuillerées à soupe par jour et depuis une semaine tout va très bien.

85. Monsieur H.O., Blanquefort (33), 14 décembre 1996

Étant très atteint depuis plusieurs années de crises de tendinite aiguë, tous les médicaments que j’ai pu prendre ne m’ont donné aucun répit. J’ai décidé d’essayer le G5. Appliqué en compresses sur mes jambes douloureuses, l’effet a été concluant et depuis je continue à prendre ce produit qui me soulage de bien des souffrances.

86. Madame M.M. B., Bordeaux (33), 26 mars 1997

Je, soussignée, Mme B., déclare et certifie que depuis que j’utilise le G5, je me sens très soulagée, que mes douleurs disparaissent, et cela quelques minutes seulement après l’application.

87. Madame A.C., Gradignan (33), 27 décembre 1996

Ayant appliqué le G5 en compresses pour un rhumatisme à l’épaule, je ne souffre plus du tout; jusque là, aucun médicament ne m’avait soulagée. Depuis un an, je souffre du nez. Après bien des analyses, je ne sais toujours pas ce que j’ai. J’ai fait des pulvérisations de G5 et j’ai beaucoup moins mal à ce jour. Pour le gel, ma peau redevient moins ridée et plus lisse.

89. Monsieur N.E., Jersey (Îles anglo-normande britanniques), décembre 1997

Depuis deux ans, je souffrais en hiver de gerçures qui faisaient saigner sans interruption ma lèvre inférieure. Après deux jours d’application de G5 en gel, la cicatrisation de celle-ci est complète.

90. Monsieur D. F. P., barman, Jersey (Îles anglo-normandes britanniques), novembre 1997

Travaillant en moyenne 12 heures par jour, toujours debout et obligé de me déplacer sans cesse, je souffrais depuis des années d’irritations au niveau de l’aine qu’aucun médicament de pouvait traiter durablement. M. Le Ribault m’a offert du gel de G5 que j’ai appliqué un jour où je souffrais particulièrement. Une seule application a suffi. Depuis un mois, je n’ai subi aucune rechute, mais je garde précieusement le produit en cas de besoin…

91. Mademoiselle T. R., Jersey (Îles anglo-normandes britanniques), décembre 1997

Depuis 1993, je souffre d’un psoriasis qui affecte mes avant-bras, ma poitrine et mon cou. Après 15 jours d’application de gel de G5, ma peau est redevenue normale.

92. Monsieur C.H., 18 ans, Jersey (Îles anglo-normandes britanniques), décembre 1997

Depuis un mois, j’utilise le G5 pour traiter une douleur au dos qui ne me quittait pas depuis deux ans, et qui a disparu après deux jours de traitement. La semaine dernière, j’ai été agressé en ville par un homme ivre qui m’a mordu profondément à la joue droite (traces de dents sur une surface d’environ 4 centimètres pour 2 millimètres de profondeur). J’ai décidé de faire le soir même un cataplasme de G5, et de recommencer le lendemain. Trois jours plus tard, aucune trace n’était visible.

93. Monsieur D. F., Wimborne (Dorset, Grande-Bretagne)

Soigné depuis 15 ans pour le diabète, j’ai rencontré Le Ribault dans l’hôtel où il séjourne. Après un mois de cure de G5, mes analyses de sang sont redevenues normales.

94. Monsieur J.O., JERSEY (Îles anglo-normandes britanniques), octobre 1997

Je suis carreleur et comme beaucoup de gens qui font mon métier, je souffre en permanence depuis des années d’une tendinite au bras droit qu’aucun médicament ne pouvait guérir. On m’a donné les coordonnées de Monsieur Le Ribault, et je lui ai rendu visite. Il m’a fait un cataplasme de G5 pendant une demi-heure, j’ai senti de la chaleur qui envahissait mon bras, et la douleur a disparu. C’était voici trois mois, et depuis la douleur n’est jamais revenue.

95. Monsieur T.O., chauffeur de bus, Jersey (Îles anglo-normandes britanniques), janvier 1998

La semaine dernière, j’ai été obligé de conduire un vieux bus dépourvu de direction assistée. Une heure plus tard, j’avais si mal au bras droit que je ne pouvais plus le bouger; ça a duré une semaine, et on m’a parlé du G5. J’ai rencontré M. Le Ribault, qui m’a fait une compresse de G5 que j’ai gardée toute la nuit. Le lendemain, je ne ressentais plus aucune douleur et pouvais reprendre mon travail normalement.

96. Madame Maria de Jésus, Saint-Hélier, Jersey (Îles anglo-normandes britanniques), février – avril 1998

Maria de Jésus (33 ans), sportive de haut niveau, s’était inscrite pour courir dans le fameux Marathon des Sables, considérée comme l’épreuve pédestre la plus dure du monde: 220 kilomètres à pied dans le désert en plein jour, avec des températures dépassant parfois les 50 °C, et en portant un sac à dos pesant 15 kg contenant tout le nécessaire pour la durée de la course, soit une semaine.

Un mois avant le départ de la course (prévu le 29 mars 1998), Maria fait une chute grave, entraînant une importante foulure de la cheville, du genou et une luxation de la hanche. L’hôpital l’informe le 28 février qu’elle ne sera pas en état de marcher normalement avant la mi-mai, et qu’elle doit annuler sa participation. Deux jours plus tard, informée par des amis portugais de l’existence du G5, elle rend visite à Le Ribault dans l’hôtel où il réside, marchant très difficilement avec des béquilles. Il est 20 h 45, et il lui applique aussitôt des cataplasmes sur les articulations douloureuses. A 21 h, elle est en état de marcher normalement. Le lendemain, elle recommence l’entraînement.

Le 29 mars, dans le Sahara marocain, 500 concurrents (dont 41 femmes) représentant 30 pays sont sur la ligne de départ. Parmi eux, il y a Maria. A titre de remerciement, elle porte sur son T-Shirt, sa casquette, son short et son sac à dos des bandes de couleur orangée à la gloire du G5, “The Unknown Method to Fast Recovery” 1.

