Avant de donner vos organes lisez ceci!

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Avant de “donner vos organes”,

prenez conscience

de ce que cela signifie vraiment

 

 

Saviez-vous que, pour pouvoir prélever des organes, le soi-disant «mort» doit souvent être anesthésié?!? Hé oui, incroyable, c’est une réalité qui est rarement révélée aux “donneurs” et à leur famille. Des fois que, apprenant cela, ils changeraient d’avis et refusaient de donner leur accord pour que {le corps de} leur proche soit charcuté et ainsi rendu définitivement inutilisable par son seul légitime propriétaire….

 

C’est une simple question de simple bon sens: Ou un présumé mort est effectivement mort ou bien il ne l’est pas! S’il est réellement mort, il ne sent physiquement plus rien et ne sentira jamais plus rien dans ce corps qui fut le sien! Et par conséquent, il n’a pas besoin d’être anesthésié!!! Par contre, si, lorsqu’on commence à le découper, il est encore susceptible de sentir certaines choses, cela veut dire qu’en réalité il n’est pas mort et que le soi-disant “prélèvement d’organes”, en fait, est un crime! C’est, en effet, alors qu’il n’est qu’endormi (dans un coma plus ou moins profond), à ce moment- qu’on lui prend la vie, c’est à ce moment-là que, même animé des meilleures intentions, on le tue!

 

A l’évidence, le principe de précaution n’est ici pas appliqué!

 

Qui peut affirmer – “en mettant sa main à couper” – qu’un être humain en état de “mort cérébrale” (une invention conceptuelle récente!) ne ressent plus rien? Les préleveurs d’organes sont-ils prêts à sacrifier leurs mains disséqueuses sur l’autel de leur “conviction”?

Mais – heureusement! – tous les médecins n’ont pas la même conception matérialiste de la vie et de la mort. Par ses recherches le Dr Jean-Jacques Charbonnier, par exemple, a démontré que, d’un point de vue scientifique (ce n’est donc pas seulement une question de croyance!), la conscience survit à la mort du corps

 

Si l’après-vie existe et que la conscience survit à la mort apparente du corps, il est facile de concevoir que les soi-disant “morts” ne sont pas forcément réjouis de voir – et, encore moins, de sentir! – leurs corps découpés pour en prélever des morceaux…

Dans le numéro 101 de Mai 2012 du JMD (Journal de Michel Dogna) «Pour guérir notre futur», à la page 11, article «”Mort cérébrale” et don d’organes – A faire suivre à tous ceux qui auraient l’intention de faire un don d’organes», il est possible de lire l’interview du Dr Paul Byrne, spécialiste de la “mort cérébrale” depuis 20 ans:

Extraits:

Question: “Vous pensez qu’il est impossible de prélever des organes vitaux sur un corps mort?”

Réponse: “Exactement. Et presque tout le monde le sait. Car on sait ce qu’est une personne vivante: Regardez-vous vous-même ou regardez-moi, ou n’importe quelle autre personne vivante. Mais un cadavre? On sait ce que c’est quand on a veillé un mort, quand on a rendu visite à un funerarium. Combien d’organes pensez-vous que l’on puisse prélever sur un cadavre? Aucun qui soit apte à la transplantation.

C’est donc pour faire des transplantations d’organes qu’ils ont inventé la “mort cérébrale”. On avait essayé de faire des transplantations de cœurs prélevés sur les personnes mortes, mais cela ne marchait pas. Il fallait pouvoir disposer d’un cœur battant prélevé sur une personne vivante.

(…) Les critères de Harvard exigent l’absence de fonctionnement du cerveau pendant vingt-quatre heures. Ce délai a été ramené à douze heures, puis à six, puis à trois, et même à une heure. On n’arrête pas de raccourcir cette durée. Pour une certaine série de critères on retient que si l’on retire le ventilateur il suffit de 30 à 60 secondes sans respiration pour le prononcer en “mort cérébrale”.

Voilà, exactement la manière dont il ne faudrait pas pratiquer la médecine: normalement, on développe une meilleure précision et théoriquement les critères devraient devenir plus stricts.

