Association de la Vitamine D3 et de la Vitamine K2

Associer la Vitamine D3 à la Vitamine K2

L’idée est simple: Associer deux vitamines qui, agissant en synergie, protègent, avec une large efficacité, contre différentes grosses pathologies “modernes”, telles que infactus, sclérose en plaques, grippe, ostéoporose, diabète, cancer du sein ou du colon, leucénie, asthme… Ce serait les vitamines les plus importantes (peut-être si l’on excepte la célébrissime Vitamine C, qui n’est, d’ailleurs pas une vitamine!). Les deux en un seul produit, et même une seule dose quotidienne, avec un coût de revient de quelques dizaines de centimes d’€uros par jour. C’est cela la bonne idée!

Les données ci-dessous sont fournies par le fabricant du produit MK-7 + Vitamine D3:

“Le terme vitamine K regroupe diverses substances qui dérivent du noyau 2-méthyl-1,4-naphtoquinone ou ménadione et participent à l’activation de certains facteurs de la coagulation.

Il existe deux formes naturelles et atoxiques, qui diffèrent par leur chaîne latérale:

• La phylloquinone ou phytoménadione (vitamine K1). Elle est synthétisée par les plantes et plus particulièrement les légumes verts à feuilles (crucifères: choux, persil, épinards, laitue). Elle est liposoluble, stable à la chaleur, mais sensible à la lumière et aux milieux alcalins.
• Les ménaquinones (vitamines K2) synthétisées par les bactéries du tractus intestinal, mais qui, malheureusement, sont globalement éliminées dans les matières fécales au lieu d’être distribuées dans les vaisseaux, les os et les différents tissus. On retrouve ces vitamines K2 également dans les abats animaux, les viandes, les produits fermentés tels certains fromages et surtout le nattō, un aliment japonais traditionnel à base de haricots de soja fermentés, de loin la source la plus importante de vitamine K2, mais qui n’est malheureusement pas consommé de façon journalière par les Occidentaux.


Nécessaire dans la coagulation sanguine

La vitamine K a été baptisée ainsi pour son activité sur la «Koagulation» (en allemand, bien sûr!). En effet, après avoir gagné les vaisseaux lymphatiques, elle est prise en charge par les chylomicrons et s’accumule au niveau du foie, où elle va participer à la synthèse de quatre facteurs de la coagulation, dont le facteur II (prothrombine) et sa conversion en thrombine.


Essentielle à la minéralisation osseuse

La vitamine K active la synthèse d’ostéocalcine, une hormone spécifique du tissu osseux, synthétisée par les ostéoblastes. Elle assure ainsi la minéralisation des os en capturant et en répartissant le calcium dans l’organisme, au niveau des os et des dents.

De plus, elle aide à sa mobilisation en le chassant des artères et des tissus mous, ce qui :
• préserve ces derniers d’une calcification ultérieure, comme l’athérosclérose et la calcification aortique, et soutient le bon fonctionnement du système rénal en évitant les calculs rénaux de type calcique.

Ainsi, prise sous forme de suppléments, la vitamine K permet de réduire les accidents liés à l’ostéoporose, prévenant les fractures (de la hanche par exemple), et évite surtout la calcification des artères.


Des propriétés anti-inflammatoires

La vitamine K2 est également l’un des meilleurs agents préventifs contre l’inflammation chronique qui peut endommager pendant des années, silencieusement, les tissus et contribuer ainsi au développement de maladies qui lui sont intimement liées : cancers, obésité, maladies cardio-vasculaires (en limitant les attaques vasculaires cérébrales, les infarctus).

En effet, les études ont montré que la vitamine K2 s’opposait aux phénomènes liés à l’inflammation en inhibant les marqueurs pro-inflammatoires produits par les monocytes.