Maria accomplira la course en 37 heures 3 minutes et 35 secondes, et finira en 227ème position au classement général (première des femmes britanniques).

97. Madame D. van K., Coppet (Suisse), novembre 1997

Il y a quatre mois, en août 1997, j’ai eu une importante opération. Je n’arrivais pas à retrouver l’énergie pour me remettre au travail, en plus mon gynécologue a trouvé que j’avais des virus qui peuvent produire à terme le cancer du col de l’utérus et une lésion au col. Sur le conseil du Docteur P., j’ai commencé à prendre le G5. D’abord une cuillère une fois par jour et ensuite entre deux et trois cuillères par jour. Début novembre, mon gynécologue m’a refait un examen pour vérifier l’état de la maladie. Avec surprise, il a constaté qu’il n’y avait plus de trace des virus et que la lésion du col avait complètement disparu. En ce qui concerne mon état général, il s’est beaucoup amélioré, j’ai retrouvé l’énergie pour travailler normalement et je me sens psychologiquement en pleine forme. Je remercie les personnes qui m’ont fait connaître cet extraordinaire produit que je recommande maintenant à ma famille et à mes amis.

98. Monsieur Frank A., Connétable de Grouville, Jersey, Îles anglo-normandes, 18 juin 1998

Cher M. Le Ribault, juste ces quelques lignes pour vous remercier de m’avoir fait connaître le G5. Comme vous vous en souvenez, lorsque je vous ai rencontré en décembre 1997, je souffrais énormément depuis dix-huit ans de douleurs dorsales, contre lesquelles j’avais essayé tous les traitements possibles, à l’exception d’une opération: traitement par la chaleur, massages, exercices en piscine, trois injections épidurales, etc. Depuis sept ans, j’étais obligé d’absorber des comprimés de Voltrol, d’abord à raison de 25 mg par jour pour passer à 100 mg à partir de janvier 1998.

A cette époque, j’ai commencé à utiliser le G5 en arrêtant immédiatement de prendre les comprimés. En une semaine, comme vous me l’aviez dit, j’ai ressenti une sensation de mieux-être, et en trois semaines mes douleurs dorsales avaient presque totalement disparu. Depuis trois mois, j’ai arrêté de prendre régulièrement du G5, mais j’en conserve toujours une bouteille dans ma pharmacie personnelle en cas d’urgence. Je vous remercie encore vivement, et je recommanderai le G5 à toute personne affectée de douleurs d’origines diverses ou de dépression.

99. Monsieur Richard A., Grenadier de la Garde en retraite, Jersey, Îles anglo-normandes, 29 juillet 1998

Le mois dernier, j’ai rencontré purement par hasard M. Loïc Le Ribault, qui a remarqué que je souffrais des articulations au niveau des genoux et des chevilles. Il s’est présenté et m’a dit: «Je peux vous soigner en quelques heures». A mon grand étonnement, après avoir absorbé trois cuillerées à soupe de G5, j’étais totalement soulagé au bout de deux heures, sans aucun effet secondaire, et, pour tout dire, maintenant je me sens un autre homme. J’ai également vu de mes propres yeux des personnes qu’il a traité de nombreux maladies différentes et je leur ai parlé. On ne doit pas laisser cet homme être ignoré; il pourrait faire tant pour les gens de cette île de Jersey qu’on doit lui souhaiter de réussir à créer ici sa clinique.(…). Je n’ai pas la moindre hésitation à le recommander sans aucune réserve.

100. Extraits de l’ouvrage de Martin Walker: Le Ribault’s Resistance

A Jersey, Loïc Le Ribault est devenu une attraction médicale; il a utilisé son produit, désormais baptisé OS5, pour traiter des centaines de patients et même si, pour diverses raisons, certains l’ont déclaré inefficace, ses patients se sont avérés satisfaits dans leur grande majorité. La plupart de ceux qui ont été traités connaissent les plus gros problèmes de Le Ribault, et quelques uns, perturbés par la peur que peut susciter une telle affaire, ne souhaitent pas être interviewés. Beaucoup d’autres, toutefois, le supportent ouvertement dans ses efforts pour rendre accessible l’OS5 au plus grand nombre. (…)

Maria a conseillé à nombre de ses amis d’utiliser l’OS5 et de rencontrer Le Ribault, et déclare que jamais l’un d’entre eux ne s’en est plaint. “Il s’agit d’un traitement sans aucun effet secondaire et il devrait être librement accessible au public. J’espère que Monsieur Le Ribault pourra ouvrir sa clinique dans l’île”.

(…) Depuis son expérience avec l’OS5, Frank A. est devenu le distributeur du produit à Jersey. En tant qu’un des douze Connétables, chefs élus de la police de l’île, A. est responsable de toutes les autorisations et siège également au Parlement. Compte tenu de ces charges, il se sent une certaine responsabilité à l’égard de Le Ribault et de sa thérapie, et considère également qu’il est important de lui trouver un statut légal approprié pour qu’il puisse créer une clinique spécialement conçue pour lui. A. suggère qu’en tant que Connétable, une fonction un peu semblable à celle d’un maire britannique, il doit aider les gens autant que possible. (…) En tant que membre du Parlement, A. est également attentif aux dépenses médicales de l’île et pense que l’OS5 pourrait à l’évidence permettre des économies s’il était utilisé de façon plus importante.

Paul L. est un technicien de 40 ans travaillant à la piscine de l’Hôpital Général de Jersey. Un athlète de triathlon, avare de paroles, qui soigne ses patients dans l’eau. Au début de cette année, il souffrait d’une tendinite chronique du talon d’Achille, douleur durable et handicapante causée par le surentraînement.