Beaucoup pensent que la “mort cérébrale” suppose des tests sophistiqués, mais non, cela se réduit souvent à l’observation clinique faite sur le patient dans son lit.

Les personnes dont la vie est en danger sont celles qui ont les organes les plus sains: celles qui ont entre 16 et 30 ans. Si un telle personne est blessée à la tête, on va immédiatement chercher à garder ses organes en forme, alors que les soins devraient viser à la maintenir, elle, en bonne forme. Ce n’est plus la personne qui, est soignée mais les organes!

Par exemple, nous savons que si le cerveau est endommagé, s’il y a un œdème, il n’y a pas beaucoup de place sous le crâne: Il faut donc donner des doses minimales de liquide pour empêcher l’œdème de s’aggraver. J’ai pu voir l’historique de traitements où le patient recevait des quantités massives de fluides dès le départ – pour maintenir en forme les reins et le foie – bien que cela aggrave la pathologie du cerveau.

Aux États-Unis les apprentis conducteurs sont “invités” à devenir donneurs d’organes, c’est presque de l’intimidation. Aucune des personnes que l’on sollicite en ce sens ne reçoit l’information selon laquelle on ne transporte que des organes sains venant d’une personne qui a encore la circulation et la respiration {actives}. Elles pensent que les organes sont prélevés après la mort véritable et lorsqu’elles disent “oui”, elles donnent leur accord sur une chose à propos de laquelle elles n’ont pas été pleinement informées. Impossible pour elles de prendre une décision en pleine conscience, quelle que ce soit cette décision, d’ailleurs. A mon avis, il doit en aller à peu près ainsi dans le monde entier.”

Commentaire: De l’intimidation pour inciter les gens à donner leurs organes, sans qu’ils soient réellement conscients de ce que cela implique (et ceux qui les incitent le savent-ils eux-mêmes?), voilà une pratique présentée comme universellement répandue… L’alibi de “sauver des vies” ne peut convaincre, là, personne. L’aspect mercantile a manifestement pris le pas sur toute autre considération. Là aussi le serment d’Hippocrate semble bien loin et est devenu un “serment d’hypocrite”…

Question: “Un “mort cérébral”, du fait qu’il est en survie artificielle et ne vivrait probablement pas sans cela, ne devrait-il pas déjà être considéré comme {déjà} mort?

Réponse: Il faut se référer à la notion de “ressusciter” (mot anglais pour “réanimer”) Le mot “ressuscité” appliqué au Christ renvoie à la Résurrection qui intervient après la mort effective d’une personne. En anglais, l’on donnera l’ordre, pour un patient, de ne pas le “ressusciter” (c’est-à-dire {en fait} de ne pas le réanimer): le terme est incorrect. Nous, médecins, nous ne soutenons pas la vie mais l’activité vitale: le soutien de la vie vient du Créateur qui donne et qui maintient la vie: une fois que la vie a disparu, nous, médecins, ne pouvons rien faire. Ce qui est en notre pouvoir c’est de préserver et de protéger.

Pour ces patients qui sont reliés à un ventilateur il faut savoir que c’est un appareil qui pousse l’air dans les poumons, mais il ne pousse pas l’air vers l’extérieur, chose que seul fait le corps vivant. Si on relie un cadavre à un ventilateur, on peut pousser l’air à l’intérieur, mais il n’en sort pas. Si le ventilateur fonctionne c’est bien parce qu’il y a un cœur qui bat et la circulation qui va vers les poumons et vers le reste du corps. Si cela fonctionne c’est parce que le tissu muqueux très sophistiqué du fond des poumons permet de capter l’oxygène dans l’air et d’expulser le dioxyde de carbone; cela ne peut pas se produire dans un cadavre.

Question: Les organes comme le cœur, les poumons, le foie, peuvent-ils fonctionner en l’absence de tout fonctionnement cérébral?

Réponse: Oui, ils le peuvent.”

Commentaire: Question: Si le cœur, les poumons, le foie continuent à fonctionner lorsque l’électro-encéphalogramme est plat, comment est-il alors encore possible de prétendre que la personne est morte? Comment ces organes essentiels pourraient-ils continuer à fonctionner chez un véritable mort?

