Les parasites des animaux causent des paralysies aux êtres humains

Vivons sans parasites!

Plus de bestioles!

 

Avoir un animal familier (en anglais un “pet”) serait – paraît-il – très bon pour la santé:

Avoir un animal c’est bon pour la santé!

Normal, car les animaux font de merveilleurs petits compagnons, notamment pour les enfants, mais aussi pour les grands et les anciens…

Oui, mais, voilà, le problème, comme on peut le voir sur la page ci-dessous (anglais), c’est que les parasites des animaux peuvent, entre autres, causer des paralysies aux êtres humains:

http://english.cri.cn/6909/2012/03/21/1461s688248.htm

Ceci nous montre que la présence des parasites dans les corps humains ne doit pas du tout être négligée et qu’il est même très important pour la santé d’être sûr de vivre sans parasites.

Avec des animaux à la maison ou, du fait de raisons professionnelles ou autres, dans sa proximité il convient d’être doublement vigilants.

La question est de savoir ce que l’on est ou non prêt à tolérer “chez soi”, c’est-à-dire, en l’occurrence, dans son corps. Pour s’en faire une petite idée il est possible de regarder les instructives vidéos se trouvant sur la page ci-dessous:

Allez-vous tolérer “cela” dans votre corps?

Il y a ainsi toute une liste d’envahisseurs à vaincre…, et cela n’arrive pas de l’outre-espace comme dans “La guerre des mondes” de H.G. Wells, mais bien plutôt de l'”infra-espace”. Ce sont des envahisseurs “Lilliputiens” mais pas moins redoutables pour autant, ce qui n’empêche nullement que nous avons aussi encore plus de nombreux “mini-amis” dans le corps, puisque l’on estime généralement qu’un corps humain sain contient encore plus de bactéries bénéfiques que de cellules, soit plus de dix milliards…

Découvrons comment le système immunitaire s’affaiblit

Comment le cancer débute…

Malheureusement, parmi les envahisseurs, il en est, selon Hulda Clark, de fort nocifs, comme, par exemple, le “faciolopsis buski” (ou “fasciola buski”) présent, sans exception, dans tous les cas de cancers, et qui serait – même si pas le seul – un élément déterminant en ce qui concerne la véritable cause du cancer. Que des parasites puissent rendre des cellules cancéreuses il n’y a pas que Hulda Clark – quoi qu’elle soit une pionnière – à le dire, la science officielle commence aussi à s’en apercevoir: les parasitent vivent aux dépens de ceux qui les accueillent!!! Un polluant spécifique permet au fasciolopsis buski de proliférer, en particulier dans le foie, c’est l’alcool isopropylique. Mais, comme le dit Hulda Clark, dans le prologue de son livre “La Cure de tous les cancers”, il est maintenant possible de guérir le cancer et pas seulement de le traiter.

Comment le sida se déclenche … et comment il se guérit …

Toujours selon Hulda Clark, pour le sida, c’est le même parasite qui déclenche la maladie, mais, cette fois, associé à un autre polluant, le benzène, les deux sévissant principalement dans un autre organe, le thymus.

Il n’y a, du reste, pas que les corps humains à être parasités, les animaux, eux aussi, sont très fréquemment parasités; le parasitage est un phénomène très courant dans la nature, c’est ainsi que l’on peut voir des choses extrêmement surprenantes, comme, par exemple, des escargots ou des fourmis zombies.

Les peuples traditionnels savaient très bien qu’il est important de régulièrement se déparasiter et, il y a seulement deux générations, même en Occident, l’on vermifugeait régulièrement les enfants. Pourquoi ces très bonnes habitudes se sont-elles donc perdues? Outre le programme antiparasitaire de Hulda Clark (à base de brou de noix vert de  noix noire, de clous de girofle, d’absinthe, quassia et aspidium felix – cela existe aussi en teinture), pour éliminer, par exemple, les ascaris, par exemple, le psyllium peut aussi donner de bons résultats.

Selon le Dr Hulda Clark les parasites – surtout lorsque le corps contient aussi des polluants, ce qui est le cas de pesque tout le moinde dans le monde moderne – jouent un très important rôle dans la plupart des maladies, à commencer par le cancer, le sida, le diabète, etc. Elle a développé cette idée dans ses sept livres, dont celui qui expose sa méthode de base “La Guérison est possible”.

 

Parasites et polluants, tout doit être nettoyé!

Selon Hulda Clark il y a deux problèmes de santé fondamentaux: les parasites et les polluants présents dans le corps humain.

C’est le célèbre naturothérapeute allemand Louis Kuhne qui l’a dit: “Seule la Pureté guérit”.

“Tout être humain qui se respecte a le devoir de veiller à maintenir son corps propre et pur. La propreté du corps ne concerne pas que son extérieur, mais elle concerne aussi son intérieur, en particulier ses principaux organes internes. C’est important pour le respect de soi-même et des autres, ainsi que pour notre corps, lequel est notre meilleur ami lors de notre séjour sur Terre.”

