Rôle des Enzymes et Régulateur Enzymatique

Le Rôle des Enzymes

 


Qu’est­-ce que les enzymes?

Ce sont de grosses molécules (la plupart du temps des protéines) qui servent à catalyser toutes les réactions du métabolisme. Sans elles la vie serait, tout simplement, impossible:

Une réaction qui s’effectue en 1 seconde en présence d’enzymes mettrait sans celle-­ci … 12 jours!

Ainsi l’on peut très bien avoir tous les éléments nécessaires au bon fonctionnement de son corps, sans aucune carence, et pourtant être malade, voire très malade, car tous les processus de fonctionnement du corps sont trop lents, trop restreints, du fait d’un manque d’enzymes.

Elles sont l’expression de la force vitale d’un individu.

Toutes les autres substances sont les matériaux et les outils servant à la construction et à l’entretien du corps, les enzymes en sont les ouvriers.

Imaginez un chantier où il y aurait les meilleurs matériaux et les meilleurs outils … mais aucun ouvrier!

Il existe un grand nombre d’enzymes spécifiques (plusieurs milliers) qui jouent un rôle important dans les processus physiologiques (digestion, conduction nerveuse, synthèse d’hormones, etc.).

On peut les classer en six catégories suivant la réaction biochimique qu’elles réalisent:

–  Les oxydoréductases, qui catalysent les réaction d’oxydoréduction (oxydation ou réduction d’une molécule).

–  Les transférases, qui transfèrent une partie du contenu d’une molécule “donneuse” à une molécule “réceptrice”.

–  Les hydrolases, qui sont capable de casser les liaisons chimiques entre les atomes.

–  Les lysases, agissent comme les hydrolases, mais sont en plus capable de simultanément former de nouvelles liaisons.

–  Les isomérases, capables de changer la structure des molécules, mais sans en changer leur “identité”.

–  Les ligases, capables de former une nouvelle liaison entre deux atomes ou molécules.

Un exemple avec les enzymes digestives:

Leur rôle est de casser les molécules complexes, pour permettre leur absorption (au niveau du tractus digestif), et leur assimilation (au niveau de la cellule). Elles font donc essentiellement partie des hydrolases. Elle sont réparties en trois grandes catégories, clivant trois types de nutriments (protéines, glucides, lipides).

L’on a, entre autres:

– Une enzyme digestive de la salive, l'”alpha­amylase”, qui digère l’amidon et le clive en maltose et dextrine.

– L’amylase du pancréas, quant elle, clive l’amidon des végétaux en maltose.

– La pepsine, de l’estomac, clive les protéines en peptides.

– La lypase gastrique clive les triglycérides (l’une des deux principales formes de lipides présents dans l’organisme, l’autre étant le cholestérol) en acides gras et glycérol.

Ainsi, chaque vitamine, minéral, oligo­élément, etc, est non seulement pris en charge avec une extrême rapidité dès l’instant où la présence d’enzymes est suffisante, mais l’enzyme va le conduire à l’endroit précis où il sera nécessaire et va être capable de susciter la réaction chimique appropriée pour que le nutriment soit biodisponible!

Sans cela aucune assimilation n’est possible, c’est ­à ­dire, plus simplement: aucune vie.

Pour une image simple de leur action, on peut aussi les distinguer en deux groupes, suivant leur zone d’action:

– Les endo-enzymes, qui sont les enzymes intracellulaires, secrétées par les cellules à l’intérieur de celles ­ci, afin de participer en interne à leur propre métabolisme.

– Les exo-enzymes, qui sont aussi sécrétées par les cellules, mais à l’extérieur de celles-­ci, dont le rôle est la transformation et la mise à disposition des molécules dont la cellule à besoin.

L’importance des enzymes

L’encyclopédie médicale définit la “vie” comme étant l’interaction régulée de tous les processus accomplis par les enzymes dans le corps humain.

Notre corps accomplit quotidiennement 200 millions de processus chimiques.

Il est composé d’environ 60.000 milliards de cellules, qui chacune accomplissent, à chaque secondes, plusieurs milliers de réactions chimiques… grâce aux enzymes.

Chaque processus est commandé et régulé par une enzyme fabriquée à cet effet par le corps, ou apportée de l’extérieur.