 

Question: “Les critères de la mort cérébrale disent: pas de fonctionnement cérébral, pas de conscience, pas de vie”; n’est-ce point un point de vue très dangereux?

 

Réponse: Oui, c’est terriblement dangereux. La mort c’est la séparation de l’âme et du corps, la séparation du principe de vie et du corps. (…) La mort ne doit pas être déclarée à moins qu’il n’y ait destruction des systèmes circulatoire et respiratoire ainsi que de la totalité du cerveau, destruction à constater par des critères universellement acceptés. Nous ne devrions pas déclarer morte une personne dont le cœur bat et qui a une pression artérielle et qui respire, même si la respiration est soutenue par un ventilateur.

 

Question: La plupart des gens n’auraient-ils pas un mouvement de recul s’ils savaient que l’on récupère des organes sur des corps chauds et roses?

 

Réponse: La plupart des gens n’auraient pas seulement un mouvement de recul, la plupart ne le feraient pas. La plupart ne donneraient pas leur accord pour être découpés ou que l’on découpe un fils chéri pour récupérer son cœur battant. Ils ne feraient rien pour hâter sa mort.

 

La vie reste, en effet, un “phénomème” mystérieux… vie, mort…

 

Le matérialisme actuellement dominant sur Terre trouve normal de considérer un corps humain pas encore vraiment mort comme un réservoir de pièces mécaniques de rechange pour les “vivants” de la Terre, tellement ceux-ci sont accrochés à l’existence terrestre matérielle – qui leur semble constituer la seule réalité enviable – qu’ils sont prêts à tout (même à prendre l’organe d’un être humain pas encore réellement mort!) pour surseoir un peu plus longtemps à la mort physique…

 

A ce sujet la propagande officielle dans les écoles va bon train et le conditionnement se met en place dès le plus jeune âge de sorte à ce que la jeunesse arrive à tout de suite trouver comme normal et évident des pratiques qui, en réalité, sont fort discutables…

Se pourrait-il qu’à la place de ce point de vue d’en-bas, très matérialiste, puisse prévaloir un autre point de vue, le point de vue “du haut”, très différent?

 

Voici, maintenant, déjà, à ce sujet, pour susciter la réflexion, un étonnant récit:

Extrait du livre: Trente ans parmi les morts”:

Le Docteur Carl Wickland, dont l’épouse était médium, a raconté leurs étonnantes expériences dans son livre «Trente ans parmi les morts», aux éditions Exergue (en ce qui concerne l’édition française, pages 206-210; l’édition originale est anglaise). Le récit a été repris par Herbert Vollmann, auteur allemand (+) dans son livre: “Le Monde tel qu’il pourrait être” (“La transplantation d’organes”, dans l’édition française, page 67 et suivantes).

L’expérience date du 26 juillet 1922; l’esprit (ou l’âme) est celui de Minnie Morgan, le médium est Madame Wickland [épouse du Dr Wickland].

Minnie Morgan, âme désincarnée, sur Terre ancienne droguée, parle maintenant au Docteur Wickland par le truchement de Madame Wickland:

«Je me sens comme l’une de vous. Bien que vous ne me connaissiez pas, vous m’avez aidée. J’ai reçu grâce à vous, une merveilleuse aide pour la compréhension de la vie réelle.

Dans le monde “spirituel” [ou fin-matériel] nous nous connaissons tels que nous sommes vraiment, et non pas avec toutes nos pensées cachées, comme c’est le cas sur la Terre. (…)

J’ai vécu à toute allure, une vie que je considérais comme glorieuse, mais les déceptions et les ennuis ont fini par arriver. (…)

Ne laissez jamais quelqu’un vous donner la moindre dose de morphine. (…) Le manque m’a rendu folle. Tout m’était égal. J’aurais même vendu mon âme pour obtenir seulement un peu de morphine. J’avais perdu toute décence, j’ai tout perdu. Tout ce que je voulais c’était de la morphine. (…)

C’est dans cet horrible état que j’expirai. J’étais délivrée de mon corps physique. Je l’avais complètement détraqué, usé. Après ma mort on le disséqua, et pourtant je vivais encore! Alors je voulus récupérer mon corps.

