Reine des Prés – Filipendula Ulmaria

La Reine des Prés

 

Une plante très efficace pour soigner naturellement l’arthrose:

La Reine des Prés,  ou encore “Belle des Près”, “Barbe des chênes”, “Fleur des abeilles”, “Herbe aux abeilles” (c’est une plante mellifère), “Herbe du pauvre homme”, “Ormière’, “Grande potentille”, “Ulmaire”, “Spirée” – nom latin scientifique: Filipendula Ulmaria -, combat l’inflammation ainsi que la fièvre et les douleurs articulaires.

Comme le saule (salix alba) elle contient de l’acide salicylique, que l’on trouve aussi dans l’aspirine, ainsi que d’autres substances actives comme l’héliotropine, le camphre, des sesquiterpènes, la gaultérine, la coumarine, la spiréine, l’héliotropine, la vanilline, des flavonoïdes, des tanins et même de la vitamine C…

La Reine des Prés – c’est vraiment une “Reine”! – est à la fois antalgique, anti-inflammatoire, anti-rhumatismale, elle élimine l’acide urique, elle est aussi fébrifuge, diurétique, sudorifique, astringente, tonique, antispasmodique, cicatrisante, dépurative et possède aussi des propriétés digestives…

En cas d’arthrose, non seulement  la Reine des Prés, qui est en vente libre, résorbe l’inflammation et soulage la douleur, mais, encore en plus, elle draine efficacement les articulations polluées par les débris de cartilage et les cristaux d’acide urique.

Pour tous les êtres humains souffrant de douleurs articulaires prenant simultanément un anti-inflammatoire et un antalgique, la Reine des Prés est donc une vraie solution naturelle … avec un incontestable avantage: une complète absence d’effets secondaires négatifs sur le système digestif, ce que provoque inévitablement tous les médicaments chimiques.

En outre, la Reine des Prés, associée au cassis, constitue un excellent traitement de fond de la maladie rhumatismale chronique. Avec la Reine de Prés comme anti-douleurs naturel il est ainsi possible de beaucoup mieux dormir.

A noter, toutefois, que la Reine des Prés est contre-indiquée, bien sûr, en cas d’allergie mais aussi en cas d’intolérance à l’aspirine.