La tendinite de L. durait depuis six mois et affectait considérablement tout ce qui concernait la partie course et cyclisme de ses épreuves de triathlon. Un collègue kinésithérapeute de l’hôpital avait essayé de soigner la tendinite à l’aide d’ultra-sons et de frictions (massages du tendon). Au bout de six mois, le problème durait depuis si longtemps que L. commençait à envisager à contrecœur de devoir prendre un long repos.

En février, après avoir rencontré le Ribault, L. appliqua un tissu imbibé d’OS5 à l’arrière du tendon et laissa celui-ci toute la nuit. Auparavant, quand il commençait à courir et à prendre de la vitesse, la douleur était telle qu’il boîtait. Le matin suivant la première application, la douleur avait disparu et le tendon débarrassé des épaisses sérosités qui l’encombraient auparavant. Il continua le traitement pendant deux nuits, soignant cette fois les deux tendons. Maintenant, cinq mois après le traitement, L. semble être complètement guéri de sa tendinite et effectue au triathlon un temps dont il aurait été fier cinq ans plus tôt.

L. n’a pas encore parlé à ses collègues de travail de son automédication, car il serait, dit-il, embarrassé par leur scepticisme.

101. Monsieur A.P.J., Jersey, Îles anglo-normandes, 17 juin 1998

Cher Monsieur, je vous adresse cette lettre pour vous informer des résultats obtenus par mon épouse, R.J., depuis qu’elle utilise le G5 suite à notre rencontre juste avant Pâques.

Comme je vous l’avais expliqué à cette occasion, on a diagnostiqué chez elle une sclérose en plaques en 1990. Depuis lors, son état s’est détérioré à un point tel que maintenant elle n’a pratiquement plus de forces dans les parties supérieures et inférieures du corps, moyennant quoi elle est contrainte de rester dans un fauteuil roulant, et incapable de faire quoi que ce soit par elle-même. Sa maladie a également affecté sa vue, sa voix et sa circulation sanguine.

Depuis notre rencontre avec vous, elle boit quatre cuillères à soupe de G5 par jour. Les résultats sont les suivants.

Un incroyable renforcement de sa voix (…), tel que plusieurs personnes (dont le kinésithérapeute qui la soignait l’année dernière) l’ont constaté. Elle chante même maintenant à l’église! La circulation du sang est meilleure. Avant d’utiliser le G5, les pieds de mon épouse étaient froids comme de la glace, même lorsque le temps était chaud. Même si désormais il lui arrive encore d’avoir les pieds froids, ce phénomène se produit rarement et sa sévérité est très éloignée de ce qu’elle était auparavant.

Au point de vue de la force de ses jambes: avant d’utiliser le G5, se mettre en position debout lui était difficile. Maintenant, c’est beaucoup plus facile. Les infirmiers qui viennent chez nous la lever le matin et la mettre au lit le soir ont tous constaté combien il est plus facile de la manier parce qu’elle a beaucoup de force dans les jambes. Une fois, elle a même réussi à regagner toute seule son fauteuil roulant en s’aidant des poignées fixées au mur. Cet exploit a stupéfait les dames qui se trouvaient avec elle à ce moment-là.

Elle est également moins fatiguée. Une fois par semaine, mon épouse va dans un centre de Gorey avec un groupe de personnes handicapées. Avant d’utiliser le G5, c’était un jour où l’on pouvait être certain que le soir elle serait très fatiguée, à tel point qu’elle s’endormait vers 20H30. Ce n’est plus le cas depuis qu’elle utilise le G5. Ce produit lui a donné davantage d’endurance. Maintenant, elle est encore fatiguée à son retour, mais ça n’a rien à voir avec ce que c’était avant.

Tout ce que je peux dire, c’est que le G5 n’a peut-être pas accompli de miracle, mais qu’il est évident qu’il a un effet positif sur mon épouse. Elle continue à le prendre, et qui sait jusqu’où il nous conduira? Mon épouse est si convaincue des effets bénéfiques du G5 qu’elle l’a recommandé à plusieurs amis et je présume que certains d’entre eux l’utilisent maintenant. Qu’il continue longtemps à soulager ceux qui souffrent et que les médecins eux-mêmes sont incapables de guérir.

102. Monsieur R.V., naturopathe à Genève (Suisse), le 30 juillet 1998

Comme je vous l’ai annoncé par téléphone, je suis guéri de mon allergie au poisson, ce qui est absolument extraordinaire lorsque l’on sait que la moindre ingestion de poisson, de coquillage ou de crustacé me donnait en deux heures à peine une fièvre pouvant aller jusqu’à 40° pendant trois jours, et que les huîtres étaient régurgitées non digérées après plus de quarante-huit heures. J’ai le plaisir d’avoir pu goûter déjà plusieurs sortes de poissons sans être aucunement affecté, ce qui est l’objet de la plus grande surprise pour tous les membres de ma famille.

Silicium Organique G5 – Témoignages – Série 4

Ils utilisent le Silicium Organique G5
et s’en déclarent satisfaits…


Témoignages – Série 4

103 à 132

Témoignages officiels, année 2004

Ces documents étaient destinés à être fournis à la Cour qui jugeait Le Ribault à Bordeaux le 5 février 2004. Selon la loi, chaque attestation devait être accompagnée de la photocopie recto-verso d’une pièce d’identité de l’auteur (certifiée conforme), ainsi que de la mention manuscrite: “Je suis informé que toute fausse déclaration de ma part peut entraîner des sanctions pénales. Fait à… le… pour valoir ce que de droit”.

 
103. David A., 92100 Boulogne-Billancourt

Je témoigne que la consommation depuis le 8 mai 2003 du G5 (…) m’apporte des bienfaits (…): disparition immédiate de tendinite (mai 2003) – Guérison et fonction d’anti-douleur très efficace suite à une brûlure au second degré sur le torse (aspersion d’eau bouillante, octobre 2003) – Rétablissement rapide suite à une chute «dure» au niveau du col du fémur (Nijni-Novgorod, Russie, novembre 2003) – Atténuation de maux de gorge chroniques liés à un terrain allergique (hiver).

