Les Catalyons – Les ions catalyseurs de la vie!

Les Catalyons

De même que l’alimentation moderne appauvrit nos apports en vitamines et minéraux, c’est aussi le cas pour les oligo-éléments, du fait:

– Des techniques de culture intensive et de raffinage des aliments,

– Des modes de conservation ou de cuisson des aliments,

– De l’appauvrissement des sols et de la perte du pouvoir nutritif des aliments cultivés.

Ces déficits d’apport peuvent être encore aggravés lors de circonstances particulières (un régime trop strict ou, au contraire, une alimentation déséquilibrée trop riche en graisses et carencée en fruits et légumes frais, l’abus d’alcool ou de tabac, véritable “brûleurs” de nutriments, ou encore le stress, ou tout simplement la pollution, qui vont se traduire par une surconsommation d’oligo-éléments.

De nos jours, un apport supplémentaire devient donc quasi-indispensable.

L’augmentation des besoins peut également être liée à certains états physiologiques (grossesse, ménopause, croissance…) ou pathologiques (maladies dégénératives, tumeurs, allergies…).

 

L’époque empirique

Déjà, depuis l’Antiquité, l’on avait remarqué que l’eau contenue dans des récipients d’argent restait potable plus longtemps. L’argent était utilisé pour aider à la conservation bien avant que ne soient démontrées les propriétés bactéricides du métal. La Bible et l’Odyssée témoignent de l’emploi d’un minéral, le soufre, dans la désinfection des habitations. Soufre que les Romains avaient coutume d’utiliser pour traiter les affections de la peau. Quant aux Egyptiens, ils avaient remarqué que le zinc appliqué sur une plaie permettait d’accélérer le processus de cicatrisation.

Quelques siècles plus tard, au Moyen-âge, le moine Basile Valentin serait parvenu à soigner les goîtres grâce à l’administration d’éponges marines, sorte de réservoirs d’iode, à ses patients. Tous pratiquaient en fait l’oligothérapie sans le savoir, et sans en connaître encore les fondements scientifiques.

L’époque théorique

Dans les années 1930, poursuivant les travaux de Gabriel Bertrand, qui avait mis en évidence l’existence et le rôle des enzymes et des oligo-éléments, Jacques Ménétrier s’y intéresse de plus près. Il étudie leur incidence thérapeutique et dégage, pour chacun d’eux, des indications propres.

Il pressent à quel point ceux-ci influencent le terrain biologique du corps humain, et établit ainsi les bases de la médecine fonctionnelle, qui s’axe sur les causes de la maladie plutôt que sur ses symptômes.

Il définit ainsi 5 “terrains” particuliers, prédisposants à 5 types de pathologie, et révélant pour chacun une carence ou un besoin plus spécifique de tel ou tel oligo-élément.

Il y a le terrain à prédisposition:

Allergique. Ici c’est l’oligo-élément manganèse qui est en jeu. Une supplémentation de cet   oligo-élément est essentielle pour les allergiques.

Hyposthénie (affaiblissement général). Souvent liés à des infections (notamment ORL) et des inflammations. Association manganèse-cuivre.

Dystonique (système nerveux). Affaiblissement du système nerveux, souvent lié au stress de la vie moderne. Association manganèse-cobalt.

Anergique (trouble du système immunitaire: chute de la capacité de résistance). Très souvent lié au stress, de même qu’aux chocs psychologiques (décès, divorce, perte d’emploi, etc).

Association cuivre-or-argent.

– De désadaptation. C’est relatif à tout comportant cherchant à compenser un conflit ou un stress psychologique. Très lié à l’anxiété et la fatigue.

Association zinc-cuivre ou zinc-nickel-cobalt.

Petits mais costauds

Les oligo-éléments sont une classe de nutriments nécessaires à la vie d’un organisme, mais en quantités très faibles. L’on appelle oligo-éléments les éléments chimiques qui représentent une masse inférieure à 1 mg/kg.

Leur quantité est, par rapports aux autres nutriments (vitamines, minéraux, etc), beaucoup plus faible, mais tout aussi importante.

A quoi ça sert un oligo-élément?

La propriété la plus importante pour expliquer le rôle de ces minéraux est leur extraordinaire faculté de se fixer sur les enzymes (qui sont des protéines), modifiant leur forme en se fixant dessus et en changeant alors leurs propriétés. Ils en sont les catalyseurs, modifiant la vitesse de réaction de ces protéines, et accélérant ainsi le métabolisme correspondant.