Ainsi, à la naissance et lors de l’allaitement, chaque nourrisson emmagasine des stocks importants d’enzymes. Pour rester en bonne santé, l’être humain doit entretenir ce stock, car elles ont une durée de vie plus ou moins limitée, et le corps n’en synthétise pas suffisamment pour satisfaire à ses besoins.

C’est par une alimentation naturelle, avec un apport suffisant en cru qu’il y arrivera. En effet, les enzymes sont très sensibles à la chaleur et la cuisson, même modéré, les tue.

Le Docteur Howell a montré que le système digestif est obligé d’emprunter les enzymes du métabolisme général pour parvenir à digérer les aliments cuits. Le corps est donc privé d’une partie des enzymes dont il aurait besoin pour, entre autres, sa détoxication, sa régénération et le fonctionnement de son système immunitaire.

Il a aussi mis en évidence un lien entre l’appauvrissement enzymatique de l’alimentation industrielle et les maladies chroniques, ainsi qu’avec l’augmentation de l’activité bactérienne facilitant l’infection (les globules blancs étant porteurs de l’activité et la diversité enzymatique, notamment du pancréas), etc.

Les statistiques montrent que la durée et la qualité de vie d’un individu sont proportionnelles et corrélatives au bon fonctionnement de son système enzymatique.


Une
saisissante expérience:

Des chercheurs ont réussi à prolonger la durée de vie de vers en contrant l’action des radicaux libres (qui oxydent les cellules). L’on connaît maintenant le lien entre radicaux libres et vieillissement. Cette étude, publiée dans la revue Science, montre qu’il est possible de lutter contre ce vieillissement et de prolonger l’espérance de vie avec des enzymes. Les chercheurs de l’Institut Buck, aux Etats­-Unis, ont mené leurs expériences sur le ver “C.elegans”, qui a environ 40% de gènes en commun avec l’homme. Certains vers ont été traités avec une thérapie imitant la fonction d’une enzyme naturelle. L’organisme se protège, en effet, des radicaux libres en produisant une enzyme qui les transforment en molécules d’hydrogène, inoffensives pour le corps humain. Le traitement a permis aux vers de gagner 50% de durée de vie, tout en restant en bonne santé, alors que leurs congénères montraient des signes de vieillissement.

Chez l’être humain, il a été mis en évidence, dans la maladie d’Alzheimer, la faible activité d’une enzyme spécifiquement chargée de contrer les effets des radicaux libres.

Ainsi, si une carence en un seul enzyme peut avoir de si graves conséquences, l’on comprend qu’une carence générale, même relativement faible, entraîne un contingent d’effet délétères.

D’après des études internationales, plus de 80 % de la population souffre d’une carence en enzymes.

Fatigue, difficultés de concentration, fragilité face aux infections, problèmes de peau, manque de vitalité et problèmes de digestion en sont les premiers symptômes. L’âge n’étant pas en cela une “excuse”, car, avec un système enzymatique opérationnel, il est tout à fait possible de conserver sa vitalité jusqu’à un âge très avancé.

Un système enzymatique pleinement actif et sain est le gage d’une bonne santé car tous les processus vitaux sont régulés par des enzymes:

­Neutralisation et évacuation de toutes les toxines et radicaux libres. Elimination des dépôts artérioscléreux (cholestérol).

­Fluidification du sang (prévention des thromboses).

­Déblocage des voies nerveuses.

­Cicatrisation et atténuation des douleurs.

­Equilibre acido­basique.

­Equilibre et confort digestif.

­Régulation du système hormonal.

­Prévention des défaillances du système immunitaire, source de maladies auto-­immunes (douleurs articulaires et arthrose, psoriasis, sclérose en plaques).

Soutien la guérison en cas d’infections (bactéries, virus).

­Détection et destruction de cellules dégénérées (tumeurs).

­Etc., etc.

De réputés médecins s’accordent à dire maintenant que la cause principale de la plupart des maladies et du processus de vieillissement prématuré est à chercher dans une carence des enzymes fabriquées par notre corps et, qui en découle, dans un déficit énergétique de nos cellules.

Citons l’expérience de John Beard:

Au début du 20ème siècle, le docteur John Beard, embryologue écossais, a filtré le liquide pancréatique de jeunes animaux fraîchement abattus, pour en récupérer le contenu enzymatique actif. Ses observation l’amenèrent à penser que les jeunes animaux doivent posséder des concentration d’enzymes plus élevées et plus puissantes, car ils avaient besoin de plus d’énergie pour se développer. Beard injecta cette concentration d’enzymes dans les veines, les muscles fessiers, et parfois directement dans les sites tumoraux de patients atteint du cancer. Il observa la rapide diminution des masses tumorales et l’inhibition du développement des cellules cancéreuses.