L’on s’activait autour de moi et, un moment plus tard, je sentis que l’on me découpait en morceaux (autopsie; l’on me disséquait)! Je criais, je me défendais, car je voulais reprendre possession de mon corps, afin de pouvoir apaiser la passion qui me rongeait. Je brûlais de désir!

L’on sectionna chaque nerf, l’on examina mon cœur, mon corps tout entier, de la tête aux pieds, ils n’en finissaient pas de me disséquer!

Il y avait cinq à six hommes avec des scalpels. Tous voulaient faire la même chose avec mon corps: disséquer, disséquer, disséquer! J’étais si désespérée qu’en luttant de toutes mes forces j’ai réussi à en effrayer quelques-uns, et ils ont laissé mon corps tranquille; ils ne l’ont plus touché.

Mais un autre est arrivé. Il m’a regardée, regardée, il n’arrêtait pas de me disséquer. Il m’a rendue furieuse. Je pensais que si seulement je pouvais l’attrapper, je lui règlerais son compte. Il ne prêtait pas attention à moi. J’ai essayé de lui faire peur, comme je l’avais fait pour les autres, mais il est resté imperturbable. Il ne bougeait pas d’un pouce de ce corps qui était le mien.

Je l’ai suivi et j’ai pensé que je le hanterais, mais, tout à coup, je me suis sentie bien [entrée dans le corps du médium Madame Wickland] et j’ai commencé à me battre avec lui avec toute la force et l’énergie que j’avais, pour {le punir de} m’avoir disséquée.

à ma grande surprise, après que ce Monsieur [le Docteur Wickland] m’eût parlé, j’ai découvert que j’étais morte. Je ne savais pas que j’avais perdu mon corps, car je ne me sentais pas morte du tout. Ce Monsieur me dit que les personnes qui disséquaient mon corps étaient des étudiants et qu’il était nécessaire pour eux de disséquer un corps mort, avant de pouvoir réussir leurs examens. J’en avais effrayé cinq d’entre eux qui, ensuite, ne m’ont plus touchée, mais je n’avais pas pu effrayer celui-ci.»

Au Docteur Wickland:

«Maintenant, je suis venue pour vous remercier. C’est vous qui m’avez éclairée et donné une compréhension de la vie réelle dans l’Au-delà

C’est théoriquement bien de songer à faire du bien à des “vivants”, mais si c’est au détriment d’autres vivants, cela ne perd-il pas toute justification? Un corps humain même pas mort serait-il un simple réservoir de pièces de rechange? “Primum non nocere!” [“D’abord, ne pas nuire!”], disaient Hippocrate et Ambroise Paré…

Se pourrait-il que de telles pratiques de transplantation d’organes puissent gravement nuire à ceux qui se tiennent aux portes de la mort? Les expériences de NDE [“Near Death Experience”] ou de EMI [“Expériences de Mort Imminentes”] (voir, à ce sujet, par exemple, les films “Aux frontières de la mort” et “Faux départ”) ne témoignent-elles pas suffisamment que la vie la mort et l’espace intermédiaire entre les deux (que Lyall Watson dans son livre “Histoire Naturelle du Surnaturel” appelle l’“état de goth”) sont des réalités tout à fait différentes de ce que s’imagine la pensée unique et matérialiste encore dominante sur la Terre?

Au sujet des transplantations d’organes voici ce qu’écrit Roselis von Sass, auteur brésilienne d’origine autrichienne:

“Que soit ici décrite la constitution de l’anneau de radiations [NDLR: elle parle ici de l’aura] de ceux que se firent transplanter un nouveau cœur pour reporter un peu cette mort terrestre si redoutée.