 
104. Denise A., 11230 Courtauly

Il y a 14 ans, j’ai eu une tumeur à l’hypophyse: son ablation m’avait laissé une vue et un état général très déficients. J’utilise le G5 (…) depuis 3 ans. (…) Petit à petit, j’ai constaté une reprise de vitalité et surtout, avec étonnement, une amélioration de ma vue dont l’état était considéré comme irréversible. À tel point que maintenant j’écris!

105. Roger B.-L., 93170 Bagnolet

Je suis en ce moment sur le chemin de la guérison (car j’ai déja de très bons résultats) d’une cataracte de l’œil gauche.

106. Marie-Thérese B., 31490 Brax

Disparition d’une dysplasie du col de l’utérus après 3 mois de prise régulière de G5 sous forme liquide, par voie orale et par application vaginale le soir. Cela m’a évité de subir une intervention chirurgicale.

Suite à l’examen d’un frottis cervico-vaginal, le docteur Martine N. (30 août 2002) conclut: infection à HPV avec suspicion de lésion de haut grade. Après utilisation par la patiente de G5 pendant trois mois, le docteur Roger D. conclut (2 avril 2003): absence de cellule suspecte.

Ce traitement était de plus associé à la prise régulière de vitamine C et à quelques séances de psychothérapie.

107. Murielle B., 74340 Samoens

J’ai soigné deux tendinites aux coudes grâce au G5 (tout autre traitement ayant été inefficace).

108. Louis C., 01200 Léaz

Après une utilisation régulière sur moi-même et sur des proches, j’ai soumis chacune des personnes à un questionnaire précis portant sur des observations mesurables (…). Ce questionnaire a été remis à un vingtaine de personnes et la majorité ont observé des améliorations notables. Aucune des personnes interrogées n’a constaté d’effets secondaires indésirables et la faible part de ceux qui n’ont pas senti d’amélioration ne suivait pas les conseils de prescription (respect de la prise à jeun, posologie ou durée de la cure trop limitées).

Les principales améliorations notées concernent des douleurs articulaires, une plus grande autonomie dans les gestes où dans les déplacements, des brûlures, les cicatrisations en général, toutes les affections des muqueuses de la bouche et même les douleurs dentaires.

109. Yvonne C., 46500 Miers

Depuis que je prends le G5 (…), je ne coûte pas un sou à la Sécurité Sociale (voir ma Caisse de Cahors). Pourtant, depuis six ans, je prenais des anxiolitiques (…) dont la dose devait être augmentée; au lieu de cela, le G5 m’a permis de les diminuer progressivement, jusqu’à les arrêter définitivement (…). Ceci n’étant qu’un exemple parmi d’autres.

 
110. Patricia et Jean C., 05000 Gap

Ce traitement (le G5) a permis de faire chuter de façon très conséquente les anticorps qui détruisaient la thyroide (maladie d’Hashimoto): constat par le laboratoire Mérieux de Lyon! Au bout des premières semaines déjà, le métabolisme, qui était totalement au ralenti, est revenu à la norme (forme physique permettant même de reprendre le ski de fond à 1800 mètres d’altitude).

111. Michel C., 85350 Île d’Yeu

Mon gendre, âgé de 44 ans, gravement blessé lors d’une chute en parapente, consomme, depuis septembre 2003, par voie buccale, un verre de G5 matin et soir, par jour. Il souffre de paraparésie à la jambe droite: en début de rééducation intensive, insupportable douleur au genou, due à des ligaments croisés. Après une application par jour de gel de G5 pendant 4 jours, disparition totale de la douleur, qui n’est pas reparue.

Une greffe de peau au mollet gauche, face interne, était très sensible au moindre frottement du pantalon. Après 3 semaines d’application de G5, la douleur a disparu et les poils repoussent sur la greffe. Des verrues, réfractaires aux traitements traditionnels, disparaissent progressivement depuis l’absorption du G5. Un paralytique de 42 ans, couché en permanence, rencontré a l’hôpital, souffrait de violentes douleurs à la colonne vertébrale et d’un abcès de la taille d’un oeuf de caille au sacrum. Depuis le 28 décembre 2003 (ce témoignage a été rédigé le 23 janvier 2004), la pulvérisation de G5 a, déjà, fait diminuer l’abcès de moitié et deux verres de G5 bus par jour ont très atténué les douleurs de la colonne.

Ma petite-fille Laetitia L., 23 ans, souffrait de crampes nocturnes aux mollets, gardant une douleur quasi permanente. Après massage au gel de G5, la douleur persistante a été éliminée en une heure, et les crampes sont devenues très rares. La chienne de 7 ans avait les yeux fortement larmoyants. Une application de G5 liquide a suffi pour guérir l’animal. L’autre chienne de 5 mois avait un œil purulent. Une application de G5 par compresse, 2 jours de suite, et l’œil est redevenu sain.

 
112. Marie-José de B., 06 Cannes

Nous avons testé (le G5) avec des amis. Pour l’un, il lui a fait baisser son taux de cholestérol sans aucune prise de son médicament habituel, et ce en trois mois et sans rien changer a son régime.

Je l’ai conseillé à une personne qui souffrait de la maladie de Crohn, médicalisée avec des produits très invalidants. En six mois, progressivement, elle a supprimé 92% de ses prises de médicaments. Le rétablissement est confirmé depuis plus de 8 mois, et elle a même pu stopper le G5.

Quelqu’un de ma famille a pu supprimer totalement ses médicaments contre le diabète, sans changer son alimentation, mais en prenant très régulièrement 2 bouchons de G5 par jour. Elle a perdu du poids, retrouvé un dynamisme perdu depuis des années et son taux de sucre est stable.