Chaque enzyme est lié à un oligo-élément bien particulier, à l’inverse, du fait du très grand nombre d’enzymes, chaque oligo-éléments “s’occupe” d’un très grand nombre d’enzymes.

Cela montre leur importance capitale.

Le zinc à lui seul traite le fonctionnement de plus de 200 enzymes différents!

Ainsi l’ensemble du fonctionnement du métabolisme est activé par les enzymes… ayant eux-mêmes absolument besoin des oligo-éléments pour être activés.

Les oligo-éléments sont de véritables chefs d’orchestres du corps humain!

L’on pourrait même dire que les enzymes sont les chefs d’orchestre et que les oligo-éléments sont leurs baguettes, sans lesquelles ils ne peuvent rien faire.

Ainsi, même s’ils jouent un rôle dans la quasi-totalité de l’activité du métabolisme global, l’on peut résumer leur principaux domaines d’activité dans:

– La digestion des lipides, protides, glucides afin de les rendre assimilables pour le corps,

– Les échanges cellulaires pour la production d’énergie (ATP),

– Le bon fonctionnement du système hormonal,

– Le bon fonctionnement des défenses immunitaires,

Il est, en effet, difficile de résumer leur activité, tant elle vaste d’une part, et tant elle prend des formes différentes.

S’ils sont connus pour jouer un rôle de catalyseur d’enzymes, c’est loin d’être leur seul rôle.

Il peuvent aussi, bien souvent contribuer eux-mêmes, directement, aux réactions du métabolisme. Ils peuvent ainsi se lier à certains éléments, comme les hormones, pour leur donner une forme active, ce qui serait impossible sans cela. Exemple: le zinc avec l’insuline.

Sans le zinc accroché à elle, l’insuline ne peut pas agir. Elle a, en outre, besoin de l’oligo-élément chrome pour son transport.

Mais ce n’est pas tout puisqu’ils peuvent aussi jouer un rôle “structural”, étant directement intégré à la composition moléculaire d’un éléments.

Exemples: le cobalt fait partie intégrante de la vitamine B12; de même que l’iode pour les hormones thyroïdiennes.

Enfin, ils peuvent aussi intégrer les structures tissulaires pour les renforcer. Soit pour remplacer un élément manquant (le fluor remplace par exemple l’hydroxyle des os et dents en cas d’insuffisance), soit pour faire le lien entre des éléments ou des structures (le silicium, par exemple, relient les fibres de collagène à celles de mucopolysaccharides dans les tissus conjonctifs).

Du fait de la vie moderne (stress, pauvreté des aliments), nous sommes tous plus ou moins carencés en éléments essentiels (vitamines, minéraux, etc), y compris bien sûr en oligo-éléments.

Il est donc souhaitable d’en avoir une supplémentation.

Aussi il est important d’avoir un bon équilibre entre eux, car l’excès de l’un peut entraîner une carence d’un autre (un excès de zinc entraîne par exemple une carence en cuivre). Il ne faut donc pas trop en privilégier un seul par rapport aux autres.

A noter toutefois que c’est l’excès, qui, comme en toute chose, provoque des désagréments. Donc si l’on a une carence marquée pour un oligo-élément particulier, il est tout à fait profitable d’en faire une cure pour ramener son taux à la normale.

Comment savoir si l’on est plus ou moins carencé en tel ou tel oligo-élément?

En fonction de notre état de santé, et de nos besoins spécifiques.

Il faut, pour cela, bien connaître leur action.

Les oligo-éléments à la loupe

L’argent

Puissant bactéricide, il complète le cuivre contre les maladies infectieuses.

Utile notamment contre la grippe et les maladies ORL (avec le cuivre), la cystite (avec le zinc), la maladie de Lyme, les gastrites, les ulcères de l’estomac, l’acidité gastrique.

Le bore

Conserve la solidité des os grâce à une meilleure assimilation osseuse du calcium.

Contre l’ostéoporose bien sûr, mais aussi l’arthrite.

C’est stimulateur hormonal, notamment pour les œstrogènes et la testostérone. Augmente la masse musculaire. Protège la prostate. Active la mémoire.

Le chrome

C’est le catalyseur de l’insuline en permettant son assimilation; c’est dire son importance! Il régul{aris}e la glycémie, régulation la formation des graisses (en complément avec le nickel) et le cholestérol. Effet anti-fringale (notamment de sucre) grâce à la bonne assimilation des glucides.

Bon en cas d’athérosclérose et d’hypertension artérielle (avec magnésium, cobalt, vanadium).