Et bien qu’ils continuent à vivre, ils éprouveront très peu de bonheur dans leur vie prolongée. Les mouvements et les couleurs de l’anneau d’irradiations de ces personnes révèlent leur véritable état; elles offrent là un aspect taché, comme si une main était passée par dessus en les barbouillant. Outre cela, l’on peut voir aussi de petits bâtons foncés s’agitant sans cesse dans les tonalités du rouge taché… Ces petits bâtons indiquent que la personne concernée est prise de peur. D’une peur insurmontable de la vie… et de la mort…

Des couleurs barbouillées dénotent toujours un corps terrestre affaibli qui ne fonctionne plus très bien; elles sont, en outre, la meilleure indication que de mauvaises influences animiques oppressent le plexus solaire et par là tout le système nerveux…

Ces mauvaises influences animiques sont faciles à expliquer. Ce sont des configurations de peur, c’est-à-dire des formations de furies venues d’une âme humaine avec le thorax ouvert et vide, qui poursuit le “voleur” de son cœur… et gare au receveur d’un cœur “volé” lorsqu’il mourra. La vengeance de la personne “volée” sera bien affreuse…

Que se passe-t-il lorsqu’une personne, avant sa mort, offre volontairement à quelqu’un son cœur ou d’autres organes pour une utilisation postérieure?

Quelqu’un qui met des organes de son corps à la disposition d’autres personnes ne porte certainement plus en soi beaucoup de bonnes qualités. Un être humain lié à la Lumière s’opposerait avec plus de rigueur à un déchiquetage de son corps après sa mort…

Tout donneur volontaire se charge d’une double faute, car… nul n’a le droit de donner ce qui ne lui appartient pas! Le corps terrestre est un bien confié par Dieu, un bien qui ne doit pas être violé, pas même après la mort… Tout “donneur volontaire” caresse, en outre, l’espoir non avoué d’avoir son “acte d’amour envers le prochain” crédité dans l’Au-delà! Cet espoir montre que le “donneur” veut mesurer la Justice de Dieu par son petit et restreint raisonnement… il veut par là négocier…

Les organes humains ne sont pas des pièces mécaniques qui peuvent être utilisées à l’aise! Tous ceux qui encouragent l’idée de transplantations se chargent, face à la Loi de la Création, d’une grave faute! En tête de liste, bien sûr, les médecins… Ces médecins qui utilisent des coeurs encore chauds, arrachés à un corps terrestre mort, ont beaucoup en commun avec les anciens prêtres idolâtres aztèques et mayas. Il est probable que plusieurs d’entre ces “fanatiques en transplantation de cœur” ont jadis collaboré à ce sacerdoce! De tels prêtes idolâtres arrachaient le cœur au corps encore vivant de leurs victimes, lors de certaines cérémonies du culte…

La différence entre jadis et aujourd’hui n’est pas si grande comme elle pourrait le paraître de prime abord. Le cordon qui lie l’âme au corps terrestre ne se défait pas immédiatement après la mort terrestre. Tout ce qui atteint le corps terrestre est donc ressenti par l’âme de la façon la plus douloureuse… Très souvent, l’âme, pendant des semaines ou même des mois, demeure liée au corps terrestre déjà en décomposition et expérimente durant tout ce temps d’effroyables douleurs

Des actes hostiles aux Lois de la Nature – même si considérés comme des actes “bénéfiques” par les êtres humains – ne pourront jamais être bénis. Ce sont des crimes et comme tels ils portent en eux le germe de la mort…”

Pour pouvoir être transplantés, les organes doivent être “frais”. Le cœur d’une personne morte depuis ne serait-ce que cinq minutes est inutilisable: il ne se remettra jamais à battre, y compris avec un pacemaker. Il en va de même des autres organes vitaux (reins, foie, pancréas, poumons…). Pour que les organes soient bien “frais”, donc, il faut qu’ils soient encore en train de fonctionner au moment où ils sont prélevés. Ils ne peuvent donc pas être prélevés sur un «mort» réellement mort, mais sur une personne en état de «mort cérébrale», ce qui, comme nous allons le voir… est tout à fait différent.

Le journal anglais “Daily Mail” publie l’histoire d’un jeune britannique qui a eu la vie sauvée par son père qui s’était opposé à ce que ses organes soient prélevés pour servir à des transplantations. (1) L’affaire s’est produite à l’hôpital universitaire de Coventry, dans le nord de l’Angleterre: Stephen Thorpe, 17 ans, avait été gravement blessé à la tête lors d’un accident de voiture au cours duquel était mort son ami Matthieu, 18 ans, qui conduisait le véhicule. Les médecins le mirent sous coma artificiel et, deux jours plus tard, le déclarèrent en état de «mort cérébrale».