“Un corps rempli de parasites, de polluants toxiques et de toxines n’est ni propre ni pur. Et il est sujet à toutes sortes de maladies.”

Avec les différentes cures et protocoles dont les témoignages d’efficacité ne manquent pas, il est possible d’à peu près tout nettoyer, ce qui équivaut à purifier le corps. Cela permet, en particulier d’éliminer les principaux polluants que Hulda Clark appelle les cinq destructeurs de l’immunité.

Comment savoir quels parasites sont présents dans le corps?

Selon elle, le synchromètre, dont tout un chacun aurait grand intérêt à apprendre le maniement, rien qu’avec une simple analyse fréquentielle de salive, permet de savoir exactement quels sont les parasites – mais aussi les polluants – qui sont présents dans le corps humain. Il est même possible de le savoir, organe par organe. C’est vraiment toutes sortes de parasites et donc toutes sortes de fréquences que l’on peut trouver dans un corps humain. Une fois la détection faite, à chacun de savoir s’il veut ou non vivre avec…

 

Êtes vous au courant?: Un courant contre les parasites

Bien sûr, Hulda Clark indique aussi par quels moyens simples et naturels il est possible de s’en débarrasser, soit avec la cure végétale (cinq produits naturels, dont trois antiparasitaires) à réaliser sur trois semaines, soit avec le Zappeur – ou “Zapper” -, un petit appareil de son invention (le modèle le plus récent s’appelle “VariZappeur”), qui déparasite en émettant, par l’intermédiaire d’un courant continu porteur de 9 volts, des fréquences qui font littéralement “exploser” les parasites en seulement quelques minutes. En plus la pratique du “zapping” (c’est mieux que “zappage”!) consituerait aussi, en de nombreux cas, un excellent anti-douleurs. Pour les deux usages, pour les gens particulièrement “fauchés” il y a même la “railway-thérapie”, mais c’est assez risqué… A noter que le Zappeur n’est pas {encore} reconnu comme moyen de déparasitage par la science médicale officielle…

 

Un parasite qui s’éclate

Sur cette page “Déparasitage par Zapping” il est possible de voir une courte vidéo, réalisée à l’intérieur du corps humain, qui montre comment les micro-organismes soumis, via un courant électrique, à une fréquence adaptée voient leur membrane extérieure se désintégrer lorsque leur organisme entre en résonance avec la fréquence considérée ou bien une harmonique de celle-ci… C’est, tout simplement, le principe du bataillon de militaires qui, marchant au pas cadencé à la même fréquence que celle du pont, arrive à faire s’effondrer celui-ci, et eux par la même occasion… Dans ses attrayantes conférences sur la physique quantique, Jean-Jacques Crèvecœur raconte comment, étant adolescent, dans son lycée, avait, par ce même phénomène de la résonance, réussi, en entrant “en phase” avec celui-ci, à sérieusement ébranler un panneau de basket, ce qui, bien sûr, lui valut un après-midi de “colle”…

Les différentes manières de se zapper

Bien que la technique du zapping ne soit pas reconnue, pour cet usage, par la science officielle, ceux qui l’utilisent s’aperçoivent vite des effets bénéfiques qu’elle procure (il existe de nombreux témoignages). Au zapping de base s’ajoute le “plate-zapping” (en français “zapping à plaques”) permettant de zapper organe par organe, y compris l’intestin, et le “zappicator”, qui est un appareil ou un accessoire permettant de zapper aussi les aliments, en particulier les aliments douteux (exemple: du cresson de fontaine pouvant contenir les œufs de la redoutable douve du foie ou même, tout simplement, des pommes avec des taches brunes pouvant contenant des moisissures comme de la patuline ou de l’aflatoxine).

Selon Hulda Clark «Les parasites et un environnement pollué sont la cause de tous nos maux». Il est donc utile, en plus de savoir pourquoi et pour quoi se zapper, de bien savoir se zapper. Elle prônait que chaque être humain devienne lui-même l’artisan de sa propre santé; en langue anglaise, l’on appelle cela le “Self Health”, la “santé par soi-même”. Les enfants aussi ont grand besoin d’être déparasités. C’est quelque chose qui – il y a encore seulement deux générations – se pratiquait couramment… Vivre naturellement sans parasites?, oui, c’est probablement non seulement possible mais aussi – que l’on en soit conscient ou non – d’une importance primordiale pour la santé.

Hulda Clark n’est, du reste, pas la seule à se soucier du rôle des parasites dans les maladies. Certains médecins d’avant-garde s’en préoccupent aussi maintenant très sérieusement; témoin ce stage organisé en Suisse sur le thème “Rôle des parasites et des polluants dans les processus dégénératifs”

Pour celui qui veut aller plus loin dans la compréhension du rôle des parasites et des polluants et des moyens naturels d’en venir à bout, il est conseillé de commencer par lire le livre “La Cure de toutes les maladies”. Il existe encore d’autres livres de Hulda Clark disponibles en français ou en anglais, ou d’autres langues, et tous sont de grand intérêt.