113. Jean D., 33470 Le Teich (s’adressant à la justice suisse pour tenter d’éviter l’extradition de Le Ribault)

Des témoignages, Loïc Le Ribault en a des milliers, et sous toutes les latitudes. Mon fils, directeur d’hôpital, l’utilise pour lui-même et sa famille, mais hélas pas encore pour les malades, à son grand regret. Et je voudrais bien que mes enfants, petits-enfants et arrière petits-enfants profitent de cette découverte sensationnelle.

 

114. Madeleine D. N., 75018 Paris

Oui, le G5 m’a permis de marcher sans canne, et je dormais enfin sans souffrir de mes hanches, mes genoux remplis d’arthrite. Le gel aussi m’a grandement soulagée.

J’avais découvert M. le Ribault par l’aventure du Carme qui m’avait passionnée, et puis le G5 m’a été offert! Du coup, j’en ai commandé, je l’ai recommandé à des personnes qui me voyaient sans mes cannes anglaises.

 

115. Bélaid D., 62710 Courrières

En 1998, j’apprends que j’ai un nodule sur le lobe gauche de la thyroide. Je prends rendez-vous avec un endocrinologue de Lille, M. C. Celui-ci me confirme que c’est une hématocele thyroidienne. (…) Il m’annonce que si le nodule ne se résorbe pas de lui-même, il faudra envisager une lobectomie. Les mois passent et l’hématocele est toujours là. Mon état de santé n’est pas au mieux; fatigue, irritabilité et insomnie altèrent considérablement ma qualité de vie.

En août 2001, on me fait connaître le G5, j’en prends aussi bien en interne qu’en externe. Je certifie sur l’honneur qu’en un mois l’hématocele s’est résorbée. En trois mois, mon état de santé s’est nettement amélioré. Je remercie M. Le Ribault, son produit m’a permis d’éviter une inutile mutilation. Je continue toujours à en prendre pour entretenir ma santé, à vrai dire je ne peux plus m’en passer.

 
116. Docteur Marc E.. 69006 Lyon

Invalide à 80% suite à plusieurs accidents ayant entraîné des lésions de la colonne vertébrale avec nécessité de chirurgie cervicale, je me suis retrouvé en impotence complète du fait de douleurs intenses, traitées un moment à la morphine. Le G5 fut une étape importante dans mon amélioration et m’a libéré de la prise continue de morphine. Je continue à le prendre et il m’apporte une amélioration et une aide constante.

(Signé) Marc E., médecin praticien pendant 25 ans.

 
117. Marguerite F., 78450 Villepreux

L’an dernier, je souffrais terriblement des genoux, au point de ne pouvoir m’accroupir. J’avais aussi mal en marchant. A 54 ans, je pensais avec désespoir que j’allais être vieille avant l’âge. Ayant lu un article sur le G5, (…) j’en ai commandé 4 flacons d’un litre. Je me souviens très bien du jour où je les ai reçus: c’était un samedi matin. J’en ai pris aussitôt (3 grandes cuillerées à soupe dans la journée). Le dimanche matin, je me suis levée et j’ai eu la surprise immense de constater que je ne souffrais plus. J’ai continué la cure et, depuis un an et demi, la douleur n’est pas revenue. (…)

 
118. Pierrette J., 05000 Gap

Je suis atteinte d’une sclérodermie systémique. C’est une maladie orpheline, donc aucun traitement n’existe dans la médecine traditionnelle. Les traitements de confort que j’avais été amenée à prendre avaient sur moi des effets secondaires très invalidants. Une semaine après avoir pris le G5, mon kiné, puis mon orthophoniste, ont remarqué que ma peau était plus souple, mon visage plus détendu (ils n’étaient pas au courant de ma démarche). (…) Je soigne mes inflammations au bout des doigts avec le G5 sans utiliser ni cortisone ni antibiotiques. Ce produit m’apporte un véritable confort sans effet secondaire.

 
119. Luce K., 93160 Noisy-le-Grand

Nous avons toujours un pot de G5 à proximité, soit au rez-de-chaussée soit au premier étage, car il nous arrive la nuit aussi d’en appliquer lors de crampes ou démangeaisons, et nous avons toujours peur d’en manquer.

 
120. Joël L., 29470 Plougastel-Daoulas

J’ai eu maintes fois l’occasion d’utiliser le G5 de Loïc le Ribault et j’ai toujours apprécié son efficacité remarquable.

Il y a quelques années, j’ai souffert de problèmes de névralgies faciale. Le neurologue que j’avais consulté à l’époque – le docteur M. (Brest) – avait mis en évidence (par IRM) un problème situé au niveau du nerf glosso-pharyngien, ce qui, en période de crise, se manifestait par de violentes décharges de type électrique. Bilan: je ne parlais plus, je mangeais difficilement avec en permanence la peur au ventre. Au tout début, les médecins ont dit qu’il s’agissait d’une otite et m’ont donc soigné sans succès pour cette affection. Un médecin ORL m’avait même proposé de procéder à l’ablation de mes amygdales, ce que mon médecin traitant avait jugé inopportun. Ensuite, ce fut le parcours du combattant jusqu’au jour où, de guerre lasse, j’ai entrepris d’essayer le G5 (en gel et en liquide) qu’un ami m’avait conseillé et je dois avouer que le résultat fut spectaculaire, car la tension résiduelle qui subsistait au niveau de l’oreille gauche s’est alors rapidement estompée. Ce fut tout simplement merveilleux et inespéré. Des personnes à qui j’ai, à mon tour, parlé du G5 et qui l’ont essayé, en sont également très satisfaites. Elles l’ont testé avec succès dans des affections aussi variées que brûlures, herpès, eczéma, psoriasis, tendinite, arthrose, etc.

Pour ma part, je n’ai plus jamais eu de crise d’herpès, alors qu’auparavant j’en faisais très régulièrement, à l’occasion de chaque fatigue. C’est pour le moins curieux, et il est fortement probable qu’une corrélation forte existe entre la prise de G5 et la disparition de ces crises autrefois récurrentes.