 

La «mort cérébrale» permet l’ouverture de la procédure de prélèvement d’organes. Mais les parents de Stephen, qui étaient auprès de lui, affirmèrent qu’ils «sentaient que leur fils était encore là» et qu’il réagissait à certaines paroles. Alors que quatre médecins de l’hôpital confirment la «mort cérébrale» et souhaitent que commence le prélèvement d’organes, les parents de Stephen font appel au Docteur Julia Piper, praticienne de médecines traditionnelles et alternatives. Celle-ci obtient l’autorisation de faire examiner Stephen par un neurochirurgien de confiance, qu’elle connaît. Celui-ci conclut que le jeune garçon n’est absolument pas «mort cérébralement». Il demande qu’il soit au plus vite sorti de son coma artificiel. Et en effet, cinq semaines plus tard, Stephen rentre chez lui, entièrement remis. Aujourd’hui, Steven a 21 ans et étudie la comptabilité à l’université de Leicester. «Mon impression est que l’hôpital n’était pas très favorable à ce que mon père demande une contre-expertise médicale» a-t-il déclaré au Daily Mail.

 

Ne pas confondre «mort» et «mort cérébrale»

 

Le concept de «mort cérébrale» a été inventé en 1968. Jusque-là, on ne connaissait que deux états: vivant ou mort. Une personne était vivante tant que son corps restait chaud, que son cœur continuait à battre, qu’elle respirait et que son sang continuait à circuler. La mort, au contraire, était déclarée lorsque la vie avait quitté le corps. Un corps mort, au sens traditionnel du terme, devient froid, rigide. Il ne répond plus à aucun stimulus. Le cœur ne bat plus, la tension artérielle disparaît. Le patient arrête de respirer. La peau, les ongles et les muqueuses prennent une couleur bleutée. Mettre le cadavre sous respiration artificielle ne relance pas l’oxygénation du corps. Stimuler le cœur par une impulsion électrique (pacemaker) ne le fait pas recommencer à battre. Une personne morte ne peut tout simplement plus guérir. Ses organes vitaux, le cœur, le foie, les poumons, les reins et le pancréas ne fonctionnent plus. On ne peut plus les transplanter sur une personne vivante, car ils commencent à se décomposer aussitôt que l’oxygénation et la circulation sanguine s’arrêtent. Cinq minutes plus tard, ils sont inutilisables.

 

Dans le but (intéressé?) de pouvoir prélever des organes encore vivants, et donc capables d’être transplantés sur une nouvelle personne, les médecins créèrent en 1968 le concept de «mort cérébrale». Une personne dont le cœur fonctionne, le sang circule, et la respiration est régulière peut donc aujourd’hui être déclarée en état de «mort cérébrale». L’on sait pourtant que, dans ce cas, la plupart des fonctions vitales continuent, dont la digestion, l’excrétion (évacuation des déchets), et l’équilibre des fluides. S’il a des blessures, on constatera que le «mort cérébral» cicatrise, et si c’est un enfant, qu’il continue à grandir. Il peut même traverser la puberté. Une femme enceinte en état de «mort cérébrale» peut continuer à porter son enfant: la plus longue période enregistrée est de 107 jours jusqu’à l’accouchement!!! En revanche, une fois que ses organes vitaux sont retirés pour être transplantés sur une autre personne, le «donneur» (de gré ou de force!) d’organe décède pour de bon.

 

Pour prélever des organes, le «mort» doit d’abord être anesthésié!!!

 

Très souvent, la personne en état de «mort cérébrale» est sensible aux opérations chirurgicales. C’est ce que les médecins appellent l’effet Lazare, du nom de l’homme, frère de Marie et Marthe de Béthanie, qui, dans les Évangiles, ressortit de son tombeau. Pour pouvoir prélever les organes vitaux, les médecins doivent donc pratiquer l’anesthésie, ou injecter des substances paralysantes pour éviter les spasmes musculaires, ou les changements brutaux de pression sanguine, de rythme cardiaque, et d’autres réflexes protecteurs.