Où trouver des enzymes?

Ils sont présents dans les aliments crus. Ils sont détruits par la cuisson, même très légère (à 47° toutes les enzymes sont détruites en 15 minutes).

Evidemment chauffer plus fort détruit beaucoup plus vite. La technologie actuelle de “pasteurisation flash” utilisée pour le lait et les jus de fruit en est le meilleur exemple.

Il est donc absolument nécessaire de manger des légumes crus, et des fruits (aqueux, secs, amylacés, oléagineux). Seuls les fruits secs bio sont valables dans ce cas, car séchés au Soleil ou à faible chaleur.


Les enzymes des aliments crus sont nécessaires à leur propre digestion.

Ainsi l’ensemble du bol alimentaire va pouvoir être en très grande partie digéré par les propres enzymes de l’alimentation.

Attention aux légumineuses, fruits à coque et graines, car ils contiennent des inhibiteurs enzymatiques, qui empêchent ces aliments de pousser spontanément et empêchent aussi les propres enzymes du corps d’agir dessus. C’est pour cela qu’ils sont si difficiles à digérer et que nous nous sentons fatigués après les avoir consommés. Leur digestion exige beaucoup d’énergie de l’organisme. La cuisson aura l’avantage de détruire les inhibiteurs enzymatiques, mais malheureusement aussi les enzymes. La solution est de faire tremper ces aliments pendant une bonne demi­-journée; cela détruit les inhibiteurs tout en activant les enzymes! Une fois activés les enzymes vont commencer à décomposer les protéines, les graisses et les glucides de la légumineuse, du fruit à coque ou de la graine, offrant à l’organisme un aliment prédigéré. L’on peut, par exemple, observer les écureuils enterrer les noisettes avant de les manger, pour leur laisser le temps, au contact de l’humidité, d’augmenter leur potentiel enzymatique. Fûtés, les écureuils!

Avec l’alimentation moderne, essentiellement cuite, les enzymes propres au corps sont monopolisées pour la digestion. Ils accomplissent donc bien plus difficilement leurs tâches habituelles; ou alors apparaît le phénomène, maintenant très courant, d’hypertrophie d’organes.

Lorsque le rapport des aliments cuits est trop important dans l’alimentation, le système immunitaire et certains organes fournissent la dose enzymatique manquante. Cela les fatigue, et à moyen et long terme, conduit inévitablement à la maladie.

Selon le docteur Howell, le fait que le pancréas soit souvent 2 à 3 fois plus gros chez l’homme que chez les autres mammifères s’explique par une consommation excessive d’aliments cuisinés:

Lorsque les enzymes sont absentes de l’estomac, les aliments passent dans le duodénum, la partie supérieure de l’intestin grêle. Là, tout ce qui n’a pas déjà pu être digéré le sera par les enzymes pancréatiques. Le pancréas sera donc bien trop sollicité pour une tâche spécifique, au détriment d’autres, notamment la production d’insuline, ce qui contribue aussi à l’explosion moderne du diabète.

Un autre problème est que l’appauvrissement des cultures à considérablement réduit la densité enzymatique dans l’alimentation moderne.

Le sol contient un grand nombre d’enzymes, en raison de l’abondance et de la diversité des micro­-organismes, qui en sont la principale source. Mais les sols appauvris des cultures intensives modernes réduisent drastiquement la quantité d’enzymes présents dans les aliments, même crus.

Les travaux du Dr. Loomis l’amènent à une conclusion essentielle:

Une meilleure digestion, grâce à des enzymes végétales, devrait être le point de départ de tout programme de santé.

Lorsque le corps peut avoir ce dont il a besoin, au moment où il en a besoin, il fera des merveilles, et même des miracles.

Comme le dit le Dr.Howell: «Sans les enzymes, toute vie serait impossible».

Le régulateur enzymatique

Comme pour les vitamines, minéraux, et autres nutriments essentiels, il existe des enzymes disponibles sous forme de compléments alimentaires.