Très récemment, un ami qui ne savait plus à quel saint se vouer pour des problèmes de dos a vu sa douleur s’estomper très rapidement et a éprouvé un soulagement immense grâce à quelques applications de G5 sous forme de gel. De même, un collègue qui pratique la course (à pied et à vélo) m’a indiqué qu’il avait arrêté net une tendiníte au genou qui l’empêchait de marcher et a fortiori de courir. Pour cela, il a gardé une compresse pendant 3 jours, le 4ème jour il a pu courir sans que la douleur réapparaisse, ce qui est proprement fantastique.

Cet été, m’étant brûlé (…) avec des braises du barbecue, j’ai eu l’occasion de tester son efficacité: après une vaporisation de G5 (liquide), la douleur a disparu, de façon quasi instantanée.

 
121. Hubert L., 80090 Amiens

J’ai 35 ans et j’ai souffert pendant plus de 6 ans de fissures anales. J’ai d’abord consulté deux médecins puis un gastroentérologue, mais les traitements préconisés n’ont donné aucun résultat. La prise de G5 par voie orale (1 cuillère à soupe le matin à jeun) en septembre 2003 sur une durée d’un mois a permis de résoudre totalement mon problème.

 
122. Christine M., 31 Pibrac

Ma fille souffre de polyarthrite, une maladie très invalidante et catastrophique pour une mère de trois enfants. Elle ne pouvait plus tenír une aiguille. Depuis qu’elle prend du G5, elle a retrouvé la mobilité de ses mains

 
123. Lucette M.. 53160 Ize

Mon mari était atteint depuis 5 années d’un eczéma aux jambes, aux mains et aux bras; après 3 semaines d’application de G5 gel, l’eczéma a complètement disparu. Il avait rencontré auparavant tous les spécialistes et dermatologues de la région de Laval à Angers. La pommade à la cortisone (souvent proposée) permettait une légère amélioration, mais dès que les applications cessaient, les surfaces d’eczéma augmentaient et l’inflammation redoublait de virulence. (…)

Le G5 (…) a été pour mon mari la délivrance, après des jours et des jours de démangeaisons où il se levait pour prendre des douches afin de réduire momentanément l’inflammationPourquoi s’attaque-t-on à cet inventeur, chercheur, qui a été pour moi le seul capable de stopper la maladie que mon mari avait contractée (de 1997 a 2002)? [Bonne question!]

D’autre part, ma mère, Madame Andrée S., demeurant…, âgée de 81 ans, hospitalisée au C.H.R de Laval pour une méningite à pneumocoque, a contracté une septicémie compliquée d’une endocardite en mars 2003. (Elle a été) transférée de Laval au CHU d’Angers, puis dialysée suite à l’arrêt du fonctionnement de ses reins (dû aux antibiotiques). Bref, au seuil de la mort. Le 8 mai 2003, à Angers, elle commence la cure intensive de G5. Sa santé s’est rapidement améliorée. Elle est sortie de l’hôpital le 30 juin 2003. Aujourd’hui, ce n’est plus qu’un mauvais souvenir, et les médecins ne parlent plus d’intervention cardiaque (ils ne savent pas qu’elle a pris du G5, ils pensent qu’elle est «miraculée»). Elle est de nouveau chez elle, et en bonne santé.

 
124. Isabelle M., 77600 Bussy-Saint-Georges

Je l’ai [le G5] même essayé sur mon chien. Parfois, il se gratte jusqu’au sang. Je lui vaporise du G5 et en une journée à peine les traces disparaissent. Malheureusement, il ne peut pas témoigner. [Mais, heureusement, sa maîtresse, si!]

 
125. Véronique M., 13290 Les Milles

J’ai commencé à prendre la silice organique pour soigner une kératite conjonctivite virale. Je prenais auparavant des corticoïdes. En 48 heures, grâce au G5, tout a disparu: rougeurs intenses et douloureuses, troubles de la vision. Et je n’ai plus jamais eu de kératite.

Deux ans plus tard, en juillet 2001, j’ai été opérée d’une tumeur cancéreuse, colon, intestin grêle avec métastases ganglionnaires (83 cms).

J’ai refusé un traitement lourd de chimiothérapie. Je pesais 38 kilos et, avant intervention, l’hémoglobine était à 5, le fer sérique à 1, la serritine à 2, d’où nécessité de transfusions (4 poches) et morphine.

En rentrant à la maison, j’ai commencé une cure de G5. J’ai immédiatement ressenti une accélération de mon énergie vitale. Mon hémoglobine est remontée très vite pour arriver à 15 (!) six mois plus tard, puis à 16 (!).

Nous sommes en décembre 2003. Échographie, marqueurs, analyses de sang sont au beau fixe. La cicatrisation a été rapide, solide, sans risque d’éventration. Je continue à prendre du G5 en cure. J’applique aussi du gel de silice sur ma cicatrice (tout le long du torse et du ventre).

 
126. René 0., 95120 Ermont

Depuis des décennies, j’étais affligé d’une dermatose (…) devenue chronique, malgré une infinité de traitements internes, externes, cures thermales, etc. Je peux dire avoir coûté très cher à la Sécurité Sociale. Ca passera avec l’âge, me disait-on. J’ai consulté dans les hôpitaux, les Centres, des spécialistes en dermatologie, endocrinologie. «Il y a pire que vous!»

Jusqu’au jour où j’ai été amené à connaître le G5. Cela va faire maintenant deux mois que j’utilise ce produit, et je n’ai pratiquement plus d’éruptions.

 
127. Marie P.-D., 26110 Rochebrune

(J’ai été conduite à faire) un essai de G5, suite à la constatation de son effet (…) concernant une personne de mon entourage qui, condamnée par le corps médical à la station permanente horizontale, a retrouvé d’abord la station assise et peut maintenant circuler seule debout avec deux cannes, et ce après une consommation régulière de G5.