 

Dans la pratique médicale normale, de telles réactions de la personne opérée indiquent à l’anesthésiste que l’anesthésie est trop légère, et que le patient souffre. Ces informations, que n’importe quel médecin peut confirmer, sont malheureusement mal connues du grand public. Il semble également que les familles à qui l’on demande d’autoriser un prélèvement d’organe ne soient malheureusement pas toujours objectivement informées de ce que l’on va faire au proche présumé “mort”. Car si on leur disait que leur mort doit d’abord être anesthésié avant qu’on lui prèlève ses organes, il est probable que beaucoup s’opposeraient alors au prélèvement…!

 

Le cas de Stephen n’est pas isolé

 

Il existe des dizaines de cas similaires à celui de Stephen, dans lesquels une personne comateuse ou inconsciente est rapidement déclarée en état de «mort cérébrale» ou «sans espoir de guérison». Bien souvent, les familles subissent alors des pressions pour autoriser les prélèvements d’organes. En 2011, l’Hôpital Sainte-Croix de Drummondville (au Québec), a demandé l’autorisation d’extraire les yeux d’une patiente qui s’était étranglée pendant son repas à l’hôpital en l’absence de personnel soignant, affirmant qu’elle était en état de «mort cérébrale». Après que la famille eut demandé des preuves au médecin, elle se réveilla et retrouva l’essentiel de ses facultés. (2)

 

En 2008, un Français de 45 ans s’est réveillé sur la table d’opération, tandis que les médecins s’apprêtaient à lui prélever ses organes, suite à un arrêt cardiaque. Lors de l’enquête menée par le «comité d’éthique», plusieurs médecins reconnurent que ce type de cas, bien que rares, leur était parfaitement connu. (3)

 

La même année, Sack Dunlap, un Américain de 21 ans, «mort cérébralement», était sur le point de se faire retirer ses organes vitaux lorsque ses deux sœurs, toutes les deux infirmières, décidèrent de vérifier qu’il était en effet «mort cérébralement». Discrètement, elles enfoncèrent une pointe sous son ongle de pied, ce qui provoqua une forte réaction de Dunlap, prouvant qu’il était conscient. Il se remit complètement et déclara plus tard qu’il était conscient et entendait les médecins autour de lui discuter des organes qu’ils allaient lui prélever!

 

Lors d’un stage de thérapie une participante d’une cinquantaine d’années a raconté son histoire: Elle avait eu un accident de voiture et, suite à cela, s’était retrouvée, dans le coma, à l’hôpital. Une amie voyante, qui savait que son amie était hospitalisée, a reçu d’elle un message télépathique selon lequel elle était en danger. La voyante est alors allée la voir à l’hôpital et est arrivée au moment où son amie accidentée, toujours dans le coma, avait déjà des marques sur le corps pour être incisée. Elle s’est aussitôt vigoureusement opposée à ce que le corps de son amie soit charcuté et a pu ainsi la sauver, alors que la femme accidentée, déclarée en état de “mort cérébrale”, était, en réalité, bien vivante et s’est ensuite naturellement réveillée du coma.

 

Autre histoire: Un homme médium, d’origine malgache, est “invité” à se présenter à une morgue, afin d’identifier un cadavre. Là il “tombe” sur le corps d’un homme de race noire, qui, profitant de ses facultés médiumniques, lui adresse ce message: “Les hommes blancs sont méchants; ils m’ont pris mes reins et mon cœur!”.

 

Autre histoire, très triste: Une “donneuse” transmet son cancer du sein (jusque là encore indétecté) à quatre receveuses de rein! Ce cas incroyable mais vrai est raconté (en anglais) sur cette page du trés sérieux site scientifique “Pubmed”.

 

Voici la traduction en français de cette page du site PubMed:

“Nous signalons 4 cas de transmission du cancer du sein à des receveuses de transplantation à partir d’une seule donneuse d’organe, qui se sont produits des années après le don. Le diagnostic de cancer du sein était inconnu au moment du don.