Limite le risque de décès par cancer

D’après une récente étude espagnole ayant été menée sur plus de 7 000 participants pendant environ 4,8 ans, les personnes qui ont augmenté leur consommation de vitamine K (phylloquinone et ménaquinone) avaient un risque plus faible de cancer et de mortalité, toutes causes confondues, que les personnes qui avaient diminué ou n’avaient pas changé leur consommation. Ainsi, les chercheurs ont conclu qu’une augmentation de l’apport alimentaire en vitamine K est associée à un risque réduit de maladies cardio-vasculaires, de cancer ou de mortalité toutes causes confondues au sein d’une population méditerranéenne présentant un risque de maladie cardio-vasculaire élevé.


Une aide aux parkinsoniens

Selon une étude japonaise, effectuée pendant un an sur des femmes âgées de plus de soixante-cinq ans et atteintes de la maladie de Parkinson, la supplémentation en vitamine K (45 mcg par jour) a permis de réduire le nombre de fractures de la hanche et d’augmenter légèrement leur densité minérale osseuse par rapport au groupe placebo.

Une étude plus récente a même montré que la vitamine K2 s’est avérée un bon agent préventif de la maladie de Parkinson puisqu’elle sert de transporteur d’électrons, en maintenant des niveaux d’ATP normaux dans les mitochondries.


La MK-7

La ménaquinone-7 ou MK-7, extraite du nattō, est la fraction ayant la biodisponibilité et l’activité les plus élevées des ménaquinones formant la vitamine K2.

La ménaquinone-7 est utilisée au Japon depuis 1995 pour préserver et renforcer les os et les articulations.

Les recherches ont permis de démontrer qu’elle régule la production du calcium en activant:

• une protéine spécifique responsable de l’optimisation de la liaison du calcium à la structure osseuse indispensable à la solidité des os;
• une protéine qui empêche le calcium de se déposer sur les parois des vaisseaux sanguins, soutenant ainsi la santé cardio-vasculaire.


Qui peut bénéficier d’une supplémentation en MK-7 + D3?

Le potentiel des bénéfices santé offerts par la vitamine K2 en fait, comme pour la vitamine D3, l’un des suppléments nutritionnels majeurs de ces dernières années. L’ajout de vitamine D3 dans ce complexe facilite l’absorption et le transport du calcium dans le système osseux. Elle renforce significativement l’action de la ménaquinone-7 en agissant sur la formation osseuse et la densité minérale osseuse chez les femmes ménopausées atteintes ou non d’ostéoporose. Ces deux substances agissent donc en synergie.

Par ailleurs, des études récentes ont montré que la vitamine D3 contribue au maintien et au support de l’activité insulinique du pancréas et au métabolisme glucidique et qu’elle soutient efficacement les fonctions immunitaires.

Son association à la vitamine K2, en une prise unique quotidienne plus équilibrée, fait de MK-7 + D3 un supplément nutritionnel préventif indispensable:
• aux personnes à risque hémorragique;
• à celles qui présentent une malabsorption intestinale (maladie de Crohn, maladie cœliaque, diarrhées chroniques…);
• aux personnes âgées;
• à celles et ceux souffrant d’ostéoporose, ou tout du moins à toutes les femmes ménopausées;

• aux personnes présentant des risques de maladies cardio-vasculaires ou de cancers.

Des chercheurs de l’université de Maastricht ont même démontré récemment que de nombreuses personnes en bonne santé manquaient de vitamine K et qu’une supplémentation en vitamine K2 serait bénéfique pour celles et ceux ayant plus de quarante ans.

La dose journalière utile de MK-7 s’établit à 90 mcg par jour, soit l’équivalent de 15 g de nattō, à prendre lors d’un repas apportant d’autres sources de lipides, pour une meilleure assimilation, même si les softgels sont déjà composées d’huile de lin, reconnue pour sa richesse en acide alpha-linolénique, un acide gras essentiel, chef de file des oméga-3.

Précaution d’emploi: la vitamine K2 n’a pas de toxicité propre. Cependant, et compte tenu de son pouvoir «anti-coagulant», il est souhaitable de demander l’avis d’un thérapeute en cas de prise concomitante d’anticoagulants (coumarine, héparine…).”