Seulement Les préparations enzymatiques, que l’on trouve habituellement sur le marché, ont une efficacité limitée, pour différentes raisons:

1.  Les comprimés contiennent des enzymes provenant de fruits qui ne sont pas d‘origine européenne (papaïne de la papaye et bromélaïne de l’ananas), et qui de ce fait ne sont pas forcément adaptés aux Européens.

2.  Les préparations utilisées jusqu’à présent ne contiennent que deux à trois enzymes et ne couvrent donc pas la totalité des besoins en enzymes de notre corps, loin de là: L’être humain a besoin chaque jour de 10000 enzymes, et, probablement, même davantage…

3.  Les enzymes sont des protides géants qui ne sont que très faiblement absorbés par l’organisme lorsqu’ils ne sont pas libérés.

Il semble dès lors qu’il n’y ait pas de solution efficace pour apporter à la fois une quantité suffisante d’enzymes, suffisamment variée, et suffisamment appropriée.

Pourtant, tout comme Zorro arrive, quand on ne l’attend pas, pour sauver les gens en détresse, la fermentation en cascade est arrivée, un jour, pour sauver l’humanité de la carence enzymatique généralisée.

De quoi s’agit-­il?

La fermentation en cascade est un type particulier de fermentation, pour lequel un brevet européen a été déposé, et qui satisfait aux exigences fondamentales suivantes:

Les enzymes extraites de fruits, de noix et de légumes judicieusement choisis sont démultipliées et concentrées. Cette diversité d‘enzymes est libérée, c‘est-­à-­dire que les enzymes sont décomposées en éléments actifs. Ce processus de libération des enzymes permet aux structures qui les composent d‘atteindre une taille moléculaire réduite, qui, seule, leur permet d’être pleinement actives. Ainsi, elles parviennent directement dans le système sanguin, traversent la muqueuse buccale et même la peau.

Grâce aux cascades successives (formule spéciale de fermentation), les fragments d’enzymes atteignent un niveau vibratoire tel qu’ils sont capables d’agir en une fraction de seconde comme une enzyme propre au corps humain.

En bref, ce procédé permet de concentrer les enzymes vitales des aliments, de les décomposer et de potentialiser en elles toute la force énergétique des végétaux.

C’est ainsi que tous les “régulateurs” (terme générique pour les préparations issues de la fermentation en cascade) fabriqués grâce à la fermentation en cascade se retrouvent au sommet de l’échelle des effets “énergétiques” (méthodes de mesure par biorésonnance et appareils de radionique)!

 

Comment le régulateur est-­il fabriqué?

Le processus de fermentation en cascade passe par différentes étapes de concentration (Processus de dynamisation). Les ingrédients, additionnés d’eau dynamisée, sont placés dans un bio­réacteur pour une première fermentation globale en milieu d’acide lactique (+).

Une partie est alors prélevée et remise en fermentation avec d’autres micro-­organismes et ainsi de suite. De cette manière, on obtient plusieurs portions prêtes à repartir pour une nouvelle fermentation. C’est le principe de la fermentation en cascade.

Concernant l’acide lactique, on distingue l’acide lactique sain (dextrogyre) (+) de l’acide lactique produit en cas de maladie (lévogyre).Un tissu sous ­alimenté et les tumeurs en particulier stimulent l’acide lactique, lequel entraîne alors une hyperacidité (facteur déclenchant le processus de la maladie). Il est donc nécessaire de contrer cette évolution par un excédent d’acide lactique (+); ce qui modifie les tissus.

Par ailleurs, l’acide lactique (+) favorise la pleine activité des enzymes. Formulé différemment, les processus enzymatiques vitaux du métabolisme intercellulaire sont dépendants du niveau de concentration de l’acide lactique (+)!

Concernant les substances de base, seuls sont utilisés des fruits, diverses noix et des légumes provenant de l’agriculture biologique. Les caractéristiques de ces aliments sont optimales d’un point de vue nutritionnel et couvrent les besoins de notre corps.

Elle garantissent une très haute teneur en enzymes, ouvrant de larges perspectives de guérisons.

Les effets sur la santé

Le premier effet évident concerne le système digestif. Le fort apport de prébiotiques, de probiotiques, et d’enzymes va assainir et restaurer les fonctions intestinales, entraînant une bien meilleure assimilation des aliments.

Si l’on place, par exemple, des déchets de fruits et de légumes dans un contenant en les laissant au chaud pendant 3 jours… tout commence à pourrir et à sentir très mauvais.