 

Toutes les receveuses ont développé un type de cancer du sein histologiquement similaire dans les 16 mois à 6 ans suivant la transplantation. Trois receveurs sur quatre sont décédés des suites d’une maladie largement métastasée.

 

L’une des receveuses a survécu après une néphrectomie de transplantation suivie de l’arrêt de l’immunosuppression et de la chimiothérapie.

 

Ce cas extraordinaire met en évidence les conséquences souvent fatales du cancer du sein provenant d’un donneur et suggère que le prélèvement de l’organe du donneur et le rétablissement de l’immunité peuvent induire une rémission complète.”

Pour l’une des quatre femmes receveuses il a donc suffi de retirer le rein “donneur de cancer” et d’arrêter les médicaments anti-rejet et la chimio pour complètement guérir d’un cancer qui n’était pas le sien! Cela laisse rêveur…

 

Ce cas de maladie cancéreuse transmise par le donneur (un “don” dont les receveurs se seraient bien passé!) est loin d’être unique. Voici, par exemple, un autre cas de transmission de cancer lors d’une greffe de rein:

 

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16968479. Et, si l’on cherche, l’on en trouve d’autres…

 

Au sujet des motivations

 

Quelles sont les motivations des “préleveurs”? “Sauver d’autres vies”? Certes! C’est toujours celle qui est toujours invoquée et mise en avant. Mais sachant que, dans le monde moderne, tout est rapidement transformé en “business”, y compris les transplantations d’organes et que celles-ci, précisément, donnent lieu à des trafics en tous genres, y compris et surtout dans les pays dits du “tiers monde”, la plus grande vigilance s’impose ici.

 

Par exemple, sur cette page il est possible de lire un article qui montre comment, sous couvert d’altruisme, les “dons d’organes” sont devenus un véritable trafic avec de nombreuses dérives. Les mourants ou supposés mourants ne sont pas encore morts que déjà des regards concupiscents se jettent vers eux, en les considérant déjà comme des réserves de pièces détachées pour des corps devenus défectueux. Et le public, dans son ensemble, victime du sentiment, est largement crédule vis-à-dis de cette industrie dont les motivations sont souvent loin d’être aussi pures qu’elles le devraient…

 

Alors, dans ce domaine comme dans tous les autres, cher lecteur, rappelez-vous qu’il s’agit de votre vie, de votre corps, de votre santé, et jamais de celle ni des médecins, ni des personnes qui vous conseillent, même lorsque celles-ci professent les meilleures intentions (dont l’enfer est pavé)… Même chose lorsqu’il s’agit de “donner son corps à la science”.

 

Il faut aussi savoir que, selon la loi, par défaut, vous êtes (tout bien considéré, un vrai scandale!) “d’accord” pour que votre corps soit découpé et vos organes prélevés lors de votre présumée mort… Et que si vous voulez être sûr(e) que cela n’arrive pas, il est plus que prudent d’exprimer votre refus de votre vivant et d’en informer vos proches. En France, la démarche est présentée sur le site officiel de l’administration française – cliquez ICI – et le formulaire d’expression du refus est téléchargeable en cliquant ICI (se renseigner pour les autres pays).

 

NDLR: Autre cas d’une personne en état de mort cérébrale, à l’encéphalogramme plat, revenue à la vie:

 

http://www.lalsace.fr/actualite/2012/03/29/sauvee-par-une-larme

 

http://www.dailymotion.com/video/xpq65m_angele-lieby-sauvee-par-une-larme_news (2 mn 03).

 

Autres sources de cet article:

 

(1) The Daily Mail, le 24 avril 2012: http://www.dailymail.co.uk/health/article-2134346/Steven-Thorpe-Teenager-declared-brain-dead-FOUR-doctors-makes-miracle-recovery.html?printingPage=true

 

(2) http://www.journalexpress.ca/Société/Santé/2011-06-30/article-2624757/Un-mal-de-dent-qui-a-failli-virer-en-don-dorganes/1

 

(3) Article publié dans le journal Le Monde, disponible ici: http://actuagencebiomed.blogspot.fr/2008/06/le-donneur-dorganes-ntait-pas-mort.html