La nourriture moderne induit une forte carence générale en chrome.

Le cobalt

Indiqué, avec le magnésium, dans les états spasmodiques: palpitations, hoquet, aérophagie, hypertension. Conseillé contre les migraines, troubles de la circulation divers, anémie, obésité.

Le cuivre

Conseillé dans les états infectieux (favorise l’élaboration d’anticorps) et inflammatoires. Favorise l’absorption et l’activation du fer, et donc favorise la formation de l’hémoglobine, des plaquettes, la multiplication des globules rouges.

Intervient dans le métabolisme du calcium et du phosphore (production de l’élastine, du collagène, du cartilage, de la peau). Synthétise la mélanine (prévention du vieillissement de la peau et des cheveux). Régularise la thyroïde (avec l’iode), les hormones génitales et surrénales. Inactive les hormones du stress.

Utile contre la grippe, les rhumatismes et dégénérescences, les œdèmes.

Anti-oxydant (catalyseur de la super oxyde dismutase SOD). Active plus d’une centaine d’enzymes.

Bref… absolument essentiel!

 

L’étain

Agit sur les staphylocoques (avec cuivre et argent) et les parasites. Protecteur cutané (avec cuivre): abcès, furoncles, acné. Action régénératrice (avec le germanium) contre les radiations ionisantes.

 

Le fer

Contre l’anémie (voire cuivre). Indiqué en cas de convalescence, fatigue, aménorrhée, hémorragie, retard de croissance, “impatiences” dans les jambes.

Le germanium

Puissant régénérateur et détoxiquant, élimine les métaux lourds, anti-oxydant, anti-vieillissement, stimule le système immunitaire.

Indiqué contre les états infectieux, inflammatoires, fatigue chronique, dépression, douleurs, hépatite, rhumatismes, kystes, goitres, tumeurs, arthériosclérose, lupus, herpès, psoriasis, hypertension, cataracte, épilepsie, maladie mentale. Protecteur contre les rayons X (radiographie).

Favorise l’oxygénation cellulaire.

L’iode

Il sert exclusivement à la fabrication des hormones thyroïdiennes; mais n’en est pas moins essentiel pour autant. Son manque entraîne des troubles physiques (fatigue, faible développement physique) et mentaux (stress, anxiété, baisse de la mémoire et des capacités intellectuelles), transit diminué, vie sexuelle chamboulée, perte ou prise de poids excessive, etc.

 

Le magnésium

Conseillé dans la constipation chronique, spasmes digestifs, troubles nerveux, stress, anxiété, hyperactivité, insomnie, fatigue, dépression, vertiges, céphalées, épilepsie, tremblements, palpitations, crampes, spasmophilie, asthme, fibromyalgie, déminéralisation, décalcification, hypercholestérolémie, trouble de la prostate, syndrome pré-menstruel, insuffisance hépatique.

Régule le transport de l’énergie, l’équilibre acido-basique, stimule la flore intestinale.

C’est le catalyseur le plus important de l’organisme: il active plus de 300 enzymes!

Le manganèse

Anti-allergique, anti-oxydant.

Contre l’asthme, rhume des foins, urticaire, exéma, douleurs articulaires, arthrose, céphalées (avec cobalt), problèmes neurologiques, épilepsie, maladie mentale, Alzheimer, stérilité, hypercholestérolémie, hypothyroïdie, goitre, hypezrtension, vertige, tachychardie, anémie (avec cuivre, fer, molybdène, cobalt), dysménorrhée.

Favorise la concentration intellectuelle.

Le molybdène

Anti-oxydant, détoxifiant (en particulier des sulfites).

Prévient l’anémie, la maladie de Parkinson, les crises de goutte, l’inflammation de l’intestin, la maladie de Crohn, la carie dentaire, la chute de cheveux, l’impuissance masculine.

Le nickel

Indiqué en cas de cellulite et d’obésité, diabète, anémie. Diminue la rétention d’eau.

Favorise l’action des vitamine A et C.

L’or

Apaisant, cicatrisant, anti-infectieux. Contre les affection articulaires.

Le sélénium

Puissant anti-oxydant, détoxiquant. Contre les dégénérescence, immuno-déficience, problèmes cardio-vasculaires, hépatites, troubles rénaux, de la prostate, infertilité. Stimule la thyroïde, favorise la santé des cheveux, de la peau, des yeux. Agit sur les mycoses, mes pellicules, les tâches de vieillesse, la cataracte, la DMLA.