 
128. André P., 83390 Puget-Ville

J’ai obtenu de bons résultats (avec le G5), particulièrement en ce qui concerne des douleurs articulaires aux genoux et épaules en utilisation interne (liquide) et externe (gel), ainsi que pour de nombreuses autres affections: fatigue générale, asthénie, eczéma, hépatite C et cataracte (stabilisation).


129. Édith R., 34000 Montpellier

Lorsque j’ai eu l’occasion de me procurer du G5, j’ai d’abord pratiqué des tests sur des animaux. J’ai donné une cuillère de G5 tous les matins à de très vieux chiens qui ont retrouvé un regain de vie avec repousse des poils. Mon autre chien traînait une conjonctivite depuis plusieurs mois, j’avais acheté différents collyres sans résultat. Avec le G5, l’œil a été guéri en trois jours. Moi-même, j’ai pris du G5; je n’ai plus mal aux pieds, aux genoux: je peux à nouveau danser, j’ai retrouvé le sommeil, ma vue s’est améliorée; une vaporisation de G5 sur mon visage tous les matins: ma peau ne vieillit pas, certaines rides ont disparu. A 68 ans, j’ai une forme exceptionnelle. Les taches brunes sur mes mains sont parties.

Je guéris des parents, des amis; mon gendre n’a plus d’herpès. Mon petit-fils était allergique aux piqûres de guêpes: avec son petit vaporisateur, la douleur disparaît et il n’a plus peur. J’ai emmené du G5 à Madagascar dans un bidonville. Que de douleurs soulagées (les yeux, les maladies de peau, les brûlures, etc.)!


130. Solange S.-A., 75017 Paris

En septembre 2002, ma mère, (…) 88 ans, grande fumeuse en état de carence alimentaire, marchait avec difficulté, ne se déplaçait plus que pour aller à la salle de bains ou aux toilettes. Elle semblait ne plus voir clair, lisant ses livres à l’envers. Un accident vasculaire à l’œil gauche la priva définitivement de la vue avec cet œil. Elle fit une première chute et je dus appeler les pompiers pour la remettre dans son lit. Le 9 octobre, elle refit une chute, se fracturant le nez et ne pouvant plus se relever. Le médecin des pompiers diagnostiqua une arthérite. Le 11 octobre, le docteur G. C., son médecin traitant, posa le diagnostic d’artériopathie périphérique. (…) A dater de ce jour, elle ne put plus se déplacer et souffrait énormément. Le 16 octobre, on mit en place un lit médicalisé.

Le 6 novembre, on fit un Écho-Dopler qui confirma le diagnostic et permit de voir qu’une des artères était totalement bouchée au niveau iliaque, l’autre jambe au niveau du genou. Un escarre se créa sous le mollet droit au-dessus du talon. Les soins commencèrent le 22 novembre, en même temps que la morphine. (…) Le risque de gangrène était important et imminent. (…) Le docteur C. m’expliqua que nous nous acheminions vers une fin rapide et difficile, mais qu’il ne fallait pas laisser la gangrène s’installer, et donc prévoir l’amputation ou les amputations!

Sur ses conseils, un rendez-vous à la clinique B. (…) fut pris pour une consultation le 17 décembre avec le docteur J.M. F., chirurgien vasculaire. Ce médecin précisa effectivement le danger imminent de gangrène, mais étant opposé aux amputations, il décida de faire un double pontage illiaque qui, sans la guérir, permettrait du moins à ma mère de mourir dignement «avec ses jambes», souhait qu’elle avait elle-même formulé. L’opération fut décidée pour le 8 janvier 2003, car elle voulait passer «ses dernières fêtes de famille avec ses enfants». Nous avions conscience que nous approchions de la fin. Ma mère entra à la clinique B. le 7 janvier. L’opération réussit et le docteur F. était optimiste. Sa sortie était prévue pour le 21 janvier, et l’ordonnance de la clinique n’avait prévu que les soins infirmiers postopératoires, ne prenant pas en compte la douleur. Le 20 janvier, je passai voir le docteur C. à son cabinet pour avoir une ordonnance de morphine, car ma mère souffrait encore beaucoup (…).

Le mardi 21 janvier, vers 15 h, je la ramenai à domicile où le service d’hospitalisation à domicile prenait effet le lendemain matin. Malheureusement, prise d’un moment d’égarement, pendant que je remplissais les papiers avec les ambulanciers, elle arracha le pansement gauche ainsi que les fils de sutures, ouvrant une plaie triangulaire de 4 x 4 x 4 cm. Je demandai immédiatement à la clinique la possibilité de la ramener, mais ils refusèrent. Le docteur C. est venu le vendredi 24 janvier, constater son état et compléter le protocole infirmier. Mais en quelques jours la plaie s’était infectée et son retour à la clinique fut décidé pour le 30 janvier.

Elle est restée à la clinique du 30 janvier au 11 février. En effet, ce jour-là, des travaux dans le service ont provoqué le déplacement des malades dans différents services et au mieux (ou au pire) à leur domicile. Il a donc fallu que je ramène ma mère en urgence. A ma grande surprise, la plaie n’avait pas été recousue. Il y avait juste eu un traitement antibiotique. La plaie était saine. A la clinique, les infirmières m’avaient fait comprendre que la situation était sans espoir. Je n’avais pas pu revoir le docteur F. et je n’étais pas contente de cette situation (…).