C’est à cela que ressemble notre intestin lorsque de mauvaises bactéries s’y sont établies; ce qui est, aujourd’hui, la “règle”.

Si, par contre, l’on place, à nouveau, des déchets dans un contenant et qu’on les arrose de régulateur…. aucun processus de pourriture ne s’enclenche, il n’y a aucune mauvaise odeur, mais bien une décomposition propre de la nourriture.

Le régulateur garantit une flore intestinale saine et une digestion naturelle non perturbée.

Cette caractéristique est, à elle seule, la base du déclenchement des processus de guérison.

Il serait beaucoup trop long de citer tous les effets bénéfiques du régulateur, car – les enzymes étant à la base de la vie corporelle – il agit sur toutes les fonctions corporelles.

Un tour d’horizon

Le régulateur est capable d’éliminer les métaux lourds et les polluants toxiques des cellules et du tissu conjonctif.

­Désacidification en profondeur et retour à l’équilibre acido­-basique. Ce processus de désacidification ne résulte pas de l’adjonction d’éléments basiques qui masqueraient temporairement l’acidité du terrain. Bien au contraire! Des processus fondamentaux de rétroactions enzymatiques obtiennent ce résultat de manière tout à fait naturelle.

Les régulateurs jettent les bases de cette thérapie fondamentale qui prend la forme d’un véritable nettoyage.

Les enzymes décomposées réussissent à déloger les toxines entreposées dans les cellules, à les fixer et à les évacuer vers les organes émonctoires. Les régulateurs éliminent ainsi les agents pathogènes générateurs d’acide et rééquilibrent le terrain.

Renforcement du système immunitaire; un système immunitaire défaillant étant corrélatif à un dysfonctionnement du système enzymatique. La santé s’en trouve ainsi globalement améliorée.

­ Renforcement et ré­équilibrage du système hormonal.

­Le régulateur renforce le système nerveux. Les enzymes peuvent ainsi notamment neutraliser les déchets à l’origine des blocages sur les points de transmission de la stimulation nerveuse. Les problèmes de santé découlant d’une perturbation nerveuse s’en trouvent fortement améliorés. On peut notamment observer que la personne nerveuse se calme et se détend sous l’effet du régulateur tandis que la personne faible est stimulée et ses performances accrues.

­Fort soulagement des maladies rhumatismales.

­Concernant le diabète, Une étude concernant l’efficacité du Régulat auprès de patients atteints de diabète présente des résultats a ce point prometteurs que le centre Else­Kroner­ Fresenius pour la médecine alimentaire (EKFZ) de l’université technique de Munich, mène actuellement une étude sous contrôle avec des diabétiques de type 2.

­Normalisation de la tension: Les parois artérielles sont débarrassées de leurs dépôts et redeviennent souples.

­Maladies respiratoires, notamment les bronchites chroniques, en utilisant aussi en application externe.

­Des oncologues renommés confirment l’effet remarquable du Régulat auprès de patients atteints de cancer. Les valeurs sanguines restent dans des normes saines malgré les chimiothérapies ce qui provoque souvent étonnement et incrédulité. L’effet anti­-inflammatoire du Régulat amène une diminution rapide de l’ensemble des effets secondaires des traitements du cancer.

Des études confirment que le Régulat multiplie par 5 le niveau d’ATP intracellulaire (monnaie énergétique de notre corps). Rien que ce fait peut amener le cancer a disparaître.

En agissant sur le plan enzymatique, le Régulat favorise le retour a la respiration cellulaire même pour les cellules se trouvant déjà dans un état de fermentation.

Ainsi, le Régulat est très bien adapte en tant que thérapie d’accompagnement lors d’exposition aux rayons, traitements en chimiothérapie et lors de prises d’antibiotiques.

De nombreux effets secondaires peuvent ainsi être fortement réduits.

Une précision importante: pendant les premières semaines de cures, la détoxination risque d’être importante, il est donc fortement conseillé d’utiliser, en tant que substances tampons, des algues spéciales, afin d’absorber le flux des déchets acides, métaux lourds, etc. La spiruline et la klamath sont les plus recommandées.

Vous trouverez l’ensemble des effets bénéfiques des régulateurs, en particulier du Régulat, dans le livre:

 

“Diagnostic: enfin en bonne santé!”.

Une bien belle promesse!