Le silicium

Essentiel pour la régénération de la peau et des tissus osseux. Utile dans l’arthrose, l’artériosclérose, la chute des cheveux, les ongles cassants. Cicatrisant. Réhydrate la peau et les muqueuses.

Le zinc

Fondamental dans la régulation hormonale: les glandes génitales, la prostate, l’insuline, régule l’hypophyse, la thyroïde, la glycémie.

Indispensable dans les problèmes dermatologiques et capillaires, acné, psoriasis, herpès, candidose, vergetures, cicatrisation, tâches blanches sur les ongles, perte de cheveux; pour les problème de goût, d’ouïe, de vue, d’odorat. Indiqué dans les retard de croissance, ménopause, impuissance, infertilité, anorexie, infections, certains troubles hépato-pancréatiques, du système nerveux. Renforce l’activité cérébrale.

Active plus de 265 enzymes!

 

Un colloïde c’est bien, un ion c’est mieux!

Dans la nature, et donc dans la nourriture et l’eau, les oligo-éléments sont présents sous différentes formes. Elles sont plus ou moins biodisponibles pour le corps humain, voire plus ou moins néfastes.

On les trouve, en premier lieu, sous forme organique. Ainsi l’oligo-élément est pur, mais il est associé à des atomes de carbones, qui vont nettement ralentir sont assimilation.

On trouve aussi les sels de métaux. Ainsi l’oligo-élément n’est pas pur car il est associé à un transporteur chimique qui modifie sont assimilation.

Ceux, par exemple, qui possèdent un générateur d’argent colloïdal connaissent le problème: il faut absolument avoir une eau totalement pure (distillé deux fois) pour que les particules d’argent ne se lient pas avec des sels minéraux présents dans l’eau et forme ainsi des particules de sel d’argent, mal assimilées, voire toxiques.

On trouve enfin les formes à la fois pures, et libres; c’est-à-dire associés à aucun autre élément.

Ce ne sont plus des molécules ayant besoin, pour l’organisme, par un travail souvent très difficile, d’être dissociées, pour avoir accès aux atomes des oligo-éléments dont il a besoin.

Parmi elles on a les colloïdes, et les ions.

C’est le chercheur Raymond Valtat qui, dans les années 1950, voulant sauver sa femme d’un cancer du foie, axa ses recherches sur la solubilité des métaux. Il mit finalement au point les “Catalyons” (catalyseurs ionisés), et sa femme fut bien sûr la première à en bénéficier.

Les colloïdes, comme c’est le cas pour l’argent colloïdal, bien connu, sont des formes pures des oligo-éléments, mais qui regroupent une quantité plus ou moins grande d’atomes.

Or, plus un élément est petit, plus il est assimilable et agit efficacement.

Ainsi Raymond Valtat découvrit l’efficacité nettement supérieure des ions (un ion est un atome – donc la plus petite particule existant – chargé électriquement, c’est-à-dire qui a perdu ou gagné un ou plusieurs électrons) chargés positivement (ayant cédé un ou plusieurs électron) par rapports aux colloïdes (regroupement d’atomes).

Il s’inspira des processus à l’œuvre dans la nature, afin de produire une forme naturelle d’oligo-éléments sous forme d’ions, qui se différencient des oligo-éléments chimiques que l’on trouve le plus souvent dans le commerce (chlorures, gluconates, pidolates, picolinates…) .

Les ions sont nettement plus assimilables, et ne fatiguent pas l’organisme (en travail de dissociation), car ils sont directement “prêts à l’emploi”.

Ce sont les Catalyons!

Il a donc créé le laboratoire “Catalyons”, qui est depuis resté dans le domaine familial, ses descendants (aujourd’hui ses petites-filles) ayant continué son œuvre et ses travaux.

Outre leur efficacité, l’intérêt des catalyons est leur totale innocuité, car, du fait de leur extraordinaire biodisponibilité, les quantités nécessaires pour être efficaces sont extrêmement faibles.

Enfin, les recherches du laboratoire Catalyon ont permis de mettre au point le processus de “dynamisation”, grâce à un procédé de “vortex-aimant”, améliorant encore notablement l’efficacité des catalyons.

Bref, les chercheurs Gabriel Bertrand, Jacques Ménétrier, et Raymond Valnat, grâce à leur bon sens, leur intuition et leur persévérance, ont finalement pu nous restituer en flacon ce que la nature donne de meilleur!

En savoir plus:

Qu’est-ce que les Catalyons?