Comme le docteur C. me l’a fait constater avec l’infirmière comme témoin, lors de sa visite le 14 février: on voyait le pontage au fond de la plaie! Il était évident qu’elle ne cicatriserait plus, vu son état. (…) J’ai donc appelé un ami médecin, ne sachant plus que faire (…). Il m’a conseillé d’utiliser le G5, (…) que j’utilisais pour moi et qui avait guéri mon œdème des jambes en huit jours alors que rien n’y faisait. (…) Le dimanche 16 février, je suis restée dans la chambre (…). En regardant l’infirmière faire les soins, je repérai qu’elle nettoyait la plaie comme l’escarre avec du sérum physiologique. Celui-ci était en flacon d’un demi-litre. Le flacon était terminé et le second venait d’être ouvert. J’ai donc vidé la moitié du flacon et je l’ai rempli avec le silicium. En plus, je mis un demi verre de silicium organique dans chaque demi-litre de jus d’orange allongé d’eau filtrée (…), seule boisson acceptée par ma mère qui refuse tout autre liquide. Par ce subterfuge, dès le lundi matin 17 février, des soins que j’espérais plus efficaces avec le G5 ont donc commencé.

Le 21 février, lors de la visite du médecin traitant, nous constations avec l’infirmière que «la plaie bourgeonnait du fond»: une mousse rose couvrait le pontage que l’on ne voyait plus. Le médecin est venu ensuite chaque semaine, le vendredi. Très vite, il a constaté que l’escarre commençait lui aussi à se «remplir», et a donné l’ordre de ne plus le creuser en coupant les bords qui jusqu’a présent s’étaient nécrosés.

Le 14 mars la plaie était cicatrisée, la croûte se formait, l’escarre faisant de même. A ce moment-la, j’ai pu descendre les doses de morphine jusqu’à zéro. Le 18 avril, tout était cicatrisé, la peau était reformée et ma mère ne souffrait plus du tout. Le médecin s’est interrogé sur cette incroyable guérison (dans toute sa carrière, il n’avait jamais vu ca : «ça n’aurait jamais dû arriver… Qu’est-ce qui se passe, ici?»). A l’époque, je n’ai pas voulu répondre à ses interrogations, car je savais que le chercheur qui avait mis au point ce fabuleux produit était poursuivi par l’ordre des médecins et des pharmaciens. Aujourd’hui, il se retrouve en prison, ce qui justifie mon témoignage. (…)

L’infirmière m’a dit qu’elle avait compris qu’il se passait quelque chose et m’a demandé «ce que je faisais en plus de ses soins». (…) Et je lui ai expliqué. L’association des soins infirmiers m’a aussi demandé des explications, car tous ceux qui ont approché ma mère savent qu’elle devrait être décédée. Alors, j’ai continué le G5 dans le jus d’orange: deux cuillères à soupe par litre. J’ai constaté que la vision de l’œil droit était revenue. Il faut noter qu’à la clinique, sur les conseils de mon frère, j’avais demandé que l’on fasse un examen des yeux. Cela nous avait été refusé car «trop compliqué» à mettre en œuvre…(…) J’ai aussi pu constater que lors de la canicule de l’été, elle a traversé cette période qui aurait dû lui être fatale (je n’avais même pas de ventilateur à la maison), et que contrairement à ce que l’on m’avait dit, il n’y a pas eu de suite fâcheuse…

Maintenant, elle peut s’acheminer doucement vers la fin de sa vie, une fin de vie naturelle. (…) Étant de famille de médecins, je ne peux que souhaiter que les ordres professionnels ouvrent enfin les yeux et fassent les essais cliniques nécessaires, et que la justice rende une justice vraie, car il s’agit d’un problème de santé publique. Quoiqu’il en soit, je me dois de remercier Monsieur Loïc Le Ribault d’avoir poursuivi la mise au point du silicium organique qui a sauvé ma mère et qui améliore considérablement ma santé au quotidien.


131. Ange S., 69001 Lyon

En 1990, une analyse de sang a décelé un taux anormal de plaquettes (20.000 au lieu de 150.000) et les divers traitements proposés n’ont eu aucun effet: au bout de six mois de traitement avec le G5, mes plaquettes sont remontées a 80.000. Un an plus tard, le taux est redevenu normal: 150.000 plaquettes.


132. Laurent S., 81100 Castres

J’utilise le G5 depuis juillet 2001. Je suis malade depuis 1993, mon état s’est aggravé sérieusement à partir de 1995. Je souffre de fatigue intense, de douleurs osseuses et musculaires, etc., et, le plus grave de tout: d’oppression respiratoire continue qui me vaut d’être handicapé à 50 %.

Avant d’utiliser le G5, mon état ne cessait de se détériorer. J’ai consulté de nombreux spécialistes en médecine, mais aucun n’a pu m’aider. Depuis que j’utilise le G5, mon état s’améliore. II est évident pour moi que le G5 est responsable de l’amélioration lente mais progressive de ma santé, car il n’y a d’amélioration que si je consomme le produit. Grâce à lui, tous mes symptômes ont diminué. Bien que ce soit long, j’ai espoir de voir la fin de tout cela, alors qu’auparavant je me voyais fini.

Si c’est long, c’est parce que je ne peux consommer qu’une cuillère à la fois, et pas tous les jours, car la prise de G5 augmente temporairement ma fatigue, et des quantités supérieures me font tomber de sommeil. Malgré tout, peu à peu, le G5 m’apporte un regain général d’énergie et les quantités pouvant être ingérées sans fatigue progressent lentement. J’ai appris par expérience l’utilité des sels minéraux et oligoéléments pour me soigner. Ils m’apportent plus de résistance physique et morale. Mais c’est à partir de la consommation du G5 que les suppléments que je prenais ont pu être diminués, comme fixés dans l’organisme par le G5, du moins c’est ce que je pense. Je ne peux me passer du G5 sans lequel mon état cesserait de s’améliorer. M’empêcher de consommer le G5 me condamnerait à rester handicapé, à ne plus voir la fin de mes souffrances. Je considérerais un tel acte comme un crime!

D’autres formules onéreuses et inefficaces de Silanol sont en vente libre et ne sont nullement inquiétées par la justice; il n’y a donc pas de raison que le Silanol G5 reçoive un traitement différent.

En savoir plus sur le Silicium Organique avec le livre:

 

Le Silicium Organique – Ouvrage de Robert Saubens Le Loch

Source: http://siliciumorganique.blogspot.com